Chapitre 10

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PDV JULIA

Purée, mais qu'es qui m'a pris de l'embrasser. Parce que tu l'aimes. Non, j'aime Max et je vais me marier avec, alors quand on ne sait pas, conscience, on se tait.

Si j'avais su tout cela avant, je sais que je l'aurais attendu et que tous serais différent, mais ce n'est pas le cas alors je vais me marier avec l'homme que j'apprécie et Ethan et moi serons amis rien de plus.

Plus facile à dire cas faire...

Ellipse de deux jours

Je me sens toujours affreusement honteuse par rapport à la dernière fois, mais si on n'en parle pas, je pense que ça devrais le faire...

- Salut toi. S'exclame Ethan en avancent vers moi.

Ça y es, je panique, mais mains son pâteuse et j'ai une sensation de chaleur dans le bas-ventre. Je lui fais un grand sourire en guise de réponse n'arrivant pas à articuler le moindre mot. Il ne dit rien fasse à mon mutisme soudain.

Nous rentrons dans le magasin et décidons d'aller directement dans le rayon luminaire situé sur notre gauche.

- Tu veux des bougies en centre de table ? Me demande Ethan en me voyant hésiter entre les couleurs.

- Oui pourquoi t'aime pas ça ?

- Si, si de toute façon ce n'est pas mon mariage. Sourit-il de travers.

- C'est sur, mais tu es le témoin alors choisi moi les couleurs s'il te plaît.

- Ok, tu es sur de ce que tu me dis là ?

Et avant même que je réponde, il me sélectionne deux couleurs différentes.

- Rouge et argent ?

- Bah quoi t'aime pas ? Tu m'as demandé de choisir, c'est à tes risques et péril.

- Mmmh d'accord, mais enlève les rouges, on n'est pas à noël. Argumentais-je.

- Tu n'as pas tords, mais je trouve que pour un mariage, il faut deux couleurs différentes.

- Je suis entièrement d'accord. Mais pourquoi pas prendre une bougie argentée...

- Et prendre un bouquet de fleurs rose pale ? Me coupa Ethan.

- J'adore ton idée.

Nous nous tapons dans les mains et allons choisir tout ce qu'il faut.
Nous sommes maintenant à la caisse et je fais le check-up de ma liste de décoration, pendant qu'Ethan pose les articles sur le tapis de caisse.

- Alors centre de table argenté à paillettes, c'est bon. Flûte et verre à vin, c'est fait. Nappe blanche avec ruban rose pale vers la fin du bout de tissu, c'est bon. Ballon avec des petits écrits et sans, c'est pris...

Je vous passe le reste des détails de la décoration.

- Cela vous fera un total de, mille deux cent dollars. En liquide ou par carte ?

- Franchement, j'ai une tête à avoir mille dollars en poche. Pensais-je en mois même.

- Non, madame, mais c'est la procédure.

Et merde, j'ai pensé à voix haute, je cherche du soutien de la part d'Ethan, mais celui-ci est déjà partie dans un fou rire incontrôlé. Merci du soutiens l'ami...

- Excusez-moi, par carte madame. Rougissais-je.

- Oh la vache, tu es trop drôle toi ! Hurle Ethan, une fois sur le parking.

- Niania ! Lui tirais-je la langue.

- Gamine. Rigole-t-il. Et cette fois-ci, je l'accompagne dans son délire.

PDV ETHAN

Tout en rigolant je la regarde rire. Ses yeux sont partiellement clos et ses joues son rougis et retrousser. Tandis que ses cheveux bruns volent au vent et reflètent au soleil. Elle s'arrête de rire et nos regards son désormais plongé l'un dans l'autre.

- Qu'es-ce qu'il y a, j'ai un truc sur mon visage. Lâche-t-elle en se frottant la tête avec ses mains.

- Non rien, arrête de te frotter le visage, on dirait une gogole.

L'aire de rien, je continue de charger la voiture, tout en faisant le sourd d'oreille au cas où elle me poserait une question piège.

- Bon, maintenant, où allons nous ?

- À mon agence déposer tous ça, dans la salle prévue à cet effet.

Elle rentra l'adresse sur mon GPS et me laissa ensuite conduire jusqu'à destination.

- Et voilà, on est arrivé. M'indique-t-elle de son doigt.

Je sors donc de la voiture et me dirige les bras chargé de toute la décoration vers la boutique.
Je la suis ensuite dans les couloirs vide de l'entreprise vu qu'il est déjà dis-huit heure.

- Et voilà, c'est ici. Me dit-elle en ouvrant une porte qui donne tous droit dans une salle de musique.

- Dans une salle de musique ?

- Oui, c'est la mienne, c'est un peu mon bureau.

- Oh, donc tu joues encore ? Demandais-je en posant les sacs par terre.

- Plus vraiment, sauf pour les demandeurs. Avoue-t-elle.

- Et bah, alors je te le demande.

- Non pas, ce soir, je suis trop crevé, mais joues toi si tu veux.

- Très bien, alors prête moi une guitare.

J'ai une chanson que j'écoute souvent quand je ne vais pas bien qui me passe en tête. Je sais ce que vous aller dire lorsque vous aller l'entendre, que je suis un gros canard, mais, je vous arrête tout de suite, c'est faux. Je suis un canard seulement pour cette fille qui se tiens devant moi et que je rêve d'embrasser et de tant d'autre choses.

Elle me passe une guitare et s'excuse si elle n'est plus accordée, car elle ne l'utilise plus vraiment.

Je commence à jouer une version française de Happier d'Ed Shereen.

- Marchant dans la rue 29th et le parcours
Je t'ai vue dans les bras d'un autre homme
On s'est séparés il y a seulement un mois
Tu as l'air plus heureuse
Je t'ai vue entrer dans un bar
Il a dit quelque chose pour te faire rire
J'ai vu que vos sourires étaient plus grands que les nôtres
Oui, tu as l'aire plus heureuse, tu l'es.

Personne ne t'a blessée comme moi, je l'ai fait
Mais personne ne t'aime comme moi
Je te promets que je ne le prends pas mal, bébé
Si tu passes à autre chose avec quelqu'un d'autre...

Je m'arrête en voyant Julia pleurer.

- Julia, pourquoi, tu, pleurs ?

- Hein, je ne pleure pas ? Dit-elle surpris par ce que je lui dis.

- Si... J'essuie alors à l'aide de mes pouces ses larmes.

- J'ai peur Ethan, et si ce n'étais pas lui que j'aimais...

Harmonie Parfaite Où les histoires vivent. Découvrez maintenant