Chapitre 5 (Partie 3)

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♧PDV Niall♧

Je me réveille doucement sur le même fauteuil ou je me trouvais avant. A la seule différence est que Liam soit à genou face à moi et que ce soit lui qui mai réveillé.

En le regardant bien, on peut remarquer des traces rouge autour des yeux, ces ongles qu'il ronge et ses lèvre gonflé. Pour qu'il ait les lèvre gonflé, c'est soit par Zayn soit en pleurant car quand il pleure il se mort tours la lèvre la faisant gonfler. Je remarque donc qu'il a forcément eu l'appel, qui n'est d'ailleurs pas si bon. Il est vrai que des que quelque chose de triste ce passe entre nous, il est bien le seul à ne pas pleuré, enfin pas avec nous. Si il a pleuré c'était la goutte d'eau.

Sa ne peut pas être Zayn car au contraire, il est plus fort face à lui. Il ne veut pas empirer l'état dans lequel Zayn doit être.

Il me regarde de ces yeux chocolat. Ils brillent de tristesse.

- Li ?

- Ni je suis désolé... Des larmes commence à tomber sur ces joue.

- Quoi ?? Tu as appeler ?

- Oui et disons que sa c'est mal passer ??

- Comment ça ?? Ils ne veulent pas c'est ça ??

- Ils ne veulent pas qu'on annule quoique ce soit. Vue qu'on ne leur a jamais parler d'elle, il pense que ce n'est qu'un mensonge. Ils veulent qu'on continue la tournée comme ci derien n'était.....Je suis désolé....j'ai j'ai tout fait mais..... Il pleure fois à moi. C'est la première fois depuis que je le connais.

- Je....c'est....c'est pas grave. Je l'aurais sûrement vue dans son coma et je suis sur qu'elle aurait préféré me voir en même temps que moi je la vois. Ne t'en veut,ce n'est aucunement ta faute.

- Je m'en veux tout de même.

- Pourquoi ? Tu sais que fasse à eux on a aucun pouvoir. Même si on arrive à peu près à être nous même et faire les imbécile, on doit jouer des rôles. Regarde Zayn, tu crois que jouer une personne forte, mystérieux, qui s'en fou de tout et sans coeur c'est lui ?? Non pas du tout et pourtant il doit jouer ce rôle.

- Je sais. Il est dans un état pitoyable, souffla-t-il. J'aime tellement pas le voir comme sa tout comme toi. Et le faites que ces média en rajoute sans réellement savoir sur toi me fait encore plus mal.

- Li....Je....Je vais bien

- Arrête, tu ne peux pas aller bien en sachant que le monde entier te pense dépressive. Personne ne sais pour Mélissandre. Il n'y a que nous.

- Je...

- Va te reposer, tu en a besoin pour la suite. Tu ne va pas pouvoir être à ces côtés et sa va t'empêcher de dormir donc essayé un maximum de dormir !!

- Ouais....Tu.... Tu as sûrement raison....salut

- Salut

Il part après m'avoir embrasser la joue. Je rejoins ma chambre dans laquelle je me met en boxer. Je m'installe dans mon lit, les bras derrière la tête et ferme les yeux.

Une femme au cheveux châtain ce trouve sur un lit d'hôpital. Les mur sont blanc, sans vie. Je n'aime pas les hôpitaux pour sa. C'est sans vie et moi je suis habituellement joyeux.

Pourtant je suis là. Dans cette chambre sans même savoir l'identité de cette femme. Je ne la connais pas.

Je suis toujours à la porte d'entrée. Je ne me souviens même pas d'être rentré dans cette chambre. Je m'approche du fauteuil proche du lit. Plus je m'approche, plus je me demande qui est cette personne.

Elle est belle. Tellement belle. Elle a l'air paisible. Heureuse. Saine. J'aimerais tellement savoir qui sais. Pourquoi je suis là avec elle. J'aimerais qu'elle ce réveil.

Je fais le tour de la pièce par les yeux. Je remarque une planche accompagner de feuille. Je me lève et m'approche. Je commence à lire.

- Mélissandre Chauvin, 18 ans. Accident de voiture. Ce trouve dans le coma.

Je.....

Je me réveille d'un coup. J'ai rêvé. C'était un putain de rêve. Je ne la connais même pas, enfin, je ne l'ai jamais vue. Mais j'aimerais tellement. J'aimerais aller la voir mais je sais que si j'y vais et ne participe pas au concert, on va pas me lâcher.

Sachant que je ne dormirais pas. Je décide d'aller faire un tour. Je me rhabille et prend mes affaires.

Je sort de l'hôtel. Puis je m'insulte de tout les noms. Les fans et journalistes sont là. On demande des photos et me demande pourquoi je ne vais pas bien. Je ne répond rien et continue mon chemin. Enfin, j'essaye.

J'arrive par la suite dans un parc. Un parc style chinois. Je le trouve très mignon et me promet d'en mener Méli la bas. Mauvaise idée car sa me rappel que je suis en Espagne, elle en France. Que je peut bouger et elle dans le coma. Je me rappel que je ne peux pas aller la voir.

Vous savez, les rencontres par internet ou autre, j'ai toujours trouvé sa débile. Nul. Pourtant, je suis entrain de le vivre. Et même très bien. Je me suis énormément rapprocher de Méli.

Avant je rêvais de la voir et de la prendre dans mes bras. De regarder ces yeux. De toucher ces cheveux. De savoir quelle est vrai. Qu'elle existe. Mais je ne peux même pas.

Je m'assoit sur un banc et regarde tous les gens passer devant moi. Ils ne font même pas attention à moi. Ils passent d'un côté ou de l'autre, sans même un regard vers le banc sur lequel je suis. Pas un.

On dit que notre société est solidaire. Mais on voit bien que non. Sinon pourquoi il y a t-il autant de SDF ? Pourquoi y a t-il autant de chômeur ?
Des question sans réponse.

Je me décide plus tard de repartir. Je reviens à l'hôtel, sous les feux des appareils photos. Je fais un ou deux signe. Part me faire une assiette et monte dans ma chambre. Je mange deux trois bout. Je me déshabille une nouvelle fois et part me coucher.

La nuit va être longue.

Une seconde vie, Une seconde chanceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant