❝ - Tu crois être forte, mais tu n'es absolument rien du tout.
- Je suis la fille de Tony Stark, je pense que c'est bien assez. ❞
La plupart des gens aiment dire et penser que j'ai beaucoup de chance et que j'ai une vie parfaite.
Loin de là, veui...
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« — Tu l'as juste touché ?
— Oui ! Enfin, j'ai peut-être serré un peu, mais ça s'arrête là. »
Mes yeux sont plantés dans ceux de mon père, me regardant attentivement de l'arrière de son écran.
Nous sommes dans le labo d'analyse de la tour. Lorsque j'ai failli étrangler Flash Thompson ce matin, j'ai alerté toute l'école. La directrice est venue, m'a prise dans son bureau et m'a engueuler jusqu'à ce que mon père arrive.
Lorsque l'on traversait le couloir direction le bureau, beaucoup d'élèves étaient là, me toisant de haut en bas, me pointant du doigt et parlant sur mon dos. J'ai pu entendre certaines de leurs paroles. Des mots comme monstre, détraquée, abomination, sont plus rapidement arrivés à mon cerveau, ne m'enchantant pas vraiment.
Tony est arrivé rapidement, n'ayant pas vraiment compris ce que la directrice lui voulait étant donné qu'elle hurlait presque au téléphone que j'avais un sérieux problème et que j'étais un danger publique.
Il n'avait même pas posé un pied dans la pièce que la femme l'assaillait déjà de questions sur moi et sur ce qu'il me donnait à manger le matin pour que je sois devenue un barbecue sur pattes.
J'ai vu ses yeux s'écarquiller en posant ses yeux sur les miens. Il s'est excusé immédiatement, m'a attrapé par le bras et m'a forcé à sortir du lycée sans attendre l'autorisation de la directrice.
Nous sommes passés devant Peter, accompagné de Matrix, me regardant avec interrogation.
Mon père l'a regardé et lui a fait un signe de la tête quelconque. Bien qu'il m'ait semblé inutile et incompréhensible, Pete semblait l'avoir capté étant donné qu'il lui rendit, le visage sombre.
Il m'a ensuite observé et je lui ai juste mimé que je lui enverrai un message plus tard.
Depuis, nous sommes dans le labo.
Tony m'a déjà fait quelques analyse de sang, ne donnant pas vraiment de résultats selon lui.
Maintenant, il tient à me faire un scanner, sensé lui faire voir d'où venait le problème précisément.
Je lui ai bien dis que ça vient de mes mains, mais il semble persuadé que c'est plus grave que ça.
Il sait vraiment bien comment me rassurer, c'est une super qualité.
« — Allonges-toi sur le banc, me dit-il en désignant la machine à côté de moi, ce que je fais. Ça ne va pas faire mal, ça ne durera que quelques secondes. »
Je hoche la tête alors que le banc rentre dans la machine sensée me scanner.
Je plisse les yeux lorsqu'une lumière m'éblouis, et serre les dents en remarquant à quel point on est à l'étroit dans ce truc.
