50 - Welcome!

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Les contractions sont de plus en plus fortes. Je panique.

Theo est parti chez Gabriel à Oxford, à un peu plus d'une heure de Londres. Il ne sera pas là à temps pour la naissance de son deuxième enfant.

Je décida d'appeler ma belle-mère.

- Bonjour Aileen.
- Bonjour Jane, est-ce que vous pourriez venir s'il vous plait ? Le bébé va arrivé et Theo est parti chez Gabriel.
- Très bien, j'arrive dans dix minutes avec Phillip et Bailee.
- D'accord, à tout de suite.

Elle raccrocha.

- Maman. Qu'est qui a ? demanda Ayden
- Le bébé va arriver.
- Le bébé ?
- Oui.

J'appela Theo en attendant que mes beaux-parents et ma belle-soeur arrivent.

- Aileen.
- Theo.
- Tout va bien ?
- Non. Le bébé va arrivé d'une minute à l'autre.
- Quoi ? Je me dépêche d'arriver.
- Vas directement à l'hôpital. Tes parents vont m'emmener et Bailee va garder Ayden.
- D'accord, à tout de suite.
- Oui.

Il raccrocha. Phillip, Jane et Bailee arrivèrent. Mes beaux-parents m'aidèrent à marcher.

- Maman, bisous !

Bailee le porta et il me fit un bisou.

- Tu vas rester avec tata. lui dis-je.
- Ok.

Nous partîmes.

- Tu as appelé Theo ? demanda Jane.
- Oui, il est normalement parti.

Nous arrivâmes à la maternité. Je sais d'or et déjà que le travail sera plus rapide qu'à Ayden. J'avais eu dix heures de travail.

Les médecins m'annoncent que mon col est dilaté à neuf centimètres. Plus qu'un centimètre.

Je panique énormément au sujet que Theo ne sera peut-être pas présent pour la naissance du bébé. Je panique tellement que je me mis à pleurer.

- Ne stresses pas. me dit Phillip. Theo sera là.
- J'espère. J'ai tellement peur qu'il ne soit pas là.
- Je vais appeler Gabriel. dit Jane.

Mon beau-père a toujours sa main sur mon épaule.

- Gabriel. Tu es avec ton frère ? [...] Vous êtes à combien de temps à peu près de Londres ? [...] D'accord, à tout de suite.

Elle raccrocha.

- Alors ? demanda Phillip.
- Ils sont à cinq minutes de Londres.

Je lâcha un soupir de soulagement. Il est tout près. Les contractions sont beaucoup plus fortes que pour mon premier accouchement. J'hurle de toutes mes forces tellement j'ai mal. Je ne peux pas demander la péridurale, c'est trop tard. Je suis trop proche de la naissance.

Les contractions ne me laissent pas le temps de souffler entre deux. Une contraction toutes les deux minutes, c'est horrible.

- Gabriel et Theo sont sur le parking. On te laisse seule et Theo viendra. me dit Jane.
- D'accord. dis-je, souffrante.

Ils sortirent et Theo arriva deux minutes plus tard, complètement en panique.

- Je suis là, Aileen, je suis là. me dit-il.

Il embrassa mon front, tentant de se calmer. Quelques minutes plus tard, une sage-femme entra et m'examina en me disant juste après que je suis à dix centimètres.

Un troupeau de médecins entra et se prépara. Theo n'arrête pas d'embrasser mon front en me caressant les cheveux.

- Sois courageuse.

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