Chapitre77

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Dans la peau de Rosalie :

Poignarde moi le coeur, poignarde moi le coeur et laisse cette lame me transpercer pour épargner la vie de mon enfant. Voila à quoi j'étais prête, je suis prête à mourir pour donner une chance à mon bébé, à ma moitié, de voir la lumière du jour ...
Si cette lame m'aurait transpercer le coeur, elle ne m'aurait pas fait autant de mal que de savoir mon propre enfant mort à cette heure ci..

J'ai perdue mon enfant, le fruit de notre amour à moi et à Alex.
Par la même occasion, mon âme c'est perdu dans le fond des ténèbres, comment vous dire?

Je suis anéantie, vide, inerte dans cette grande chambre qui n'est pas la mienne, ni celle de ma meute ...ce n'est pas l'odeur de mon âme soeur ni de mon loup, Toner où es tu ?

Mon coeur saigne de douleur et de chagrin, je suis séparer de mon âme- soeur, l'amour de ma vie, mon homme, celui qui me fait perdre littéralement la tête et fait battre mon coeur comme un tambour au rythme affoler, je ne suis plus auprès de celui qui enflamme mon être ni des bras muscle et chaud où seul dans ces derniers je suis en sécurité.
Et je n'ai pas pu protéger mon bébé, je suis horrible, une mère horrible...
J'ai tout perdu, Alexandre,mon amour où es tu ?

Je suis relié à différentes perfusions, tellement que je suis faible et sans vie, j'essaie de me redresser mais impossible, mes muscles sont endoloris et courbaturé à cause de mon excès de colère qui m'a emporter quand je me suis réveiller.

Ahhh oui mon réveille était dévastateur ....

Flashback :

j'ouvre difficilement mes yeux, aveugler par la lumière du jour, je cligne des yeux plusieurs fois et inspecte la chambre, elle est simple et belle mais comment ai-je pu atterrir sur se lit inconnu !

Ma gorge se noue et mon coeur se serre en repensant aux événements de la veille.

Mes mains se posent instinctivement sur mon ventre qui à présent est redevenu plat, aussi plat qu'une planche.

J'entre ouvre difficilement mes lèvres sèche et prononce d'une voie rouiller et faible ...
Moi: mon enfant, bébé, fais signe à maman s'il te plais... murmurait-je dans un sanglot en repensant à l'image de Sherine avec se maudit couteau.
Mes larmes coulent et ma voix se brise en un hurlement stride.

Je hurle de toute mes force, je hurle ma peine et ma douleur, je n'arrive plus à me contrôler, alimenter par une pousser d'adrénaline, je me redresse hors du lit avec cette robe immonde et explose contre le mur tout les objets qui me passe sous la main... je me tire les cheveux et pleure comme une folle, je frappe et jure de tout les noms, tout se qui se trouve sur mon passage.

Comment survivrais- je sans mon amour? Comment surmonterait je la perte de mon enfant ?

La porte de la chambre s'ouvre sur trois hommes et deux femme, je reconnais le bâtard qui m'a enlevé quand j'étais entre la vie et la mort ..

Ni une ni deux je fonce sur cet Alpha cruel et je lui assigne différents coups.
Tout en pleurant comme une hystérique.

Moi: ESPÈCE DE BÂTARD, ENCULER, VOUS AVEZ TUER MON FILS, QUEL GENRE DE BÂTARD ES TU ? ...... Je lui donne des coups encore et encore avec ma force qui ne fais pas le poid contre lui.

Je sens qu'il me serre dans ses bras et sa me répugne encore plus, je lui donne un coup dans ses bijoux de famille.

Il ma lâcher sec et grogne sans que je ne puisse réaliser, ma joue me brûle et me picote sous l'impact de la gifle. Putain elle est vraiment douloureuse.
Il ma donner une gifle ? Je reste ébahis part sa monstruosité et je le fusille du regard.
Lui: range ton regard si tu veux pas que je t'envoie dans le coma.. Crache t'il durement.

Il a les poings serrer, il se retient pour ne pas me démonter, mes larmes menacent de tomber et je les ravale avec le peu de fierté qui me reste.

Moi: sortez de cette chambre ou je vous jure sur la vie de mon enfant qui est mort que je me suiciderai .... Mon ton est ferme et dur, il n'y a pas une once d'hésitation.

Ils sortent de la chambre et la referme derrière eux en claquement la porte.

Fin du flashback.

Avec le peu d'énergie qu'il me reste, je saccage tout se qu'ils se trouver sur mon passage, le choque de ne plus sentir une moitié de moi remuer dans mes entrailles ma brutalement dévaster.
Sans oublier, la douleur de ne plus être avec mon âme soeur me détruit et me brise le coeur encore et encore en mille morceau.

Tout mon être souhaite seulement se réveiller de se cauchemar, perdre les deux êtres les plus cher est comme me condamner à perpétuité au fond d'un gouffre infecte et glacial.

Ma peine et ma souffrance sont sans précédente, comment survivre ? Pourquoi ne pas m'avoir laisser gisant dans mon sang et me laisser mourir.

La douleur n'aurais pas été aussi rude et brutal, deux choques émotionnel on suffit pour m'achevé. J'ai tout perdu, mon équilibre, le centre de ma vie, absolument tout...

Le regard dans le vide, je laisse mon âme erré dans le sombre, froid et glacier de la solitude et du chagrin ....

L' amour d'un alpha possessif  Où les histoires vivent. Découvrez maintenant