Anémos

2 { Chapitre 17 }

« Vaut mieux s'attendre au prévisible, que d'être surpris par l'inattendu. »

Point de Vue : Nina

- Stop. Pause ! M'écriais-je. Peut-on m'expliquez comment se fait-il que mon ancien maître d'arme voit Alexandre que jusque là, j'étais la seule à voir, et qu'il s'agenouille devant lui ? Depuis quand vous vous connaissez ?

Alexandre éclata subitement de rire.

- Chérie je crois que les explications arriveront un peu plus tôt que prévue.

- Euh ? Alexandre ? C'est quoi ce nom ? Et de quoi vous vous connaissez ? Renchérit mon ex maître d'arme en se relevant, pour se placer à mes côtés.

Je me tournais vers lui, écartant momentanément Alexandre de la conversation.

- Un jour lors d'une mission, il est venu me parler, tu sais dans le bar, au Michigan. Et quand j'ai à mon tour engagé la conversation pour espéré qu'il dégage après, il m'a avouer être au courant pour les Nozzle et il savait ce qu'on cherchait. J'ai d'abord été très étonné, et j'ai faillis l'embrocher, mais ensuite, il a réussie à me calmer, et on a continuer à parler. Essentiellement de moi, et de la recherche qu'on menait. Lorsque je suis sortie du bar en première, il m'a demandé de ne rien dire à personne. Mais je ne comprenait pas pourquoi, puisque je savais que vous étiez de l'autre côté de la salle, vous auriez donc tout vue. Mais non, vous m'avez ensuite avouer que je n'avais parlez à personne, à par une serveuse. J'ai d'abord cru que j'étais dingue, mais il est revenu. Et j'ai compris que j'étais la seule à pouvoir le voir. Pourquoi ? Il ne m'a jamais répondu. Lorsque je lui avait demandez son nom, il m'avait demandez de deviné. J'ai donc réfléchis et j'ai pensée que Alexandre était le prénom qui lui convenait le mieux. C'est donc comme ça que je les surnommé après qu'il n'est pas voulu me divulguez son identité. Par la suite, il me rendit souvent visite, et je lui racontais où on en été arrivé. Il arrivait parfois qu'il me donne des information, et je le croyais puisque peu importe l'endroit où nous allions, il nous retrouvez toujours. Je lui donnais donc régulièrement des nouvelles de nos avancées.

- Si ça servait à quelque chose. Murmura Wilderienz.

- Pourquoi dis tu ça ? Fis-je dans l'incompréhension.

- Parce qu'il était déjà au courant de tout.

- Et comment le serait-il ?

- Parce que son vrai nom c'est ...

Mais Alexandre le coupa avant qu'il ne puisse finir sa phrase.

- Merci, mais là, je pense que c'est à moi de continuer.

Il se tourna vers moi, avant de continuer :

- Chérie, il faut que tu comprennes, que même si tu m'as appelé Alexandre, ce n'est pas mon vrai nom, mais tu le savais déjà.

Il marqua une pause, avant de poursuivre :

- Ensuite il y a une raison, pour que je ne t'ai jamais dit qui j'étais vraiment, ni quel était ma nature.

- Bah dis le maintenant, sinon tu peux être sûr que je te castre ! Le menaçais-je, commençant à en avoir marre de tous ces secrets.

Le Colonel derrière moi eut un hoquet de surprise que je ne compris pas. C'est bon, j'avais juste dit que j'allais le castrer ! Y'avais pas mort d'homme, surtout que je pensais qu'il s'était habitué à ce que je ne suive pas les règles.

- Chérie, écoute, je ne suis pas à proprement parler, comment te dire, réel.

- Mais bien sûre, et je suis la reine d'Angleterre.