1890 mots je n'ai pas réussi à faire 2000 mots cette fois-ci :(
Média: Two Gosts-Harry Styles
Ce chapitre est un retour en arrière, un souvenir d'Aaron (il y aura des chapitre comme ça tout les 5 chapitres)
Ici, Aaron à 5 ans
Aaron a 5 ans
Des larmes salées roulent sur mes joues dodues. Je suis assis par terre en pleurant et en regardant tout autour de moi. Des grandes personnes disent au revoir à leurs enfants en leur faisant des petits coucous. Les autres enfants, eux ne pleurent pas, ils ne sont pas comme moi. Je suis le seul à pleurer comme un bébé. Ma maman est déjà partie depuis quelque temps me laissant à mon plus grand malheur ici tout seul. C'est la rentrée aujourd'hui, enfin juste pour moi. J'ai changé d'école car nous avons dû déménager pour l'arrivée de ma petite sœur. Maintenant je me retrouve tout seul. Je n'ai plus aucun ami. Déjà que l'année dernière c'était difficile pour moi de me faire des amis, maintenant je repars à la case départ. Personne ne fait attention à moi, je pleure tout seul dans mon coin. La maitresse a déjà essayé de me faire arrêter de pleurer mais elle n'a pas réussi. Je veux seulement rentrer à ma maison ou retourner avec maman. En plus la maitresse me fait peur. Elle ne fait que soupirer en me regardant l'air désespéré. Ses cheveux brun mélangés avec des cheveux blancs encadrent son visage rond, ses yeux bleus un peu globuleux me regardent avec attention. Elle me fait vraiment peur. Je lâche quelques hoquets à cause de mes pleures puis frotte avec mes poings mes yeux pour enlever mes larmes. La dame se lève et par à la rencontre des parents des autres. Me laissant de nouveau seul. Mes anciens amis ne sont même pas là pour jouer avec moi.
Je continue de me frotter les yeux jusqu'à ce que quelqu'un me fonce dessus. Je lève brusquement la tête en grognant et fut surpris de voir un garçon tomber devant moi sur les fesses. Il a l'air tout aussi surpris que moi. Il tient fermement dans sa main une voiture verte en me regardant. Il ne m'a sans doute pas vue et trébuché sur moi. Je calme petit à petit mes hoquets alors que le garçon me sourit.
— Je suis Edward, s'exclame-t-il, tu viens jouer aux voitures avec moi ?
Je souris timidement et hoche la tête. C'est bien la première fois que quelqu'un vient vers moi. D'habitude c'est toujours moi qui dois aller vers les autres, et au bout de pas mal de temps après les avoir rencontrés. Les adultes disent que je suis timide, pourtant je n'ai jamais eu envie de l'être. Je me lève doucement et le suis alors qu'il court vers l'autre bout de la pièce. Je marche lentement vers lui alors qu'il me tend maintenant fièrement une voiture bleue. Ed, je vais l'appeler comme ça, ça ira plus vite. Ed me souris à pleine dent, dévoilant ses petites quenottes. Il est plus petit en taille que moi, lorsqu'il sourit il a une sorte de petit creux sur chaque côté de ses joues rondes, il a de grands yeux verts qui pétillent. Comme si chaque chose qu'ils regardaient ou faisait était quelque chose d'extraordinaire. Ses cheveux sont tout bouclés et encadrent son visage. Il me fait rire comme ça, a sauté dans tous les sens. On commence à jouer avec les petites voitures, au début je ne fais que rouler timidement ma petite voiture rouge, mais petit à petit je commence à me prendre dans le jeu. J'oublie alors que ma maman m'a laissé dans une école avec plein d'inconnu, et m'amuse avec Ed qui fait le bruit des petites voitures en riant.
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Lorsque la récréation commence enfin, je me retrouve dehors parmi tous les autres enfants. Cette fois je suis de nouveau tout seul. Ed est parti avec ses autres amis. Je souffle et croise mes bras contre mon torse en m'asseyant sur un banc. Je regarde les autres enfants jouer en balançant mes pieds dans le vide. Je pensais qu'Edward était devenu mon ami. Après tout on à joué aux petites voitures et il est resté avec moi pour les activités de groupe.
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Obscurité
Ficțiune adolescențiAaron était aveugle depuis maintenant deux ans. Après le terrible accident, Aaron s'est fermé sur lui-même, n'acceptant pas son handicap, il repousse ses proches, et refuse de croire qu'il pourrait retrouver une vie normale. Derrière son masque froi...