L'autre Mccall | Teen Wolf [En réécriture]

Chapitre 48: Romance ou Amitié

PDV Derek Hale

Il est 1:00h du matin. Éllie est encore inconsciente. Je ne comprend pas. Qui aurrait pu s'en prendre à elle? Qui pourrait être au courrant pour se qu'elle est? La jumelle de Scott tente toujours de rester humaine et elle n'utilise presque pas, voir jamais ses pouvoirs. Je crois que c'est la seule de la meute à avoir véritablement gardé son humanité, avec Stiles bien sûr... Soudain, je vois la jambe d'Éllie bouger sous la couverture. Sa tête tourne sur le côté. Malgré son visage dangereusement blanc et ses blessures non-cicatrisés, ses cernes ont disparus. Elle ouvre lentement les yeux. Après quelques secondes, elle tente de se lever, sûrement par peur et incompréhension, mais je met mon bras sur son épaule et la recouche.
Derek: Non, ne te lève pas. Tes blessures n'ont pas encore cicatrisés et tu risques de faire un malaise.
Éllie: Il est quelle heure?
Derek: Une heure du matin.
Éllie: Oh non! Je n'ai pas appeller Scott ni ma mère!
Elle tente encore une fois de se lever, mais échoue et retombe sur son coussin en se tenant les côtes et en grimaçant.
Derek: Je t'avais dit de ne pas te lever!
Éllie: Ils... Ils doivent être morts d'inquiétudes!
Derek: Je les ai appellé, ne t'inquiète pas.
Éllie: Oufff!
Je touche son front. Elle est brulante. Je prend une petite serviette mouillée et la met sur son front.
Éllie: Comment se fait-il que je ne cicatrise pas?
Derek: Tu as été tiré par deux balles remplies d'Aconite et on a du te brûler.
Éllie: En parlant de ça, merci beaucoup. Si tu ne m'avais pas aidé, je serais sans doute morte. Tu diras aussi merci à ton onc...
Peter: Mieux! Tu peux lui dire toi même!
Je tourne la tête et vois Peter se diriger vers moi en souriant.
Peter: Comment vas-tu chérie?
Éllie: Mmm... Mieux?
Peter: Puisque tu n'es qu'un loup-garou à moitié, ça te prend plus de temps pour cicatrisé, mais, tu verras, ça va bien allé.
Éllie: D'accord, merci...
Peter: Pas de quoi!
Mon oncle se dirige vers la porte principale, pour sortir de la maison.
Éllie: Peter?
Peter: Ouais?
Éllie: Heum... Désolé pour le coup de griffe.
Je me met à sourire.
Peter: Se n'est rien.
Il ouvre la porte et referme celle-ci. Je me retourne vers Éllie. Nous restons silencieux quelques minutes et je décide de le briser.
Derek: Il faudrait que tu dormes.
Éllie: Tu as sans doute raison.
Elle se recouche sur l'oreiller. Je me lève, tire une chaise en bois blanche et m'assois à ses côtés. Elle se tourne vers moi en souriant.
Éllie: Derek?
Derek: Mmm?
Éllie: Tu n'es pas oubligé de dormir sur la chaise.
Derek: Ne t'inquiète pas, cela ne me dérange pas!
Elle reste silencieuse, mais lève les yeux encore une fois vers moi..
Éllie: Ce que je veux dire, c'est: s'il te plaît, ne dort pas sur la chaise.
Je crois avoir compris. Je me lève lentement et viens me coucher à ses côtés. Nos visages ne sont qu'à quelques centimètres l'un de l'autre.
Éllie: Bonne nuit Derek...
Elle se tourne. Après une fraction de secondes d'hésitation, je passe mon bras autour de ses hanches.
Derek: Bonne nuit Éllie...

PDV Éllie Mccall
Le lendemain, soit 9:30h

Je me réveille. Derek n'est plus dans le lit. La seule chose dont je me souviens avant de mettre endormie, c'est qu'il a passé ses bras autour de mes hanches. Je regarde mon poignet ainsi que mon épaule, plus de traces de blessures. Soudain, je vois Derek arriver.
Derek: Oh... Salut!
Éllie: Salut!
Il s'assoit à côté de moi.
Derek: Tu as enfin cicatrisé.
Éllie: Oui... Dis, tu sais où je peux prendre une douche?
Derek: Heu... J'espère, c'est ma maison!
J'étouffe un rire. Je me lève du lit et me dirige, guidée. par lui, vers la salle de bain.
Éllie: Heum... Est-ce que tu aurrais des vêtements de rechange?
Derek: Attend...
Il part et reviens avec du linge.
Derek: Se sont des vêtements à Cora. Il devrait te faire.
Éllie: Okay, merci.
J'entre dans la salle de bain et me glisse sous la douche. Quand j'ai fini, je met le chandail beige à manche longue et le jeans bleu foncée qui appartenait à Cora que Derek m'a donné. Comme je m'y attendait, ils me font comme un gant. Quand j'ai rencontré Cora, à Paris, on était devenu très amie et on se prêtait parfois du linge.
Bref, je me fais une queue de cheval puis sors de la salle de bain. Je me dirige vers la cuisine et m'assois sur un tabouret. Derek est en train de faire à manger.
Derek: J'espère que tu aimes les crêpes!
Éllie: Bien sûr!
Il met une crêpe dans mon assiette. J'y met du nutella et commence à la manger.
Derek: As-tu vu le visage de ton agresseur?
Éllie: Non, mais il était assé grand et je pourrais le reconnaître.
Derek: Comment ça?
Éllie: J'ai réussi à le griffer sur la longueur du visage.
Derek: Okay...
Je continue à manger quelques minutes puis le regarde une deuxième fois.
Éllie: C'était un chasseur...
Derek: Oui...
Éllie: Comment a-t-il fait pour savoir que j'étais un loup-garou?
Derek: J'en ai pas la moindre idée, mais il y a quelque chose de pas normal.
Éllie: Que veux-tu dire?
Derek: D'abords, le retour de Kate, ensuite, le Wendigo, les chasseurs et maintenant...
Éllie: Maintenant?
Derek: ... J'ai quelque chose à te montrer.
Éllie: Vas-y.
Il grogne un peu puis baisse la tête. Quand il l'a relève, ses yeux ne sont pas bleus, parce qu'il a enlever la vie à une innocente, mais jaunes.
Éllie: Que...
Derek: Depuis que je suis devenue un adolescent.
Éllie: C'est...
Derek: Bizarre? Je sais...
Éllie: Est-ce que tu as regardé dans le bestiaire des Argent?
Derek: Oui.
Éllie: Et?
Derek: Tu crois réellement que je t'en aurrais parlé si je savais ce qui se passait?!
Je baisse la tête, surprise par son ton de voix. Je sais bien que Derek n'est pas un quelqu'un de très sociable et qu'il est assé sec, mais il n'a jamais levé le ton avec moi.
Derek: Je... Je suis désolé... Je suis un peu sur les nerfs en ce moment...
Éllie: T'inquiète, c'est pas grâve...
Derek: Bon... Heum... Scott voulais que je te ramène avant le dîner. Il faudrait y aller.
Éllie: Oui...
Derek: Et, ne t'inquiète pas. Je lui ai tout expliquer et il ne devrait pas t'en demander trop au sujet de ton "agression".
Je lui souris.
Éllie: Merci.
Je le suis jusqu'à sa voiture noir, à l'extérieur. Et c'est parti pour retourner chez moi!