I'm not too bad (H. Styles)

-Chap 26 de Noel!!!-

Bonjour à tous, quel jour on est today ???? C'est la veille de NOEL! Et l'annif de Louis aussi je crois, je ne suis pas très sur mdr. Comment allez vous ? Moi je suis deja claquée et j'ai deux diners ce soir !! Je tente de détendre mon estomac pour tout BOUFFER.

Nouveau chapitre parce que ma correctrice est un amour et que vous etes geniaux. Je vous adore et j'espère que tout va bien pour vous aujourd'hui. Je vous souhaite de feter comme il se doit, d'avoir plein de cadeaux et plein d'amour. Je vous fais de gros bisous et on se revoit bientot!!!

Vendredi-2ième semaine de Janvier

PDV Harry

Le soleil tapait fort sur mon visage, m'éblouissant et je marchais d'un pas assez rapide vers le bâtiment. Il n'y avait personne autour de moi et je sentais le vent frais se lever, changeant le ciel brillant en un ciel nuageux. Je sentis une goutte, levant la tête, je me mis à marcher plus vite pour me protéger de la pluie arrivant et je fus saisi d'un léger tremblement sous mes pieds, comme un séisme. Un son lointain parvint dans ma tête et j'ouvris les yeux en entendant ses grognements.

Je me levais du canapé, l'obscurité dans le salon, cherchant la provenance du son et je marchais jusqu'à ma chambre vu que je n'avais pas dormis dedans. Nous avions décidé que je pouvais rentrer mais cela ne voulais pas dire que tout était oublié pour autant. Je perçu le corps de ma brune sous les draps, gémissant un peu, le visage dans l'oreiller. Je tournais vers Beth qui gesticulait, la mine contrariée et son corps légèrement en mouvement. Elle semblait faire un mauvais rêve, encore un, chose que je trouvais de plus en plus bizarre à vrai dire. Elle respirai rapidement et je me décidais à la réveiller en douceur. Je tins son corps en passant ma main à son bras, tentant de l'extirper sans trop lui faire peur.

- -Beth, réveille-toi, soufflais-je et elle ouvrit d'un coup les yeux après un moment à la secouer. Elle se redressa, assise sur le lit, en sueur, ses cheveux en bataille sur ses épaules, son souffle bruyant. « Ça va aller, c'est fini » dis-je d'une voix faible alors qu'elle passait ses mains à son visage, l'air totalement effrayée. Je l'observais, toujours debout près d'elle, observant sa respiration de par les montées rapides de son dos.

- -Putain, lâcha t'elle faiblement et je me penchais pour me rapprocher d'elle, passant ma main à son dos.

- -Dis, ça ne va pas ? demandais-je et elle secoua la tête sans me regarder, libérant un soupir de ses lèvres roses. « Viens là » dis-je doucement en la faisant pivoter face à moi et je fis glisser le haut humide présent sur elle.

Elle resta ainsi, passant ses mains à son buste surement dû à la température, même si le chauffage était mis. Je balançais son haut au sol et retira le mien pour le glisser en silence sur elle, me regardant d'un air totalement émotif. Je lui souris, voyant qu'elle avait vraiment été touché par ce maudit rêve et je la pris dans mes bras, la callant à mon torse. J'avouais qu'il ne faisait pas bien chaud quand on était torse nu une nuit en plein mois de janvier mais je m'en foutais, c'était elle qui comptait à l'heure actuelle. Je la tirais pour que l'on se couche, nos deux corps étendus l'un près de l'autre et je tirais le drap pour nous couvrir. Elle ne dit rien, ne refusa pas ma présence dans son lit et j'en fus soulagé.

Le calme de la pièce contrastait avec la panique que j'avais vu dans ses yeux. Je percevais son souffle ralentir un peu, mes mains dans son dos et son visage dans mon cou. Jamais je n'aurais pensé finir ma soirée ici en me levant ce matin. J'avais passé une journée de merde et j'avais pris le temps de réfléchir à ce que je voulais faire pour elle. J'avais vu dans mon bureau l'annuaire et j'avais pensé à appeler un fleuriste. Je ne pouvais pas envoyer un simple bouquet vu que Davis Morgan pouvait me frapper à coup de rose, alors j'avais pensé à plus... J'avais donné à mes voisines aussi un rôle primordial, surveiller le livreur et de me prévenir quand Beth serait là pour que je vienne encore m'excuser. Le truc était que je ne pensais pas qu'elle pleurerais ou qu'elle me dirait de venir, je pensais encore prendre un refus et j'avais été choqué par l'effort qu'elle avait fait.