-PROLOGUE-

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SALEM.

14 ANS PLUS TÔT

OMNISCIENT:

Dans une ville connue , y vivais une petite famille , une famille pauvre , qui n'avait rien à se mettre sous la dent , une famille fragile qui avait besoin d'aide , cette famille , malgré leur pauvreté , s'aimer beaucoup chacun pouvait compter sur l'autre .

Comme toutes famille , il y'avait le papa , la maman , et les enfants , deux jolies petites filles et un garçon .

Comme tous parents , ils voulaient pas voir leurs enfants , triste , ou avoir faim.

Comme chaque père , leur père travailler toute la journée et revenait le soir donner l'argent à sa femme pour qu'ils puissent manger .

Comme chaque mère , leur mère aussi travailler , vendait de petites choses , et apprenait à ses filles , certains corvée . Comme toutes mères elle penser qu'avec ça elles auront pas de mal chez leurs époux .

Comme chaque petit enfant , leurs fils , leurs frère , déjà petit , n'ayant que 9 ans , avait déjà vu comment ses parents étaient fatiguée , sortais tous les jours , soit il volait des fruits qu'il donne à ses soeurs , ou il vend à la place de sa mère .

Comme toutes petites filles , leurs filles avaient déjà de la volonté , elles voulaient avancé , chacunes d'elles avaient un rêve , chacunes d'elle rêvait de devenir quelqu'un au futur .

Du côté de leur père , il travailler en temps que réparateur de vélo . Un travaille qui l'apporter peu .

Alors il se décida ce matin d'aller voir autre chose , même s'il lavé les toilettes d'un entreprises il le fera .
Ce jour là il était accompagné de son fils , ils ont marché , marché et encore marché , mais ils avaient toujours rien trouver.... .

Alors ils décident de rentré , le fils était courageux , parcequ'il avait rien manger toute la journée mais ne c'est pas plain et le père était tellement fier de lui qu'il versa quelques larmes .

En marchant vers leurs maison , une voiture de luxe , et d'une couleur assez sombre s'arrêta devant eux . Le père , sous l'effet de l'étonnement et de la peur il prend la main de son fils et l'entrain hors du goudron .

Pendant ce temps , un monsieur est descendu de la voiture , vêtu de vêtements de luxe , son parfum sentais tellement bon que le père éternua .

MON PLAISIR ÉTAIT MON AMOUR QUI DEVIENDRA MA HONTE [TERMINÉE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant