Anémos

2 { Chapitre 8 }

« La vie : c'est comme la boxe, il faut rester debout, encaisser les coups, et apprendre à vivre avec les cicatrices. »

Point de Vue : Nina

Ce matin, je n'eus aucun mal à me réveillée. En effet, aujourd'hui j'allais me retrouvée devant un Nozzle ! Un vrai de vrai.

Je savais que j'en avait déjà croiser, Adam, Elisa, Zack, et même Vladimir. Mais je ne sais pas, ce n'était pas pareil, ma vie n'était plus la même. J'étais devenu une chasseuse. Maintenant, j'étais sur la route pour devenir un Casadors.

Aujourd'hui, je quittais l'établissement de formation, pour passer directement à la pratique. Bien sur je quittais Lisa et les autre, mais je me sentais excité.

Le colonel m'avait ordonné de trouver des vêtements pas trop voyant, pour pouvoir me fondre dans une masse d'humain. Donc j'étais en ce moment même en train de choisir mes vêtements. Classe mais discret, voilà ce que je devais trouvée, on était aussi dans une période où il faisait relativement froid. Je trouvais alors l'arrangement parfait, des collants noir, un short gris, un haut blanc et une veste en cuir noir. Je pris une pochette accordé avec ma tenu, où j'y rangeais mon téléphone ainsi qu'un petit couteau. Je planquais aussi des armes dans ma tenu, puis rejoignis le Colonel. Lui aussi c'était changé, il avait maintenant un jean noir, un haut bleu marine, et une veste en cuir noir. Ca va on était à peu près assortie.

Il me dévisagea de haut en bas, avant de me tourner le dos et de se dirigeais vers le parking. Et là. Arrêt cardiaque.

Une sublime audi R8, de couleur noir mate nous attendait. Je vis le colonel y grimper avant de me lançait un regard équivoque.

Putin de merde.

- Tu ne t'attendais quand même pas à des chevaux, à un sac de voyage et à des provisions ? Se moqua-t-il.

Je préférais ne pas répondre. Quand on m'avais dit, Casadors, chasseur de Vampire, je ne pensais pas qu'il serait à la pointe de la technologie.

- Est-ce qu'au moins tu sais que je vais t'apprendre à tirer avec une arme à feu ?

Je ne répondis rien non plus. Je me doutais, que dans ce cas là, les balles serait en bois.

- Alors, Es-tu prête ? Me demanda-t-il pour finir.

J'hochais la tête, alors qu'il fit rugir le moteur. Il sourit fière de lui, avant de s'élancer sur l'allée.

- Quand vas-tu me demander où l'on vas ? Me questionna-t-il après quelques dizaines de minutes en silence.

- Quand je saurais que vous allez me répondre.

- Et comment le sauras-tu ? Fit-il curieux je suppose de savoir ma manière de réfléchir.

- De une vous allez plus me cachez le GPS intégré, vous ne prendrez plus les petites routes pour que je remarque le moins possible de panneau et donc les direction qu'on prenait.

Il sourit. Je pense que j'ai eu bon, ce qui me fit sourire aussi.

- On parti direction Las Vegas. M'apprit-il au bout de quelques temps, alors qu'on s'engager sur une autoroute.

J'acquiesçais.

- Je suppose que vous ne me donnerez pas de détails ?

- Tu suppose bien.

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- Alors pourquoi avons-nous réservé deux chambres dans un des hôtels les plus chère de Las Vegas ? Lui demandais-je en déchargeant mes bagages.