CHAPITRE 12 - Ciaràn

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Je m'allonge dans mon lit et ferme les yeux.

La solitude me permet de recharger les batteries. Les seuls moments où je me sens bien. Où je me sens vivant. Même si je suis déjà mort de l'intérieur, à cause de toutes les drogues que je consomme depuis mon adolescence.

— Oh... Iris... Gémis-je. J'aurais dû baiser ta chatte dès la première seconde...

Mais non.

J'ai dû partir.

Dès l'instant où j'ai touché sa peau, j'ai su que je n'allais pas pouvoir me contrôler et qu'il allait revenir. Heureusement que sa pote est arrivée. En un sens, elle lui a sauvé la mise, et à moi aussi. J'aurais été dans la merde jusqu'au cou - si seulement je ne l'étais pas déjà.

— Putain, Dalila...

J'ai une pensée pour la magnifique rousse aux yeux de glace. Que penserait-elle, comment réagirait-elle si elle apprenait ce que j'ai fait et dit à cette femme, ce soir ?

— Elle m'étranglerait... Mais j'adore ça ! Ris-je seul dans mon appartement.

Je ferme les yeux et souffle lentement pour vider mes poumons de tout leur air. Une image de la petite blonde me revient en tête : son visage tétanisé, ses tremblements incessants, sa voie hachée, et surtout, ses prunelles obstruées par la peur.

Putain, qu'est-ce que j'aime jouer avec elle.

Ça faisait bien trop longtemps que je n'avais pas ressenti un tel plaisir à jouer au chat et à la souris avec une chatte comme elle. Une petite fille de bonne famille qui ne connait encore rien de la vie, et à qui je pourrai tout prendre, en ne laissant aucune miette.

— Un jour, je volerai ta virginité, sois-en sûre, chère Iris, annoncé-je dans le vide. Je serai loin d'être tendre. Et tu crieras de douleur comme la petite pucelle que tu es !

Je sens une protubérance se loger entre mes cuisses, à cette idée. Mes hanches ondulent toutes seules sous la couette. Je soupire.

— Et puis merde.

Par habitude, je baisse mon caleçon et le balance de l'autre côté de la pièce. Enfin nu, j'attrape ma bite, déjà dure, à pleine main.

Je m'imagine là, dans mon lit, et Iris juste en dessous de moi. Mon corps musclé l'écrase, et elle déteste ça. Quelques larmes coulent sur ses joues rosées.

Elle pleure maintenant à chaudes larmes en attendant ma matraque. Je donne un puissant coup de hanche et la pénètre entièrement du premier coup, lui arrachant un cri. Elle me supplie de ralentir, d'être doux, d'être compréhensif. Mais je n'en ai rien à foutre. Je défonce sa chatte encore vierge. Du sang finit par couler le long de ma verge pour venir recouvrir mes couilles. Elle hurle encore et encore, tente de me frapper, de me repousser, mais rien n'y fait. Elle est trop faible face à mon gabarit. Trop faible. Trop femme.

— Iris... Oh, Iris...

Sans hésiter, je me redresse, et je vois dans ses yeux comme une lueur d'espoir, que j'attends de voir s'éteindre lorsque je lui annoncerai que l'instant X ne fait que commencer. La bite plus dure encore, j'attrape ses jambes, et la retourne sans ménagement. Elle s'étale violemment sur le lit.

— Non, pitié...

— La pitié n'existe pas en ce monde, lui rétorqué-je. Tu l'apprendras à tes dépends.

— Ciarán, je t'en supplie... M'implore-t-elle encore.

— Je vais baiser ton cul, que tu le veuilles, ou non.

Sans hésiter, j'écarte ses fesses et m'enfouit en elle. Elle crie encore plus fort que quelques minutes auparavant...

— Oh, oui ! Oui ! OUIIIIIIII !!!

Ma main accélère, ma bite est en feu.

Et bientôt, le sperme coule sur mes phalanges pour venir recouvrir mes couilles, puis les draps gris. Mon poignet ralentit peu à peu la cadence, à mesure que ma queue se ramollit. 

LA MORSURE DU DESTINOù les histoires vivent. Découvrez maintenant