Bonsoir tout le monde!!!!!!!!!! Comment allez vous ? Moi ca va, apparament il y a eu un bug de wattpad, ca vous a bombarder de notif lol!! Today c'est mon dernier jour de prof. Mes élèves pleurent mdr, ca fait trop rire comment, ils sont dégoutés. Ca me rassure sur le fait que je ne leur ai pas trop fait la misère ... Bon alors, nouveau chapitre du voyage à Paris Paris.
Merci à tous pour vos votes, et commentaires. J'espère que vous pourrez lire. J'essayes d'y repondre le plus que je peux. Je vous fait de grooos bisous! Je vous adore. Courage pour votre vendredi!!! On se voit plus bas.
Mardi-1ere semaine de Février
PDV Beth
Mon souffle était lent, trop lent tandis que je sentais le linge blanc sur mon visage. Le tissu était doux, sentant une drôle d'odeur de linge usé et mes paupières battaient en dessous. Je n'arrivais pas à ramener mes mains à mon visage pour l'enlever et je sentis la pression sur ma figure d'un coup quand le linge se remplit d'eau.
Celle-ci coula sur ma figure, m'étouffant presque et je serrais les lèvres secouant la tête, tirant sur mes poignets pour me libérer. Mon souffle était court, mon corps se mouvait de colère, de peur d'incompréhension et d'énervement face à cette impuissance. Je tirais sur mes mains à m'en faire mal et le drap sortit de ma figure d'un coup, libérant l'air frais qui put enfin arriver dans mes poumons presque vidés par cette pression écrasante de l'eau.
- -Chut, souffla une voix près de mon visage et je clignais des yeux pour voir le sien, ses traits doux et son large sourire. « Chut Sullivan... »
- -Gabrielle ? lâchais-je par bride, ma gorge étroite et ma voix faible. Elle se redressa, sur moi, s'éloignant de moi étendue sur une surface froide et je criai à nouveau « Gabrielle ! ».
- -Beth ? lâcha une nouvelle voix et mes yeux s'ouvrirent d'un coup, j'avalais ma salive en respirant violement et je scrutais son visage inquiet près de moi. « Tu faisais encore un cauchemar »
- -Oui, un peu... mais ça va.
- -Tu as l'air paniqué et tu transpires à mort, lâcha t'il en tirant sur mon haut moite le retirant de mon corps et je restais encore un peu déstabilisée par ma précédente vision. Il se leva du lit, marchant vers l'armoire et prit un de ses hauts à lui.
- -Je... faisais juste un rêve stupide. Ça va aller, tentais-je de le rassurer alors qu'il posa un genou sur le sommier, m'observant encore.
- -Tu as crié Gabrielle, alors je doute que ça soit stupide, lâcha t'il et je sentis mon cœur tambouriner face à cette révélation.
Je n'avais pas pensé que mon cri aurait dépassé les frontières de mon esprit. Face à mon silence il soupira en se pencha pour m'enfiler le haut, me laissant assise face à lui, ses deux genoux sur le sommier. « Il est 3 heures du matin, tu devrais redormir » proposa t'il en se couchant et j'hochais la tête lentement dans le silence de la pièce, le doux ronronnement de la ville à l'extérieur.
Il se coucha à son tour, se couvrit et il fixa un moment le plafond avant de fermer les yeux. Je fis de même mais ne pus les conserver dans cette position très longtemps. Je fixais le plafond, observant les ombres se dessiner dessus à travers la fine bande que laissait le rideau passer et je tentais de m'endormir mais je n'y arrivai pas... comme si j'avais peur de le faire et peur de découvrir encore une scène horrible.
J'avais pensé naïvement que partir en lune de miel me permettrait d'être totalement comblée, mais je m'étais faite avoir. Mes cauchemars ne partiraient pas parce que j'avais changé de nom ou parce que j'avais changé de pays. Je tentais de chasser cette histoire en pensant à la soirée d'hier et au plaisir qu'Harry avait éprouvé durant le vol en hélicoptère. Ce simple moment mit fin à la petite panique que j'avais dans la tête et je revis son sourire, ses lèvres libérant cette phrase. « On va aller sur la tombe de ta grand-mère » Comment avait-il appris où elle se trouvait et pourquoi voulait-il que nous y allions ?
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I'm not too bad (H. Styles)
FanfictionTome 4 Après 3 ans, on apprend plus sur le monde, sur les autres et sur soi. On décide de qui on veut être et qui on ne veut plus redevenir. On connait ses faiblesses mais parfois celles-ci sont plus fortes que notre raison. On fait tous des erreur...