Chapitre 25

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PDV ETHAN ( Ellipse de 7 Mois)

Julia à maintenant un ventre aussi rond qu'un ballon de foot. Elle vient d'entamer sont huitième mois tous juste et j'en ai profité à fond de ses semaines passé avec elle. Nous avons décidé de garder ma maison pour nous, quand le bébé arrivera. D'ailleurs, notre petite fille va très bien et n'a aucune séquelle de la perte de son frère.

En secret, j'ai rénové la chambre de notre petite fille, pour faire la surprise à Julia, lorsque je partirais.

Nous sommes tout les deux chez-moi, enfin chez nous maintenant nous pouvons dire ça, car elle passe la moitié de son temps ici, ce que je préfère vu son état.

Nous regardons encore un film à l'eau de rose, pour madame. Je crois que le titre, c'est avant nous, ou avant toi. Oui, c'est avant toi, apparemment, il est trop bien, mais pour l'instant à part voir la fille que j'aime rigoler ou pleurer, c'est tous, il n'y a pas de violence ni de compétition.

- Julia, je t'aime...M'exclamais-je juste pour la déconcentrer, mais apparemment, elleest plus obnubilée par monsieur, je ne sais pas comment, que moi.Mon ego en prend un coup.

A la fin du film, mon amour pleurs à chaude larme, je la serre dans les bras pour lui montrer que je suis là pour elle. 

- Promets-moi de ne jamais melaisser comme ça, promets-moi de toujours m'aimer et de ne paspartir même si tu dois mourir.

Je ne m'attendais pas à ça, je ne sais pas quoi répondre et malheureusement comme je l'aime, je crois que j'ai dit un truc que je vais regretter toute ma vie. 

-Je te le promets joli cœur.

Elle s'endort ensuite dans mes bras et je l'amène dans notre chambre. Étant déjà en pyjama, je n'ai pas besoin de me changer et idem pour Julia.Je m'endors ensuite blottis contre elle. 

Je me réveille vers six heures, Julia dort toujours. Enfin réveiller est un bien grand mot lorsque nous n'avons pas fermé l'œil de la nuit n'es pas ?

Je me lève et me prépare sans bruit, pour ne pas la réveiller.

Après avoir embrassé délicatement ma Julia et avoir déposé un petit mot expliquant le fait que je ne sois pas là à son réveil, sur sa table de chevet. Je descends les escaliers, toujours silencieusement.

Une fois en bas, je prends directement mes clés de voiture, posée sur le comptoir et me dirige vers ce lieu qui changera toute ma vie et la sienne. J'en suis déjà d'avance désolée. 

Je roule dans le silence, pas de musique que mes pensées pour ce trajet court, mais pourtant long intellectuellement. 

Je me gare devant ce bâtiment. J'ai qu'une envie, faire demi-tour, mais malgré toutes mes peurs et mes questions, une force inespérée me fait avancer doucement, les mains dans les poches, vers l'entrée de cet endroit complètement nouveau et stressant pour moi. 

Ma main vient se poser soigneusement sur la poignée, sans même réfléchir au sens de l'ouverture je me mis à la pousser.

La porte s'élargit au furet à mesure que j'avance vers celle-ci. Des bureaux se dressent alors devant moi. Mon cœur s'accélère en voyant que maintenant, il n'y a plus de retour en arrière et que je vais sans doute perdre la femme que j'aime, juste pour ne plus avoir de problème ailleurs. Je suis en panique ai-je fait le bon choix de venir ici ce soir où est-ce que c'est une erreur qu'il faudrait que je me permette de franchir.

Mais il est trop tard, l'homme posté en face du bureau devant moi me regarde désormais.

Je ne m'avance pas tout de suite vers lui. Je le vois articuler quelque chose, mais je n'entends rien à part les bourdonnements dans mes oreilles.

La panique doit se lire sur mon visage, car ce n'est pas moi qui avance comme en règle générale, mais lui qui vient vers moi.

Ses lèvres qui bougent montre qu'il me parle toujours, j'ai beau essayé de me calmer c'est trop dur. Il fait alors signe à un de ses collègues devenir. Celui-ci revient avec une barre de céréale, de l'eau dans un petit cône cartonné.

A mon avis mon état exprime que je vais tomber dans les pommes, mais il n'en est rien de cela. Je prends quand même le gobelet, que le deuxième homme me tend,histoire de me réhydrater, car je sais très bien que ceci ne changera en rien mon état.

Je m'assois ensuite sur une chaise et ferme les yeux un instant pour me calmer. Des paroles de ma mère me reviennent alors en mémoire.

« Inspire... Expire...Inspire... Expire »

J'applique alors ses conseils à la lettre et réussi par chance à me calmer.

- Monsieur, vous allez mieux? Me demanda le premier homme.

- Oui, merci...

- Alors pourquoi êtes-vousvenue ici ? M'interroge le second.

- Je suis venue ,vousparlez d'un club illégal, le club Blum.

- D'accord, alors, suivez-nous.

- Je fais ce qu'il me dit et le suit donc.

- Installez-vous là,quelqu'un va venir vous interroger.

J'attends donc que ce «quelqu'un » ouvre cette porte et m'écoute. Vous l'aurez peut-être deviné, si je suis ici, c'est pour éviter le chantage de mon géniteur et surtout éviter de me marier avec Clara.

- Alors apparemment, vousavez quelque chose à nous expliquer monsieur ?

- Oui monsieur l'agent.C'est à propos du club Blum.

- Vous parlez du club qui afait polémique il y a maintenant un an et demi ?

- C'est exact, etjustement, je voudrais parler de cette affaire.

- Allez-y, je vous écoute.

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Coucouuuu 😘 Désolé pour le retard mais je suis partie en vacances et je n'ai pas vue le temps passé alors aujourd'hui bonne nouvelle pour celle et ceux qui attendait la suite.

PS: et c'est pas fini la suite arrive bientôt avant de vous laisser pour des explications.

À toute suite 😘

Harmonie Parfaite Où les histoires vivent. Découvrez maintenant