Chapitre 17

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  PDV ETHAN

Nous sommes rentré chacun de notre côté, car j'ai décidé de rester un peu plus que deux jours, sur cette île.

Je reviens que pour son mariage, et oui malgré tous, j'ai décidé d'y aller, mais en temps que simple invité et non témoin. Je ne pouvais pas être aussi proche de la femme que j'aime sans l'épouser.

Je me tiens dorénavant sur un banc en merisier tant connue des églises et attends patiemment que la cérémonie passe.
Comment vous dire que j'attends que quelqu'un se lève pour interrompre le mariage, ça devrais être moi et toutes les personnes de cette salle le sait, à commencer par Julia.
La phrase temps désirée est enfin en train d'être prononcé.

- Si quelqu'un s'oppose à cette union qu'il parle ou se taise à jamais.

  Un blanc s'installe. Vous allez me dire, mais qu'es-ce que tu fous, lève toi et dis haut et fort, devant tout le monde que tu l'aimes, que ce mariage n'est pas sincère. Vous savez quoi j'abandonne malgré que j'aie tant rêvé de me lever lors de la cérémonie dans cette église et crier devant tout le monde « JE T'AIME JULIA ! ». Mais maintenant que le moment est arrivé, je ne peux pas lui faire ça, je lui ai promis de la rendre heureuse, et si c'est être avec lui qui l'a rends heureuse alors je la laisserais se marier à lui.

Je fixe, alors les deux amoureux, la larme à l'œil. Je ne suis pas sensible à ce mariage, je suis juste en train de perdre mon premier amour, et cela, pour toujours, c'est une partie de ma vie qui pars.

Ayant personne qui répond la cérémonie continue.

- Max, voulez vous prendre Julia ici présente ?
- Oui, je le veux...  

  C'est trop pour moi, je me lève et me précipite vers la sortie, je cours ensuite prêts du cimetière à bateau, je m'installe sur un banc et contemple la vue qui s'offre à moi, je suis paralysé, j'ai l'impression d'avoir perdu quelque chose, je ne ressens plus rien, je sais que je devrais pourtant, c'est comme si le vrai moi était partie. Je suis comme perdu et ca me tue de l'intérieur, je suis paralysé.

Maman, j'aurais tellement voulu que tu sois là que tu me raisonnes, que tu me dises que si tu désires l'amour, tu devras outrepasser la peine. J'aurais souhaité que tu me dises, que si tu désires l'amour, tu devras changer. J'aurais souhaité que quelqu'un me dise, que si tu désires la confiance, tu devras en donner en retour sous peine d'être déçu pars fois.

- Ethan ?!

- Julia ?!

Elle s'installe, et ne dit pas un mot.

  - Toutes mes félicitations, tu seras heureuse, j'en suis sûr.

- Je sais...

- N'en dis pas plus s'il te plaît, je me sens déjà assez mal.

- Ethan...

- Non Julia ! La coupais-je une deuxième fois.

- Ethan, écoute moi, je sais que je serais heureuse parce que je serais avec l'homme que j'aime, ma fille. Je sais que c'est pas comme ça que je voulais que ca se passe, mais je me suis accroché à des parts de nous, et ça depuis le début.

- S'en est trop...

Je me lève et commence à partir.

  - Ethan, c'est de nous que je parle, je t'aime et ça depuis le premier jour où je t'ai vues pars la fenêtre alors que tu me surprenais à chanter et danser. Depuis que tes yeux se sont posé sur moi, je me suis sentie comme différentes et c'est peut-être pour ça que Lucas ne voulais pas que tu sortes avec moi, il avait peur de retrouver une petite sœur différente au retour. Mais je suis fière d'être devenue cette fille grâce à toi.

- Julia, qu'essayes tu de me dire ?

- Ce que j'essaye de te dire, c'est que je t'aime et que je n'ai pas épousé Max, je ne pouvais pas alors que mon cœur était déjà pris une autre personne.

Je suis sûr que je souris comme un idiot en ce moment, mais je m'en fous la personne que j'aime viens de me dire que c'est réciproque.

- Julia !

- Non Ethan, attend, je n'ai pas fini. Je voudrais que tu me baises là maintenant sur ce banc ! M'ordonne-t-elle.

  - Non Julia, je ne te baiserais pas, je te ferais l'amour jusqu'à ce que tu me supplies d'arrêter, et pas ici dans notre chambre.

Elle saute dans mes bras et m'embrasse à pleine bouche, pour ensuite me susurrer à l'oreille :

- Amène-moi vite dans cette chambre, je ne peux plus tenir.

Aussitôt dit aussitôt fait. Je la porte en mode princesse jusqu'à chez elle, je m'en fiche de croisé Max, je veux juste lui monter à quel point je l'aime en la faisant jouir.

PDV JULIA

Il me pose délicatement sur le lit, retire mes chaussures et soulève ma robe.

- Tu es juste sublime dans cette robe, mais ça va être compliqué avec.

  Je me lève et me retourne pour qu'il puisse me défaire la faire fermeture éclaire située au niveau du dos.
Il commence à m'embrasser sur tout le long du dos tout en descendant ma robe, des frissons me parviens. Je voudrais que ça aille plus vite, mais il aime faire durer le plaisir.

Ma robe est au sol à présent, je me baisse au niveau de son bassin, pour enlever sa ceinture ainsi que tout ce qui recouvre son membre inférieur. Son pénis est maintenant fièrement dressé devant moi, je ne peux que la titiller avec ma langue. Il commence à grogner. Sa voix sensuelle et grave m'avait manqué. Je la prends en bouche et commence des mouvements d'avant en arrière.

Il pose sa main sur ma tête et me pousse sur le lit.

- Si tu continues ainsi, je risque de venir très vite et je voudrais que ça dure le plus longtemps possible, pour rattraper tout ce qu'on à oublié et le temps.

Je me contente de hocher la tête et d'attendre qu'ils reviennent à la charge, ce qui ne tarda pas à arriver.

Il descend ma culotte, puis remonte ses mains tout en caressant mes jambes avant de s'arrêter au niveau de ma vulve. Il y dépose sa langue, et commence à la bouger pour émoustiller, ce qui fonctionne drôlement bien. Bon dieu tout ce que j'ai loupé durant ces années.   

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Et voilà c'est bientôt la fin... J'espère que se chapitre vous a plus à bientôt pour l'un des chapitres finales.

Harmonie Parfaite Où les histoires vivent. Découvrez maintenant