27. Repose toi

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POINT DE VUE PIERRE:

On signais des autographes puis prenais des photos quand, une jeune femme, Julien viens à mes coter, il me dit qu'il a perdu Kelli de vu après qu'elle ai couru jusqu'au bus l'air paniqué et Héloïse semble parler avec des gens de manières fâcheuse.

-tu as essayé de l'appeler? Demandais-je
-Oui, elle ne répond pas.
-Vous avez vu Kelli? Demande Lenie, des gens veulent prendre des photos avec elles.
-non, elle es partit dans le bus. Répond Ju. Héloïse semble débattre avec un groupe de quatres.
-préviens la sécurité. Lançais-je a Julien. Je sais qui ils sont et se qu'elle a il faut absolument qu'on aille au bus.

Ju appelle la sécurité pour signaler un groupe, qu'il font partir pendant ce temps, Lenie et moi partons vers Heloise. Elle nous informe simplement qu'elle était pâlotte, et que c'est le groupe qui la harceler pendant des années, apparement l'une l'aurais insulté.

Je devine tout de suite qu'elle est donc aller au bus pour se réfugier, on part tout les trois à l'intérieur, criant son nom partout, sa meilleure se met à crier nous appelant. On se dirige vers d'où venais les cris.
Nous retrouvons la jeune femme par terre, inconsciente. Alors je me baisse ainsi que mon amie.

-Kelli!!! Répond moi! S'exclame Héloïse.
-Il faut appeler une ambulance. Nous dit Lenie.
-je t'en pris réveillé toi, dit-je doucement.

Le reste du groupe arrive.

-mon dieu est-ce qu'elle va bien! S'écrit son cousin.
-elle semble inconsciente, mais elle respire. Reprends Lenie. On devrais rentrer à l'hôtel
-il vaux mieux l'emmener à l'hôpital. Ou appeler un médecin! M'exclamait-je.
-je vais chercher quelqu'un! Nous dit Clara suivis de MM.

Héloïse part chercher ses parents tandis que nous restons à coter d'elle je lui tiens fermement la main. Helena à mes coter essaie de me rassurer, mais une partie moi restait inquiet quand même assez longtemps.
Les deux filles avais trouver un médecin, il nous informe qu'il faut partir afin de vérifier si tout va bien, alors à contre cœur, je la lâche et part toujours en gardant un œil sur elle.

Assis sur les fauteuils, nous n'avions toujours pas bouger, cela allais fais plus 1h30 que nous étions là, je sentais l'inquiétude m'envahit à chaque minutes. Certain c'était endormi, d'autre comme, Helena, Héloïse, elle avais prévu ses parents qui se rendais immédiatement à l'hôtel où nous séjournons, Galvin, Oli et Lenie ainsi que Clara, était encore réveillé. Par chance, le médecin arriva, je me leva d'un seul coup.

-comment elle va? Demandait-je
-Elle doit se reposer, un choque émotionnel la fais paniquer et cela a declancher une perte d'énergie intense. Est-ce que vous savez se qui lui a fais ce choque?
-Oui... un groupe qui l'harcelais au collège a refais surfaces, je suppose qu'elle ne s'attendait pas vraiment à les voir débarquer. Surtout dans un moment pareil.
-je vois, vous devriez rentrer et laisser la se reposer, elle va dormir assez longtemps pour se remettre.
-est-ce que on peux aller la voir? Demande Lenie
-oui, bien sûr. Je vais dire au chauffeur de vous ramener. Il faut simplement qu'elle se repose.
-merci. Fit-je suivis des autres.

On le regarde sortir du bus. Puis nous sentons qu'il démarre, je regarde en direction d'où elle es, je sens la mains de Helena se poser sur mon épaule.

-Vazy Pierre. Tu en meurs d'envie. Me dit-elle avec un sourire rassurant.
-d'accord.. soufflait-je doucement

Je hoche la tête positivement, avant de m'avancer sans précipitation dans la pièce d'à côté, lorsque je passe le pas de la porte, je la vois comme ci elle était endormie. Je viens m'assoir à ses coter et lui attrape la main.

-Tu nous as fais sacrément peur, tu sais.. fit-je doucement, qui aurais cru qu'une si bonne soirée tourne au fiasco. Je te promet de les retrouver...

Je vois Galvin arriver. Il avais l'air de réfléchir, pensait-il à la même chose que moi?

-qu'est-ce qu'on va faire? Questionnais-je en fixant la jeune femme endormie.
-Je sais pas mais une choses et sur,on ne peux la laisser ça comme ça.
-les garçons, nous dit Clara, on es arriver.
-merci Clara, je vais la ramener dans sa chambre, dit-je en regardant Galvin.
-non. Prends la avec toi. Je suis sur qu'à son réveil elle sera heureuse de voir à quel point tu prends soins d'elle. Me dit le guitariste.

Je le remercie avant de porter Kelli, pour l'emmener, je croise Julien qui me dit qu'il passera la nuit dans la chambre de Heloise. Je le remercie puis il m'ouvre la porte afin que je puisse rentrer.
Je pose délicatement la jeune femme avant de la recouvrir d'une couverture, j'embrasse son front avant d'aller à la salle de bain, le défaire ce se placage.

Après une douche où Kelli était dans mes pensée, je pars voir comment elle va, elle avais changer de position donc elle s'était endormie, un bon signe et semblait paisible. Je réfléchis quelques minutes, avant de pousser le lit une place libre à coter de l'autre, me glisse sous les draps, me place en face d'elle et la regarde, caressant ses cheveux. Puis le sommeil m'attrape.

———
Je sentis quelques choses sur moi, j'ouvris difficilement les yeux, jette d'abord un coup d'œil à mon téléphone a coter, il était encore tôt 4h30, puis mon regard bougea pour aller sur le poids sur moi, je fut surpris de voir qu'il s'agissait de Kelli, elle était posée sur mon torse, les deux mains sous le menton, la jeune femme me regardait un sourire accroché au lèvre.

-salut, commence t-elle doucement.
-salut, comment tu te sens? Tu nous a fais une sacrée frayeur.
-Eh bien... je dirais que je me sens un peu mieux mais encore plus quand je te vois avec cette coupe de cheveux.  Fit Kelli en touchant mes cheveux emmêlés.

Je passe mes deux bras autour d'elle. On continue à se regarder sans parler, seul nos yeux pouvais parler.

-ça fais combien de temps que tu es réveillé?
-Peut-être une demi-heure, mais c'est passer vite. Pierre.
-oui?
-j'ai envie d'aller dehors.
-il es encore tôt. Tu crois pas que tu devrais rester te reposer.
-très honnêtement j'ai un peu gâcher votre soirée aussi, avoue t-elle en décalant sa tête pour regarder à travers la fenêtre. Alors c'est un peu de ma faute...
-non,  tu ne l'a pas gâcher, dit-je d'une voix douce caressant ses cheveux. Tu n'y es pour rien, rien n'est de ta faute. C'est de leur faute à eux, il n'avais pas à se trouver ici.
-J'ai besoin d'aller prendre l'air, vraiment, mais... elle tourne sa tête de la position initiale, viens avec moi, l'air matinal es parfaite.
-tu es sur?
-oui plus que sur.
-très bien alors allons-y.

Elle se lève, pour pouvoir me laisser me relever à mon tour. Je la vois commencer à se diriger vers la fenêtre qui donne sur le balcon, elle ouvre doucement la porte puis elle s'avance un peu plus dans la nuit. Je la suis, et me place derrière elle, l'entourant dans mes bras et pose ma tête sur son épaules, aucun nous deux ne parlais, on regardais seulement le ciel encore un peut étoilé de la pénombre. 

𝐃𝐀𝐍𝐂𝐄 𝐓𝐎𝐍𝐈𝐆𝐇𝐓-- Pierre Garnier / TERMINEROù les histoires vivent. Découvrez maintenant