sσ ƒαr αωαy | s.k [ Tome I & II ]

5/ Liens de familles.

PDV Apolline

Je me réveillais en sursaut, Lui est mon cousin ! Et je l'ai complétement oublié. Je regardais ma montre, elle indique 5h32, c'est un peu tôt pour aller petit déjeuner.

Je décidais donc d'aller me balader dans les jardins. Je me levais et m'habillais chaudement puis je me dirigeais vers la sortie de l'hôtel, au détour d'un bosquet, j'entendis une voix.

- Je crois qu'elle m'en veut, dit une voix que je connais trop bien.

Free ?! Qu'est ce qu'il fait là à cette heure-ci ?

- En même temps faut dire que tu repousses pas trop Sasha, répondit Silas.

Tiens le haricot est là aussi.

- Mais elle est gentille avec moi, protesta mon ex.

- Et bah vu comment elle te colle, je comprend qu'Apolline ait pétée un câble !

- Mais j'aime réellement Apolline, j'ai l'impression qu'elle doute de moi.

- Bon, moi je vais me coucher, dit-il en repartant vers l'hôtel.

Merde, il va me voir quand il va passer devant moi

- Tu devrais aller le voir, chuchota le vert au passage.

Je m'avançais donc vers Free. J'apercevais le jaune assis sur l'herbe, l'air pensif.

- Apolline, commença-t-il en me voyant.

Il s'approcha de moi.

- Je suis désolé, il n'y a que toi que j'aime, murmura-t-il si bas que je dû tendre l'oreille pour l'entendre.

- Moi aussi je t'aime, mais te voir au bras de Sasha ne m'enchante pas, dis-je.

Il baissa la tête.

- Tu sais Sasha n'est pas si méchante que ça.

Il me prend dans ses bras et je pose ma tête sur son torse.

- Je t'en prie fais moi confiance, dit-il.

- Je te fais confiance, mais c'est en elle que je n'ai pas confiance

- Si tu m'aimais réellement, tu me ferais confiance, protesta-t-il.

- Bien sûr, maintenant c'est ma faute ? Tu sais quoi va te faire voir, va voir ta Sasha de mes deux et me fait pas chier avec tes beaux discours, hurlais-je furieuse.

Je partis à toute vitesse le laissant en plan, mais honnêtement, je n'en avais plus rien à faire de lui.

Je repartis dans ma chambre. J'admirais Free, et il m'a déçue, encore une fois. C'est terminé, je fais une croix.

Je me rendormis sans trop de peine, et quand je regardais à nouveau l'heure sur mon réveil, il était huit heure passé.

Je m'habillais d'un t-shirt blanc, d'une jupe bleu-vert et d'un fin gilet marron. J'attachais mes cheveux blonds en deux couettes hautes.