-Chap 24-

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Salut à tous! Oui il est tard mais j'avais une insomnie lol. J'espère que vous allez bien et que vous profiter de vos vacances pour faire des grasse-mat', moi je vais tenter d'en faire! 

Alors, dans le dernier chap, on a pour certains pleurer, je sais que c'était pas joyeux mais cela va permettre de faire avancer l'histoire. Je suis consciente que pour certains c'est un peu flou mais vous verrez un peu plus tard... En tout cas merci pour votre soutien, votre confiance et votre temps. Vous etes géniaux et je suis ravi de partager cette fiction avec vous. Bonne lecture! 

PS: 3 eme chap de fight de suite lol, record personnel.

PDV Beth

Mercredi-2 ième semaine de Janvier

- -A quel nom dois-je mettre la facture mademoiselle ? demanda le jeune homme alors que je sortais de mes pensées.

- -Sullivan, dis-je et il me sourit en hochant la tête il cliqua sur sa souris et fronça la mine me dévoilant un souci au niveau de son ordinateur.

- -Je... je n'ai plus de papier, je reviens tout de suite formula t'il en tapotant son imprimante et se leva. Je restais derrière le comptoir soupirant en roulant des yeux.

Je me trouvais dans un petit magasin, il y avait peu de personnes et les rayons semblaient déserts. L'heure indiquée sur l'horloge était étonnante vu qu'il faisait encore nuit dehors mais je supposais que celle-ci s'était arrêtée. L'homme avait disparu dans une pièce opposée au comptoir et je me tenais debout dans mes tennis, tenant fermement l'objet que je venais d'acheter.

Un bruit me fit soudain pivoter la tête et je fus surprise par la chute de la grille du magasin. Je fronçais la mine, troublée par cette fermeture brusque et la porte par où était sorti l'homme, libéra un autre plus grand, brun et impressionnant. Il me scruta, arrivant à mon niveau, un tatouage dessiné sur son bras représentant un fusil enroulé par un serpent me surprit et il plaqua ses deux mains sur le comptoir en posant ses yeux noirs dans ma direction...

- -Tue moi Elisabeth, lâcha t'il et je déglutis en entendant cette simple petite phrase, coupant mon souffle alors que l'objet que je tenais, prenait feu dans mes bras et je le relâchais en reculant quand il hurla « Tue moi ! »

Le flambeau embrasa le sol qui prit également feu, laissant de grandes flammes chaudes presque brulantes me lécher la peau. Je reculais voyant le feu m'entourer et ma bouche s'ouvrir pour lâcher un cri strident.

- -Au secours ! hurlais-je en reculant encore, me contrant au mur, coincée, prise au piège par cet incendie et voyant le faciès de l'homme en face de moi souriant et me lançant une autre phrase.

- -Le choix est entre tes mains, dit-il en riant, un rire énorme, résonnant dans mon cerveau, me faisant presque hurler plus fort et je me redressais de mon lit en sueur.

J'inhalais durement pour reprendre mon souffle, coincé dans ma cage thoracique. Je fermais les yeux, posant mes mains dessus, sentant la transpiration sur ma figure et j'eu envie de pleurer tant ce cauchemar me saoulait, tant tous ces mauvais rêves me gâchaient la vie. Je n'en faisais pas tous les soirs mais je les faisais quand même et ils variaient tellement que je ne savais pas quoi en penser de ce qu'ils représentaient. J'avais chaud dans les draps et je les repoussais. Je retirais mon haut ou plutôt celui d'Harry et je le balançais dans la chambre. Il était 6h32 et je devais me lever pour préparer Halley pour sa rentrée....

Je me levai, restant en culotte dans la pièce et je ne pus arrêter de penser au fait qu'elle était trop grande pour moi seule, trop grande et trop vide. Il n'y avait plus autant d'affaires d'Harry, plus que quelques chaussures... ou de choses du genre... J'avais voulu qu'il vienne les prendre mais au fond de moi, je le regrettais un peu. Il me manquait, malgré toute ma colère et ma rancœur, il me manquait à un point inimaginable... J'avais envie de l'entendre, de simplement discuter avec lui en oubliant toute cette histoire mais dès que je pensais à ses bêtises avec Shana, tout me revenait... et savoir qu'il était au travail surement avec elle était la chose qui me perturbait le plus.

I'm not too bad (H. Styles)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant