Chapitre 28

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Chapitre 28:

PDV Liam

Une femme, certainemment la mère de Caroline, me poussa légèrement les épaules pour essayer d'entrer. Je la repoussais toujours.

-Je veux aller voir ma fille, dit-elle brusquement.

-Je crois que vous ne méritez plus le droit de dire que c'est votre fille, soufflais-je.

-Laissez-moi entrer!Dit-elle en haussant le ton.

Je me retourna vers mon amoureuse. Quelques gouttes d'eau avaient roulées le long de ses joues. Elle hocha la tête et je me tassa, laissant sa mère entrer suivi de son père. Caroline descenda du comptoir où elle était assise pour confronter sa mère.

PDV Caroline

Elle arriva face à moi, et elle essaya de m'enlacer. Je me tassa en soupirant. J'essaya de partir mais elle saisit mon bras.

-Ne me touches pas! grognais-je.

Elle serra encore plus mon bras et elle essaya de m'attirer vers elle.

-J'espère que tu as fait tes valises, dit-elle.

-Non, lâche-moi, dis-je en haussant le ton.

Je regarda derrière son épaule et j'aperçue mon père. Ça parraîssait dans son visage qu'il ne voulait pas de moi, ma mère l'obligeait sûrement à m'accepter.

-On ira chercher tes choses une autre fois alors, dit-elle.

Un sourire arrogant parsemaient ses lèvres mince.

-Tu me dégoûtes, t'es pitoyable, soupirais en retirant mon bras de sa pogne.

Je me recula vers liam, je colla mon dos contre son torse. Il mit ses larges mains sur mes hanches, me collant encore plus contre lui.

Ma mère laissa échapper un ricanement, un ricanement arrogant, rempli de haïne et de dégoût. Je fronça légèrement les sourcils suite à son attitude grotesque.

-Tu préfères être avec lui, ce mec sans avenir et de vivre dans ce trou minable que de venir avec moi? demanda-t-elle. Le dégoût était flagrant dans sa voix froide.

J'hocha la tête, de la colère m'envahissait.

-Je t'interdis te parler de lui de cette façon!Criais-je en me décollant de mon amoureux.

Je m'approchais dangeureusement de ma mère. Je lança un regard au loin; mon père soupirait en secouant sa tête.

-C'est la vérité que je dis!Pauvre enfant, tu penses vraiment que ce garçon pourrait subvenir à tes besoin toute ta vie? Tu penses vraiment qu'il t'aime? Il veux juste baiser avec toi, ça se voit si bien! tu coucheras avec lui et ensuite, il te jeteras aux ordures, c'est ce que tu es de toute façon, une ordure.

Des larmes avaient coulées sur ma joue alors qu'elle me souriait arrogamment. J'avais juste envie de hurler! Comment osait-elle dire ses choses horribles sur liam? Je sais très bien qu'il est capable de subvenir à mes besoins, oh oui je le sais. Et j'ai baiser avec lui, et il ne m'a pas "jeter aux ordures"? Ma mère est une salope, tout était clair dans ma tête.

Le visage de ma mère et le mien n'étaient qu'à quelques centimètres.

-Tu ne réponds rien? Tu sais que j'ai raison? Ricana-t-elle.

La colère envahi tout mon corps; sa remarque fut de trop.

-Salope...soufflais-je méchamment.

-Pardon? Hurla-t-elle.

Sa main se dirigea vers ma joue à une vitesse folle. La douleur dû à la gifle me fit crier de mal. Je saisie ma joue et je lança un regard furieux à ma mère.

-Tu le sais que j'ai raison, pas vrai? Putain de salope! Criais-je.

Le regard furieux de ma mère était rivé sur moi. Brusquemment, deux mains saisirent mes épaules, me retirant du danger. Je me tourna et je regarda mon amoureux; de l'inquiétude était imprimée sur son visage.

Mon père alla saisir ma mère, l'entraînant vers lui.

-Laisse-là, c'est un cas perdu de toute façon. Dans une semaine il l'aura baisée assez et elle se ramassera dans la rue...C'est pas grave elle le mérite, souffla mon père à ma mère.

-Prenez la porte immédiatement, dit brusquement Liam, alors qu'il refermait ses bras autour de mon corps.

Mon père me lança un regard dégouté avan d'obéïr. Ma mère s'était réfugiée dans ses bras, elle n'osait même plus me regarder.

Mon père claqua violemment la porte lorsqu'il quitta le logement. Peu de secondes après, j'éclata en sanglots contre liam...

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