Néoh's Life

Souvenirs d'Avril et réflexion sur tout et rien.

-Tout n'est pas rien, mais rien est tout- je sais, ça n'a rien à faire là, mais voilà, je le met, et c'est de moi! 😂
Bref 😂

___________

La classe était vide, c'était un beau matin d’avril, et tout les enfants étaient allé jouer dehors par le beau soleil qui y trainé.

Je restais là, sur le pas de la porte, hésitant encore fortement avant de m’engouffrer dans cette cours de récré digne des pires catastrophe.

Je devais avoir 7 ou 8 ans à cette époque. Et j’étais frêle et petit.

Rien pour me protéger, autre que mes cheveux, qui bouclé dans tous les sens que ma mère ne savait pas comment faire pour atténuer les anglaises.

Je trouvais ça joli malgré moi, mais j’avais chaud pendant l’été et c'était impossible de vivre avec ce truc sur la tête.

Je regardai un des garçons qui m’avait tabassé la dernière fois. D’un regard noir, et méchant. Je le détestait. Il m’avait fait énormément mal, et été aller dire qu’en plsi, c'était moi le fautif.

J’ai encore des bleus au niveau de la lèvre, et en dessous de l’oeil.

Me préparant à sortir avec un livre que j’avais pris à la bibliothèque, je sorti, m’assit sur un banc a l'ombre, et lu.

Mais pas assez, car un garçon vint me voir, les cheveux blond coupé ras, et de grosses joues qui contrastait avec son physique fin. Visiblement, il ne me voulais pas que du bien, puisqu'il prit mon livre, et le jeta par terre dans un silence le plus complet.

Je regarder la face du garçon, puis mon livre, désormais sur le goudron, légérement abimer.

_Pourquoi t’as fait ça! Je t’ai rien fait! Je cria en ramassant a la hâte mon livre.

_Tu m’énerve à lire, espèce d’intello! Me cria-t-il en ouvrant bien la bouche, montrant une dent en moins dans sa petite mâchoire.

_Au moins, je sais lire ! Moi!

Il me regarda alors d’un air méchant et me poussa par terre alors que je m’étais mis debout, le livre sur le banc.

Ah non, ça va pas encore recommencer!

_Redis le encore! Et je te met un point dans ton visage pourri!

_Tu me fais pas peur!

Il me regarda me relever, puis lança violemment une droite au niveau de la mâchoire, qui m’arracha un cri de douleur.

Je me retrouvai à terre, une main à ma bouche, ma dent qui bougé tomber sur la langue.

Je la sorti puis la plaça sur le livre avant de me relever, et lui rendre son coup.

Il esquiva légèrement, mais se le reçu dans l’abdomen. Il gémit, puis posa un genou par terre.

À l’origine que tous les deux, il avait maintenant toute une orde d’enfants, dont certains venant de ma classe.