Chapitre XLIV: Alycia; John; Fox; DiAngelo; Andrea; Leila
Andrea et Leila avançaient prudemment dans l'eau. Pour ne pas avoir à faire le tour, elles avaient décidé de passer par celui-ci. L'eau leur arrivait à la hauteur des cuisses mais la désagréable sensation d'être vulnérable à tout ce qu'on peut trouver dans cette eau ne les arrêtaient pas. Elles en sortaient trempées jusqu'au hanches. Elles étaient également réjouies de ne pas avoir rencontré d'imprévus. Ce n'etait oas si mal d'etre trempée pensait Andrea, vu comment il faisait chaud aujourd'hui. Les deux antilopes qui s'abreuvaient s'eloignaient par instinct tandis qu'Andrea et Leila optimiste reprenaient la route. le paquet n'était pas loin.
John et Fox avaient eux aussi pris la route. Ils etaient tomd'hier.r un caisse de largage entièrement vidé. Par la suite, ils aperçurent une caisse qui descendait du ciel bleu. Ils s'étaient enfoncés dans le forêt mais du côté opposé ou presque. Ils avaient encore un long chemin à faire. Le soleil était éblouissant, une première même sur cette île. Après la pluie le bon temps disait-on. Les deux jeunes hommes avaient le visage transpirant et sentait malgré leurs grandes capacités physiques le poid de la chaleur peser sur eux.
Alycia avançait en ne manquant pas de râler.
- Ah mais qu'est-ce qu'il fait chaud ! S'ecriait-elle
DiAngelo qui se presentait toujours comme un otage n'avait pas l'air touché par la haute température. Alycia, par contre avait descendu le braguette de sa tenue et montrait son decolté. Dire qu'il avait plu cette nuit, le sol avait déjà perdu l'humidité qu'il avait gagné lors de la pluie d'hier.Andrea et Leila regardait exagérément autour d'elles. Cette grande vigilance était necessaire si elle ne voulait pas rater la caisse. Lors des largages, l'on pouvait après tout se limiter à marquer une zone où le colis est tombé, il fallait le trouver ensuite.
- Là, il est là avertissait Andréa. Leila tournait la tête et appercevait le colis posé sur un arbuste.
- Tu es géniale Andréa s'exclamait Leila
- Je sais je sais affirmait-elle d'un air malinLes acolytes s'empressaient d'attraper le colis et avec l'impatience d'un enfant au pied du sapin, ils l'ouvraient.
À première vue, c'était un long sac, une bandoulière. Le sac contenait plusieurs poches sur la longueur, six pour être précis. Et dans chacune des six poches une grenade.
- Des grenades, ça pour être génial
Elles vérifiaient ensemble, deux grenades explosives, deux fumigènes et deux grenades à gaz pouvaient facilement reconnaître les ex-soldats. C'est à Andrea qu'était confié la sacoche à grenades.
- Ça fait beaucoup de sacs là
- Mais pas le genre de sacs que les petites bourgeoise auraient jalousees hélas blaguaient Leila.
- On a eu ce qu'on cherchait, avant tout le monde on dirait, rebroussons chemin avant que les autres - Andrea se taisait lorsqu'elle entendit la voix de quelqu'un au loin.
Les deux s'accroupissaient immédiatement et s'assuraient de se replier derrière un arbre ou dans un endroit où elles ne sont pas trop exposée. Elles continuaient d'entendre la voix, une personne qui semblait parler seul sans se soucier de se faire entendre. Que devaient-elles faire ?Choix pour Andrea et Leila
a) Se rapprocher
b) Se retirer en zone sûre/ retourner où vous venez-------------------------------
Astuce Post-chapitrr
Le rapport temporel entre les differents scènes se limitent à la journée. Je peux écrire ubunee scène qui se deroule à dix huit heures et une prochaine scène qui se deroule elle à sept heures de la même journée.
VOUS LISEZ
Parmis Nous (Terminée)
AcciónDes prisonniers assez extraordinaires se retrouvent sur une île et apprennent qu'ils y sont bloqués jusqu'à ce qu'ils trouvent l'intrus parmi eux. En effet il y aurait parmis eux, une personne qui serait au courant de tout ceci et qui aura accompli...