Attention, cette scène pourrait heurter la sensibilité du jeune public, si vous ne souhaitez pas lire ce passage, rendez-vous à la page numéro 7 de ce chapitre.
Ne t'inquiètes pas Alice, je serai doux avec toi.
Ses mots me rassurent, ils me mettent en confiance.
Je saisis Peter par la nuque, embrasse son cou et en lèche la peau, je mordille sa chair entre mes dents en pressant mon anatomie contre la sienne le faisant gémir doucement.
L'envie de goûter ses lèvres est grandissante. Sa langue rencontre la mienne, la chaleur de nos deux corps ne cesse d'augmenter, chaque fois que Peter touche ma peau je ressens une vive brûlure comme marquée au fer rouge. Un intense plaisir me brûle le bas du ventre, je fais basculer Peter pour être au dessus de lui en continuant de l'embrasser et trace du bout des doigts le contour de ses muscles, de ses abdos, de sa V Line, doucement ma main descend de plus en plus bas mais avant que je n'atteigne le bas de son ventre Peter m'attrape le poignet pour m'empêcher de le faire languir.-J'aime quand tu es entreprenante comme ça Alice mais ne vas pas trop loin et laisse moi mener la danse, murmure-t-il près de mon oreille.
J'hoche la tête et le laisse s'attaquer à la peau de ma poitrine, il est précis dans le moindre de ses gestes et sait exactement toucher les endroits qui me procurent du plaisir.
Point de vue de Peter.
Mon dieu qu'est-ce qu'elle est belle, douce comme de la soie, sucrée comme un bonbon, fragile comme une allumette.
Je suis surpris lorsqu'elle prend l'initiative de monter sur moi à califourchon pour embrasser mon cou, ma poitrine et caresser mon torse, je sens sa main me provoquer la chair de poule lorsqu'elle dessine le contour de mes muscles, cette sensation est plus qu'agréable et je m'empresse de la délecter. Sa main descend toujours plus bas, il faut que je la stoppe avant qu'elle ne me rende dingue, d'un geste vif j'attrape son poignet et murmure doucement près de son oreille.-J'aime quand tu es entreprenante comme ça Alice mais ne vas pas trop loin et laisse moi mener la danse.
Je la refais glisser sous moi, plonge ma tête dans sa poitrine et la couvre de baisers brûlants. Je sens son cœur cogner contre sa cage thoracique et l'entendre battre si fort pour moi sonne comme une invitation à mordiller sa peau immaculée lui arrachant un petit couinement de plaisir.
Je remonte mon visage vers ses lèvres en léchant la peau entre ses seins, celle de son cou, sur le bord de sa mâchoire pour de nouveau l'embrasser.-Peter... gémit-elle entre mes lèvres.
Tout en continuant de garder le contact entre ses lèvres et les miennes je descends une de mes mains jusqu'à ses cuisses et doucement les écarte, caressant sa peau d'un mouvement rassurant.
Je me lève et pars chercher le fameux petit sachet dans la poche arrière de mon pantalon, un sachet que je me devais toujours d'avoir en présence de Wendy.Je me retourne vers Alice qui, haletante sur le lit me regarde faire alors que je déroule la protection sur moi. Doucement je reviens vers elle et suçote la peau à l'intérieur de ses cuisses avant de remonter vers son visage et d'embrasser le bout de son nez.
-Tu me dis si tu as mal, je m'arrêterai, promis-je à mon petit ange.
Elle se contente d'hocher la tête, appréhendant surement la douleur mais m'offre un sourire timide, je lui souris en retour et l'embrasse avant de donner un coup de bassin entre ses cuisses.
Point de vue Alice.
Peter s'avance et je ne peux m'empêcher de lâcher un petit cri de douleur, comme pour me rassurer il embrasse pleinement mes lèvres et attends un instant que je sois un peu plus détendue.
VOUS LISEZ
Neverland
FanfictionAvez-vous déjà rencontré Peter Pan ? Les contes décrivent un jeune homme de 14 ans souhaitant vivre loin des problèmes de la vie. Mais si tout était faux ? Si Peter Pan était un garçon bien plus âgé, narcissique et obstiné ? --Correction en cours--