sσ ƒαr αωαy | s.k [ Tome I & II ]

16/ Nouvel an américain.

Le nightcore me rend trop nostalgique, c'est le générique de Code Lyoko. Une série que je regardais quand j'étais petite et que j'adore !!!

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PDV Apolline.

- Alors t'y vas... Shu !

Mon grand frère me regardait avec des grands yeux.

- Arrête de me regarder comme ça, on dirait un merlan frit ! rigolai-je.

- Pourquoi moi ? bougonna-t-il.

- Je sais pas, pour te faire chier, supposai-je. Non sérieux c'est parce que je pense que c'est Léa qui va y aller.

Le blanc enregistrait son lanceur et se mettais face à Léa. Comme je l'avais prévu, c'est elle qui y allait. Shu gagnait facilement, c'est moi ou Léa ne s'est pas donné à fond ?

- La chambre n°12 gagne contre la chambre n°13 ! crie l'arbitre.

Nous sautions tous de joie.

- Bien joué, dis-je à Shu.

- Merci capitaine ! rigola le blanc.

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Toutes les chambres étaient rentrés dans l'hôtel. Christina toquait dix minutes après.

- Bonjour, désolé de vous déranger mais demain, pas de compétition, dit la rouge.

- Pourquoi ? demanda Silas.

- Parce que demain c'est le nouvel an, et apparemment les organisateurs vont faire un nouvel an à l'américaine.

- Qu'est-ce que c'est ? demandai-je.

- Faites des recherches et vous trouverez, dit la rose en partant.

Sa dernière phrase m'intriguait. Je prenais mon téléphone et tapais "nouvel an américain" ce que je voyais me figeait. Je pâlissait.

- Alors, qu'est ce qu'il dise ? demanda Xander.

- Ta gueule, lâchai-je.

Je me promettais intérieurement de partir avant minuit.

- Du coup, on a quartier libre jusqu'à ce soir ? demanda le haricot sur patte.

Je le foudroyais du regard. Une heure plus tard, nous étions tous rassemblé dans le grand réfectoire, un des organisateurs était sur une petit  estrade en bois.

- Cette année, nous avons décidés d'inviter pleins de bleideurs, d'entraîneurs et de grands PDGs, pour passer le nouvel an avec nous. Il se fêtera à vint-deux heures dans l'arène, et se terminera vers deux voir trois heures du matin, c'est pourquoi les matchs se passeront l'après midi à quinze heures, expliqua l'organisateur.

Christina me tirait par la manche à la fin du monologue de l'organisateur.

- Tu dois être magnifique pour demain soir, dit-elle. Je m'occuperais donc, moi même de ton maquillage, de ta robe et de tes chaussures.

- Merci beaucoup Christina mais je ne resterais pas jusqu'a minuit, répondis-je gênée.

- Si tu es obligé, tout le monde doit jouer le jeu, sinon il te disqualifie du tournoi, réplique-t-elle.

- Mais c'est complètement injuste ! protestai-je.

- C'est comme ça, bon je viens te chercher à dix-neuf heures devant ta chambre pour les essayages, dit-elle en partant.

Je partais donc dans ma chambre et trouvais les garçons en train de jouer.

- Vous jouez à quoi ? demandai-je.