Chapitre 39 ➕

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Dans la peau de Rosalie :

Moi : Bonsoir marie, il était temps que tu nous honneur de ta présence ..
dis je ironiquement, ce qui cause les ricanements des filles.

Marie : La petite fragile se rebelle devant ses amis ?? Je te le déconseilles petite sotte, tu sais de quoi je suis capable.

Papa : Marie ça suffit c'est ma fille, tranche t'il abruptement.

Marie : Ohh le papa cheri décide enfin de parler, mais mon cœur je dois bien l'éduquer et tu es bien trop faible pour le faire ...

Je grogne, je ne peux plus faire profil bas, malheureusement pour mon père il le faut, les filles prêtent à rappliquer, je leur interdit par la pensée.

Marie : Très charmant ces jeunes hommes, je me présente la mère de rosalie enchantée.

Kellian : De même.. réplique t'il d'un ton sec.
Deamon : Em.

Marie : Okay, pas très charmant mais séduisant.

Moi : Ai honte de toi, tu drague mes amis devant mon père.

Mon père commence à tousser et se tenir la cage thoracique, je me précipite à son chevet et un liquide rouge coule de ses lèvres entre ouverte.

Marie : Oh chéri tu n'as pas prit tes médicaments, c'est à cause d'elle,
tu vois elle ne prend même soin de toi, elle ne t'as pas appeler pendant son séjour, même pas une fois et maintenant elle fait la fille exemplaire pff.

Mon père : Je ne te permet..... Pas Marie.. C'est ma fille ... Et toi ma femme.

Marie : Alors faut faire un choix c'est soit elle ou moi dans cette maison.

Moi : Écoute moi bien, tu m'as battu et je n'ai rien dis, tu m'as martyriser et je n'ai rien dis, tu m'as maltraiter et encore j'ai fermer ma gueule mais maintenant ça suffit, je me demande se que mon père trouve en toi.

Marie : Il trouve se que ta catin de mère ne lui a pas donné.

Mon sang n'a fait qu'un tour, sans me rendre compte, la paume de main rencontre sa joue d'une gifle de camionneur. 

Moi : Tu peux tout me faire et me dire ou m'insulter mais je t'interdit de parler sur ma mère.

Elle fait couler des larmes de crocodile et se jette au cou de mon père.

Marie : T'as vue, je t'ai dis, elle me fait toujours ça, elle t'as mentis, je l'ai toujours considérer comme ma propre fille mais elle ne m'a jamais aimer .
Tu dois prendre une décision tôt au tard elle va s'en aller de cette maison et moi je serais toujours à tes cotés.
Tu as vu se qu'elle m'a fait, elle m'a giflée, fait quelque chose pour mon honneur.

Je reste bouche ouverte devant cette comédie, non impossible qu'elle le berne de cette façon comment peut elle jouer ainsi.

Mon père se relève difficilement et lui embrasse le front.

Papa : Rosalie il faut grandir, tu n' es plus petite maintenant et Marie est là pour toi, vraiment elle peux pas remplacer ta mère mais c'est elle qui c'est occupé de toi et arrête de mentir sur son dos car pas une fois le soir quand je rentre je te trouve pas propre et rassasier ou endormis dans ta chambre.

Marie : Je veux juste te donner la meilleur des éducations et tu fais qu'empiré ta situation.

Moi : Non mais je rêve papa, tu es sérieux de croire à ses mensonges ! Elle ment comme elle respire, elle a dépouillé ton argent, elle ne se soucie que d'elle, bordel papa ouvre les yeux.

L' amour d'un alpha possessif  Où les histoires vivent. Découvrez maintenant