Spider-Man : New-York's Savior

Chapitre 4 : Les Anciens Scandales

De bon matin, en Spider-Man, je me rends vers un point de rendez-vous pour du trafic de drogues. Avant, je suis reparti voir Danny pour lui demander des informations à propos du dealer que son ancien ami consultait. Maintenant qu'il avait l'information en tête, il tissait sa toile jusqu'au lieu de rendez-vous que l'adolescent avait cité, un étage de parking dans un recoin isolé où peu de voitures allaient se garer à cause de la réputation sulfureuse de cet endroit.

Alors que je suis sur le toit, je remarque au loin une voiture s'approcher de l'emplacement indiqué par le jeune adolescent. Un jeune homme, la trentaine, en sort, semblant costaud, lunettes de soleil. Alors qu'il allait ouvrir son coffre, je tisse une toile pour immobiliser sa main, qu'il démène pour s'en sortir, en vain :

"Voyons voyons, qu'est-ce que nous avons là ? Commençais-je en allant regarder ce qui se cachait dans son coffre

En l'ouvrant, il s'offre à moi une grande quantité de drogues, cachés dans des sachets ou des valises : Amphétamines, benzodiazépines, cannabis, cocaïne, champignons hallucinogènes, crack, datura, ecstasy, GHB, héroïne, kétamine, LSD et j'en passe ... J'avais clairement affaire à un gros poisson de la marre. Mais, dans cet amas de stupéfiants connus, je remarque un sachet suspect, rassemblant une trentaine de gélules auxquels je n'identifie à rien. Je les prends et les temps au dealer, exigeant de savoir de quoi il s'agit :

- J'en sais rien, Répondit-il en proie à la panique

- Tu achètes vraiment sans savoir ce que tu prends ? Un conseil, ne dépose pas ton argent dans les actions, tu risquerais de tout perdre. Ce que je vais donc faire, c'est montrer ça à la police et dire que tu avais ce machin sur toi"

Le criminel me supplia d'arrêter et se mit finalement aux aveux, me racontant qu'il avait reçu les échantillons d'un gars qui s'était masqué le visage pour la confidentialité, qui lui avait offert une grosse somme pour lui prendre ces gélules et les vendre à d'autres.
Le malfrat le décrivait comme un savant puisque le mystérieux personnage se vantait d'avoir pu créer ce produit lui-même et qu'il avait une profonde fascination pour la génétique, raison pour laquelle il expérimentait avec ces gélules.
J'avais des pistes, certain que le responsable avait un lien, de près ou de loin, avec la cause mutante. Mais je sais aussi que les mutants restent discrets et que la plupart des affaires les concernant sont étouffées ou minimisées. Il faudra que j'en ai le cœur net à ce sujet.
Je le remercie pour les renseignements, emportant le sachet avec moi et laissant le criminel entoilé à son coffre de voiture. Il a beau se plaindre et prétendre que son renseignement pourrait coûter un privilège, ce à quoi je réponds que je lui épargne la responsabilité des cas mutants avant de m'en aller, ayant alerté les policiers pour qu'ils se rendent jusqu'à lui.

Je me rends directement à la NYPD, histoire de me concerter avec George Stacy, persuadé qu'il a commencé à enquêter depuis son face-à-face contre la Confrérie des Mutants.
Je lui fait face, pouvant voir son bureau de face contrairement à la dernière fois, observant la tasse de café typique de l'agent de police, la pile de paperasse empilée, des avis de recherches et, sur le rebord, je peux que remarquer le cadre photo où l'on peut voir George et sa fille, bien jeune. Je dois rester concentrer sur ma mission, et ne rien laisser transparaître à propos de sa fille, de peur de me trahir :

"Vous désirez quelque chose Spider-Man ? Me demande le Commissaire

- J'imagine que vous avez fait des recherches sur les mutants depuis votre dernière altercation et mon enquête me mène à croire fortement que le responsable de ces mutations forcés aient pu côtoyer les services secrets