L' amour d'un alpha possessif

Chapitre 51 ➕

Dans la peau d Alex:

La peur, un sentiment bien enfouis dans chaqu'un d'entre nous, chaqu'un sa peur, sa frayeur, sa terreur, son angoisse .mais se soir je serais la terreur de mon ennemis, le froissant devant le triste sort que je lui réserve.

Dans la salle de réunion où tout mes guerriers, lieutenant et loups me rejoignent sans aucune nuance de peur dans leur yeux ma meute: <les Darck wolves> est reconstitué chacun a une histoire, un passé bien qu'il soit terrible, se qui fait leur force, leur dévouement à moi, leur alpha, qui leur a donné un abris, une famille avant tout.

Des loups incontrolables, d'autres solitaires et instables, j'en passe ceux qui fesait partie de ma meute, qui ont vu leur familles brûler sous leurs yeux lorsqu ils se sont opposer a Dimitri.
Nous somme fort, ruser, rapide mais surtout assoiffé de vengence et aveugler de haine.
Et ce n'est pas aujourd'hui qu'on va perdre, la queue entre les jambes car c'est l'heure tant attendu..

Nous avons des alliés certe pas nombreux mais ça fera le poids.
La meute de l'Alaska / l'Alpha de Pennsylvanie qui est un bon ami / la meute du Mexique et du Brésil.

Tout les alphas de ses meutes sont en chemin pour soutenir le combat ...

Je me rend compte qu'il n y'a plus personne sauf  Rayane, Sept, Derreck Taylor, Julie et Deamon mes bienveillants

Derreck: Alpha, notre luna est une guérisseuse qui veut dire une proie tres alléchante au yeux de nos ennemis tout comme nos alliés.

Moi: Je suis conscient du risque, elle est tellement précieuse, j'attendrai la première pleine lune pour la transformer après son accord soupirais-je.

La présence de Cerana perturbe mon loup qui s'agite, alors qu'un aigle royale fait son apparition sur le bord de la fenêtre.

Toner: Dégage se n'est pas tes affaires, vas jouer au babysitting aboie t-il.

Cerana: Du calme mon toutou, tout se qui concerne Rosalie me concerne alors à moins que tu préfère que je ne te prête main forte ??

Moi: Du calme Toner, elle reste un aventage pour nous et notre âme-soeur et plus en securité avec elle.

Toner:  Pigeonne de merde l'insulte t-il

Cerana:  Sac à puce.. rétorque t'elle 

Toner aussi colérique qu'une tempête déchaîner, bouillonne à l'intérieur engendrant mon mal de tête, j' ai tant bien que de mal réussi à le calmer jusqu'à la petite main douce de ma moitié me caresse la joue.
Se qui apaise la bête féroce et m'aide à reprendre le contrôle de mon corps.

Moi: Quesque tu fais la ? Demandais je en la prennant par la taille.

Elle: Tu me manques chuchot-elle contre mes lèvres.

Je la tire sur mes genoux et hume son odeur velouté.

Sept: Trouvez vous une chambre, vous n'êtes jamais asouvis ou quoi ? nous taquine t-il

Julie: Rohhhhhh mais laisse les toi,  vas y vient on va faire la course, à plus frero prend soin d'elle.

Rayan: Je suis de trop, alors je me tire, faite pas de bêtise dit il avant de s'éclipser.

Tout le monde sort nous laissant en toute intimité...

Rosie: Bébé ? Dit elle en se redressant sur mes genoux.

Moi: Mh....trop occuper à embrassé son cou.

Rosie: Je ne sais par où commencer !!!Des questions fusent dans mon esprit de tout genre à m'en faire perdre la tête, j'angoisse affreusement, cette peur qui ne quitte pas mon coeur, l'inquiétude qui me ronge, si il t'arrive malheur à toi ou autre, et si je peux aider ? et si..

Moi: Pas de si la coupais je dans son délire, se qui arrivera, je vais lui botter le cul et revenir faire l' amour à la femme de ma vie, arrête de te tracasser tant que je suis à tes côtés mon ange.

Rosalie: Laisse moi t'accompagner Alex, je serais mortifier par les illusions atroces monter de toute piece par mon cerveau qui bouillera d'inquiétude.

Ne me fait pas ses yeux de chien battue et cette tête de bébé Rosalie je peux pas résister.

Moi: C'est trop dangereux petit volcan je me pardonnerai pas si ça tourne au vinaigre.

Rosalie: Il n' y a pas un endroit plus sûre, qu'être à tes cotés, mon rôle est d'être avec toi au premier rang, c'est le rôle de la luna d'une meute. Combattre avec son âme-soeur avant d'être humaine, je suis guérisseuse .. Tu te bats alors je me bat, tu tombes je tombe, tu saignes je saigne, tu meurs je meurs.
M' éloigner de toi fera ta faiblesse alors laisse moi venir au près de toi bébé s'il te plait ?

Et puis merde comment résister a se bout de femme, je soufle et passe mes mains nerveusement sur mes cheveux .

Moi: Tu as raison, mais tu sera plus utile si tu te reposes un max à la maison et tu soigneras les blesser si il y en a ?

Elle semble réfléchir.

Moi: C'est la meilleur solution pour toi et moi fait moi confiance.

Elle: Tu me saoules, j'ai juré y a aucun moyens de te faire changer d' avis ?

Moi: C'est perdu d'avance malgré que c'est bien difficile de résister à ta bouille angélique.

Elle rit et je m'empare de ses délicieuse levres qui me font de l'oeil depuis un moment, je maltraite sa levre entre mes dents au point de la faire gémir, mes mains glissent subtilement vers la courbe de son cul bien rebondi et ferme comme je les aime.

Toner: Des intrus m'avertit il
M

oi: Je les sens aussi.
Toner: c'est est l'heure

Rosalie: l'heure de quoi ? Nonnnn c'est encore trop tôt pas ça Alex sanglot elle.

Toner: Rosalie, bébé pleure pas  je t'aime.

Elle: Je t'aime aussi mon beau loup.

Moi: Rentrons à la maison essuyais  je ses larmes.

Moi: Derreck preparer vous ils sont là
Derreck: Tout comme nos alliés son au portail.
Moi: Fait les rentrés j'arrive.

Mon petit chaton est accrocher a mon cou, ses jambes autour de ma taille et mes large main supportant sont poid sous ses fesses,son visage nicher dans le creux de mon cou où des perles salée coulent a flot, se qui me brise le coeur, je ressent son angoisse, sa peur. Et sa douleur, elle veut pas se séparé de moi mais le devoir m'appele.

J'arrive à ma villa, enfin chez nous comme elle le dit si bien, faisant abstraction du reste, je trace la route sans broncher vers notre chambre, notre petit coin où nous avons passer les meilleurs et les plus intimes moments depuis notre rencontre.
Je la dépose avec delicatesse sur notre lit, pour ensuite l'embrasser sauvagement et avec fougue, il m'a fallut peu pour que ma virilté durcisse lorsqu'elle à ecarter ses cuisse pour les enrouler autour de mon bassin, la chaleur monte d'un cran, alors je lui remonte sa robe jusqu à la taille où j'empoigne ses poignées d'amour et déchire son dessous ..

Elle: Une dernière fois encore mon amour murmure t'elle les joues inonder de larmes.

Sans preliminaire, je m'enfonce en elle d'un coup de bassin, son étroitesse me rend fou... je meurs pour cette fille, elle aura ma peau, ma petite femme a moi.
Un pure delice, la luxure à l'état sauvage, notre étreinte aussi passionner que les flammes des incendies ravageuses, mes coups de reins synchroniser a son déhanchement de bassin, nos lèvres  scellé, nos langues entremêlés tout se dont nous avions besoin pour atteindre le septième ciel ....