29 -June

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?? - Allô ?

aucun sons ne sortais de ma bouche. Ma gorge se serrais. J'avais juste envie de raccrocher et de me cacher au fin fond de mon lit. Sa voix étais si... je ne sais pas, rassurante je pense. 

?? - Y'a quelqu'un ? 

Je devais répondre. J'étais aller trop loin pour raccrocher maintenant.

Moi - Bon.. bonjour papa. 

?? - Qui es a l'appareil ? 

Moi - Hum, pardon, c'est bien Stéphane Watson a l'appareil ?, me rattrapai-je.

Stéphane - Oui c'est bien moi, a qui ai-je l'honneur ?

Moi C'est... 

Est ce que je devais vraiment lui dire qui j'étais ? Est ce que a la seconde ou je lui dirais mon identité il ne raccrocherais le telephone ? Courage June, respire.

Moi - Je m'appelle June et je suis... 

Stéphane - ma fille... 

Il ne parlais plus, un blanc plus que gênant prenait place. J'imagine qu'il était déboussoler. Je n'oser pas prononcer un mot de plus.

Stéphane - Ca fais longtemps... excuse moi, je suis un peu déboussoler. J'ai tellement de question a te poser et en même temps je ne sais pas par ou commencer... tout d'abord pourquoi ? 

Moi - J'ai... enfin, on a des problèmes, maman est a l'hôpital.

Stéphane - Pourquoi ? Enfin, tu m'expliquera tout ça en personne. Je prend le premier avion pour Vancouver. Je te laisse, je serais là a la première heure demain. 

Dit il avant de raccrocher. 

Je tremblais, de joie surement. Mais ma joie fus de courte duré lorsque ma porte de chambre s'ouvris brusquement, Marc entrant en furie. Il avais du entendre la conversation téléphonique. 

Marc - A qui es ce que tu parlais. Dit il d'un air menaçant.

Il se rapprochais de plus en plus de mon lit, tandis que moi je m'enfonçais de plus en plus dans celui ci.

Marc - T'étais au téléphone avec qui putain de merde ?!

Moi - Personne... 

Il attrapa ma jambe, me tirant vers lui. 

Marc - Mauvais réponse. 

Il attrapa ensuite mon bras droit, me soulevant et me trainant derrière lui, il me fis descendre les escaliers de force, me lâchant brusquement en bas de celles ci. 

Marc - C'étais ton père c'est ça hein ?! Tu pense que tu peux raconter tout et n'importe quoi a qui tu veux ? Tu veux que les gens me détestent c'est çà ? Dit il en criant. 

il avait bue, comme d'habitude. Et je sais que ce n'étais que le début de mon cauchemar si je ne trouvais une solution pour sortir de cette maison. 

Marc - Tu pense que je vais te laisser partir avec ton batard de père alors que tu ne le connais même pas ? 

Il attrape mes cheveux avant de commencer a me tirer au sol. Il me faisais mal, et il le savais. 

Marc - Tu es vraiment bête comme gamine. 

Il me balança contre un mur. Tout se passa très vite, tout étais d'une violence inouïe.

Mon nez se mettais a saigner a force de recevoir des coups, je n'avais plus de force, incapable de me débattre, je me sentais partir. Ma vue se troubla lorsque la porte de la maison s'ouvris d'un coup sec. Mes yeux étais remplis de larmes et étaient près a se fermer, mais je pouvais deviner les combinaisons bleu des policiers. Ils étaient là pour moi, pour stopper cet enfer.    

Je perdis connaissance dans un vacarne pas possible. 

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J'avais mal, très mal. Encore une fois, j'avais été vctime des coups de Marc. 

En me reveillant, j'étais dans un lit d'hopital. J'étais surprise de voir Troy assis sur un fauteil dans un coin de ma chambre. Troy... ça faisais tellement longtemps que nous ne nous étions pas parler, depuis que j'avais commencer a trainer avec Finn et toute sa bande a vrai dire. Alors tout était uniquement de ma faute et je le savais. 

Troy - Tu es reveillé... dit il en s'approchant du lit.

Ma gorge me faisais très mal, je n'arrivais pas a prononcer un mot. 

Troy - Shhtt, ne force pas. 

Marc avait du essayer de m'étrangler. j'avais terriblement mal au cou.

Troy - Ce sont tes voisins qui ont appeler la police. Je passais par hasard dans le quartier quand j'ai vue tout ce monde devant cgez toi. C'est pour ça que je suis là. Il t'a pas mal abimer ... mais les médecins disent que tu t'en remetra. 

Mes yeux se remplirent de larmes en me repassant ces scènes de violence. J'aimerais pouvoir lui dire que je suis désolé d'avoir été si distante avec lui depuis ces dernières semaines, mais j'en suis incapable. 

Quelqu'un entra dans la chambre, un café a la main. Il portais un costa et était grand. 

Moi - Papa, chuchotais-je. 

Papa - Enfin tu es reveillé. 

Troy - Je vais vous laisser... vous devez avoir un tas de choses a vous dire. 

Il sortis, faisant un signe de tête a mon père et un sourire a mon intention. 

Papa - Je sais que tu ne peux pas parler... alors, contente toi d'hocher simplement la tête... Tout d'abord est ce que ça va ?... 

Sérieusement ? Je viens de me faire battre par mon "beau-père", papa tu aurais pu faire mieux . Je me contentais de hausser les épaules. Car en réalité non, ça n'allais pas. Ma mère ne devais pas être loin dans cet hopital, et elle ne sais même pas que je suis la par la faute de son copain. Tout comme elle en est la par sa faute. 

Papa - Ouais c'est bête, t'a raison. 

Il n'étais pas forcément dans une position de confort non plus. C'est la première fois que l'on se vois et nous sommes dans une chambre d'hopital, j'ai connu meilleur comme première rencontre. 

Unknown Number [F.W]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant