La cousine de Violetta

Chapitre 28: Découverte

4 jours que j'étais à l'hopital avec celui qui m'avait élever comme sa fille. Il ne se réveillait pas, les docteurs allait le débrancher. J'alla donc lui faire un dernier aurevoir. Alors que les docteurs allait enlever ses respirateurs, il ouvrit les yeux.

Grand-père: Vivi...Vivi...Vivianne...Lettre...toi...t'aime...

Il rendit son dernier souffle. Je pleurais. Clarisse, qui avait su que j'étais là, était venu me soutenir.

J'étais finalement rentré à l'hotel. Alors que je me regardais dans un miroir, je regardais mes cheveux. Je faisais toujours faire mes teintures mais, je voulais changer, redevenir moi.

Moi: Clarisse? Viens ici!

Clarisse: J'adore ta chambre d'hotel! Ton oncle est riche ou quoi?

Je me retourne vers mon amie.

Moi: Clarisse, je veux redevenir moi.

Clarisse: tu veux...

Moi: Oui. Allons au salon de coiffure. Je veux faire sa avant de repartir.

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J'etais dans l'avions et je venais de me reveiller. Plusieurs nuits que je dormais mal. Alors que j'atterrissais, je repensais a la lettre de mon grand-pere.

German devait regler quelques petites choses et me pris donc un taxi. Lorsque je fus installer, je lu la lettre de mon defunt grand pere Arthure.

" Petite Vivianne,
Si tu lis ceci, c'est que je suis dans un monde meilleur. Ce que j'ai a t'avouer est difficile mais je sais qui est ton pere. J'ai correspondu avec toute ton enfance et tu l'as deja rencontrer, une fois, lorsque tu avais 5 ou 6 ans. Il sait aussi, tout comme son fils, ce que j'avais. J'avais un cancer incurrable. Pour ton pere, il se nomme Gregorio Casal. Je sais que tu le connais. Donc je paris que tu sais qui est ton jumeau? 

J'espere que tu vivras bien et que tu n'oublieras jamais ta passion pour la danse, la musique et la chanson. 

Arthure James Cameron"

Je pleurais silencieusement, avant de demander au chauffeur d'aller vers le studio. Arriver là bas, je demanda au chauffeur d'attendre et je rentra. J'étais cerner, en pantalon sport, une veste verte à Maxi et mes cheveux, devenu brun foncé, était très mal peigner. Plus je repensais a cette histoire, plus j'avais envis de pleurer, ce que je ne retins pas.
Lorsque je vis Diego, je cria. Je surpris tout le monde avec mon accoutrement et mes cris. 
Moi, en rage: TU LE SAVAIS?
Diego, interrompant tout ce qu'il faisait, sachant de quoi je parlais: Vivianne, je n'avais pas le droit de t'en parler avant qu'il le fasse.
Moi: Mais vous auriez du! Tout aurait tellement ete plus facile!
Tout le monde present nous regardaient, intriguer.
Diego: Vivianne... Tu ne voudrais pas en parler? Tu sais, pour....
Moi, le coupant et reculant: Non...je.... Non...
Je quitta le studio, plus triste que jamais. Je passa devant Gregorio. Je savais qu'il savait tout, mais je l'ignora complètement. 

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