Chapitre 43 - Maladie d'amour

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Tout le monde est dans un état d'insouciance en ce moment, mais heureusement ils semblent répondre aux instructions, et avec l'aide des garçons et Regina traînant derrière, nous transportons Killian dans une chambre et l'allongeons sur le lit.

- Il est brûlant. Je peux le sentir partout. Oh ... Seigneur, qu'est-ce que c'est ? On dit qu'il faut nourrir le rhume et affamer la fièvre ... ou est-ce que c'est l'inverse ? Regina, qu'est-ce qui ferait baisser la fièvre ? Je lui demande alors.

- Hum ?

- Regina !

- Paracétamol ?

(Je n'aime pas du tout la manière dont elle le dit sous forme de question.)

- Et est-ce qu'on en a dans la trousse ? J'interroge.

- Non.

- ... Oublie ça.

J'en suis au point où j'essaie de me souvenir de toutes les fois où j'ai vu quelqu'un de fiévreux dans un film ou une série, je me creuse les méninges pour trouver une quelconque solution. La seule chose qui me vient à l'esprit c'est de me munir d'une serviette et d'eau, je m'empare d'une bouteille se trouvant dans ma chambre et d'un chiffon provenant d'une vieille armoire de salle de bain.

- Killian, est-ce que tu m'entends ? Je demande.

Il parvient à un produire un faible marmonnement, les yeux papillonnant, et je verse la moitié de l'eau sur le tissu, le mouillant assez avant de le plier et le poser sur son front. Killian est toujours beaucoup trop pâle, mais avec un certain nombre d'encouragements, j'obtiens de lui qu'il boive en penchant la bouteille contre sa bouche.

- Ok, c'est un début. Contente-toi d'écouter le son de ma voix, d'accord ? Même si tu ne peux pas parler, tu dois rester conscient. Dis-je.

- Tu sais, un soutien émotionnel peut être aussi important que le maintien physique, surtout en cas de stress. Je tiens juste à ce que tu saches que je suis là pour toi, Emma, et on peut toujours discuter de ... Déblatère Neal.

- À moins que t'ai un moyen de soulager la fièvre de Killian, il n'y a pas sujet à discussion, Neal.

- Mais peut-être ...

- Pas maintenant.

Il semble contrarié, mais je ne peux pas me concentrer là-dessus quand Killian est pantelant et grimaçant, ce qui rend la tâche de le faire boire plus difficile. Toutefois, lorsque Graham se remet à chantonner, ma patience atteint sa limite.

- Bon, tout le monde dehors. Il n'a pas besoin d'être dans une pièce pleine de monde. J'ordonne.

- Est-ce que je dois lui ramener à manger ? Demande Graham.

- Non, juste ... allez-vous en.

Au moment où il fait demi-tour, Auguste a déjà quitter la pièce, mais les autres garçons traînent des pieds dans un état de mi-confusion. Je jette un œil derrière mon épaule quand j'entends la porte se fermer, mais Regina est toujours là et me sourit.

- Tu restes là parce que tu vas m'aider ou c'est à cause de ta maladie d'amour ? Je vérifie.

- Je ferais n'importe quoi pour t'aider, Emma.

- Ouais, c'est super. Que dis-tu problème qui se trouve juste devant nous ?

Rien que je puisse dire ne semble changer son état d'esprit, et j'arrive à court d'option. Sans conseils médicaux, il n'y a rien que je puisse faire à part improviser et attendre.

- Ça va aller, Killian. On va y arriver. Accroche-toi encore un peu. Je vais bien trouver quelque chose. Je le rassure.

(C'est juste que je ne sais pas encore quoi.)

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