chapitre 30: Les aiguilles tournent...

20 3 200
                                    

Les émotions humaines, telles des vagues déchaînées,
Nous emportent vers des rivages inconnus,
La colère, la peur, l'angoisse, enchaînées,
Nous poussent à des actes que nous n'aurions jamais crus.

Pourquoi notre corps nous impose-t-il ces tempêtes?
Pourquoi devons-nous traverser ces tourments?
Comme un rite de passage, ces épreuves secrètes,
Nous forgent, nous transforment, nous rendent plus vivants.

Ces émotions intenses, étoiles dans la nuit,
Guides lumineux dans l'obscurité de l'âme,
Nous confrontent à nos faiblesses, sans bruit,
Révélant notre humanité, notre flamme.

La douleur émotionnelle, bien que cruelle,
Est une opportunité de croissance et de lumière,
Elle nous pousse à chercher des réponses, éternelle,
À comprendre nos réactions, à évoluer, sincère.

Ainsi, ces émotions douloureuses, non des punitions,
Mais des étapes nécessaires sur le chemin de la sagesse,
Nous enseignent la compassion, la patience, la passion,
Et nous en sortons plus forts, éclairés par leur tendresse.

***
Malya

"Tu aimes bien ce jeune homme je me trompe ?"

"Tu te souviens de nos leçons ?"

"On s'amusait bien ensemble"

"Princesse..."

"N'oublie pas qui je suis."

"Tu es un monstre"

"L'amour est pour les gens bien...le contraire de toi."

"Je n'ai pas de feuille...laisse moi dessiner"

"La solitude elle seule t'accepte...et la mort elle seule t'attends..."

"Tu es toujours aussi laide...c'est bien dommage j'aurais voulu m'amuser..."

"Tu crois que quelqu'un t'aimes ? Je suis le seul qui revient...princesse.."

"N'oublie pas que je suis ton maître"

"Tu me dois de m'obéir, sinon tu connais le prix..."

"personne ne veut d'une orpheline de ton genre. Tu es bonne à jeter."


-"Soit toi… Soit tes amis.” Il me sourit, dévoilant une rangée de dents parfaitement alignées, mais son regard est glacial, presque inhumain. “Choisis, princesse…”

Je n’ai pas le temps de réfléchir, de peser le pour et le contre. Je rétorque simplement :

-“Je t’appartiens.”

Ses iris s’assombrissent, devenant presque noirs, comme un abîme sans fond. Une terreur viscérale me traverse, me paralysant. Mon cœur cesse de battre, et un frisson de panique me parcourt l’échine. C’est comme si le monde s’effondrait autour de moi, et je suis engloutie par mon pire cauchemar.

Why YouOù les histoires vivent. Découvrez maintenant