❝ - Tu crois être forte, mais tu n'es absolument rien du tout.
- Je suis la fille de Tony Stark, je pense que c'est bien assez. ❞
La plupart des gens aiment dire et penser que j'ai beaucoup de chance et que j'ai une vie parfaite.
Loin de là, veui...
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GABRIELLA STARK
« — Et comment on fait ? Tu viens chez moi ou on va chez toi ? »
Bien que cette phrase semble excessivement suspecte, Peter me demande juste où est-ce que nous pourrions continuer de travailler.
Pourquoi est-ce qu'il a fallut que ce professeur de malheur nous mette ensemble pour ce devoir. Il vaut pour une bonne partie de la note finale, et avec Peter pour partenaire, ce ne sera pas vraiment évident.
« — Chez moi, je dis en rangeant mes affaires dans mon sac, avant de lui attribuer un sourire sarcastique. Je suis sûre que mon père et les autres seront ravis de te voir.
— Gabe... Il soupire alors que je me lève rapidement en ayant entendu la sonnerie. Tu sais bien que-
— C'est bon Pete, je secoue ma main vers l'arrière alors qu'il me suit, sortant de la classe. »
Je fronce les sourcils lorsque je remarque qu'il ne réplique pas à ma remarque. Je me retourne pour le voir sourire comme un idiot.
Ma tête à un mouvement de recul avant de hausser un sourcil.
« — Qu'est-ce qui te fait sourire comme ça ?
— Tu m'as appelé Pete. »
Je cache tant bien que de mal mon agacement et avale difficilement ma salive avant de hausser les épaules sereinement.
« — C'est l'habitude, j'imagine. »
Nous nous dirigeons vers la sortie et je vois déjà les regards que va me lancer mon père quand nous serons à la maison.
Oui, je sais, vous vous dites "mais tu viens seulement d'arriver en cours, pourquoi tu pars déjà ? "
Eh bien figurez vous que c'est l'après-midi, j'ai une heure de chimie le matin et une heure de physique en dernier moment de la journée. Et comme nous avons le même professeur pour les deux matières, il s'est dit que nous pourrions continuer notre travail, histoire de ne pas perdre de temps.
Les mains dans les poches de mon jeans, je marche rapidement sans attendre Peter, plus lent derrière moi.
Voyant la Range Rover imposante avec laquelle Happy vient me chercher tous les jours, j'accélère et me retrouve rapidement dans la voiture en attendant le retardataire, les bras croisés sur ma poitrine.
