{ Chapitre 9 }

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« Le soleil s'est levé et la réalité s'est installé »

Point de Vue : Nina

J'avais vraiment fait ça ! Non mais qu'est-ce qu'il me prenait ! Mon bras se tendis, alors que ma main ouvrait la porte. Mon corps me guida à travers de nombreuses rues, je passais par des ruelles dont j'ignorait l'existence jusqu'à présent ! Mais en ce moment précis mon corps semblait savoir précisément savoir où il allait ! Je traversa un parc, je contourna plusieurs voitures en pleins milieu de la route, sous des klaxons furieux. Je marcha une bonne vingtaine de minutes, et mon corps s'arrêta juste devant une boîte de nuit ! J'avais à peu près retrouver la mobilité de mon être, j'entra curieuse dans ce bâtiment, il semblait bizarre, déjà son nom « Le sang de la nuit », franchement ça faisait clairement flippé ! Le videurs me laissa passait sans même m'addressait un regard.

L'intérieur était plongée dans le noir, aucune lumière extérieur de filtrée, seules les projecteur étaient allumée, et il diffusée une lumière étouffé, comme si elle était entourer de fumée. On distinguait les forme mais sans plus, il n'y avait personne, du moins c'est ce que je pensais, mais je me retourna subitement en entandant un bruit métalique, comme le bruit que fait la règle en métale lorsqu'elle tombe sur du carrelage

Une forme sortie de l'ombre, une forme assez étrange, comme celle d'un humain, mais elle était plus vouté, les bras vers l'avant, comme... Adam ! Lors de sa transformation, c'était exactement la même chose ! Ca veut dire... Que j'ai en face de moi, ou plutôt en haut des marche devant moi, un Vampire ! Je vis ses yeux rouge, rouge sang. Et alors qu'un fin filet de lumière de projecteur éclaira son visage. Putin, pas lui ! Non ! Je détaillais son visage, exactement le même, il n'avait pas du tout changer en quelques semaines, le même aspect séduisant, mais une seule chose avait changer !

- Mon petit Rubis, susurra-t-il.

Son menton, aujourd'hui, il était gorgée de sang. Rien qu'en le voyant, j'eu un frisson. Peut être de peur, ou tout simplement de dégout, j'en sais rien, mais il s'en aperçus, et sa le fit sourire. Il était tel qu'on pourrait s'immaginer qu'il venait de s'abreuver, s'abreuver à la source. La source état un être humain.

- Mon petit bijoux, tu rentre voir papa ! Gronda-t-il d'un air presque mielleux, je sais c'est quasiment impossible, pourtant c'est le resentit que j'ai eu.

- Vous ! L'accusais-je simplement.

- Tu me reconnais ? Me demanda-t-il son sourire s'élargissant encore si tant que c'était possible.

- Bien sur, vous avez faillis me violer !

- Faillis, mais je ne l'ai pas fait ! Confirma-t-il.

- Normal vous avez fuit !

- Je n'ai pas fuit ! Grogna-t-il soudainement furieux.

- Oh, mais ca doit être comme maintenant, vous n'étiez pas en train de... Commençais-je avant de me stopper.

- Oh mais vas-y, fini ta phrase, mon Rubis.

- De vous rassasier ! Et arrêtais avec ce surnom pourris !

- Oh mais t'inquiète je ne te ferais pas la même chose.

- Ne me mentais pas, à croire que vous êtes végétarien ! Ironisais-je.

- Tu as raison, je ne suis pas végétarien, mais voix-tu en comprenant ta vrai nature, je me suis dit, autant me faire oublier quelques temps, je suis donc partit. Après tout même à 50 kilomètre, tu aurais du me retrouver, mais je ne te vis jamais arriver. Je me suis alors demander, pourquoi tu ne te lancer pas à ma poursuite, dans ta nature, tu aurais du me retrouver facilement pour m'éliminer. Mais c'est alors que j'ai compris. La jeunesse de tes traits, n'étaient pas surfait, tu était réellement jeune, assez jeune pour ne pas connaître ta nature.

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