Tu m'appartiens [En cours d'écriture]

partie 23

Hermione se réveilla de bonne heure, elle avala la piteuse tartine de beurre que l'elfe avait pris l'habitude de lui laisser sur la table de la cuisine ; avant de se précipiter vers la bibliothèque : Malefoy rentrait dans la journée et elle ne voulait pas perdre un instant de ses derniers moments de bonheur.
Elle prétexta à Toby qu'il lui fallait encore dépoussiérer certains recoins. Celui-ci ne lui porta de toute façon pas une grande attention.
La veille, elle avait dévoré quatres ouvrages de sortilège et deux de potion.

Bien qu'elle n'en ai plus l'usage Hermione souhaitait se rappeler à elle même qu'elle était une sorcière et elle fut ravie de se rendre compte qu'elle se souvenait de tous les ingrédients de la potion Tue-Loup.

Mais pour ce dernier jour seul elle avait décidé de s'attaquer à un livre plus ambitieux, plus noir.

La veille elle avait songé que si c'est livre avaient étés interdits c'est qu'ils avaient une bonne raison de l'être... Elle n'était pas censé étudier ce genre de magie.

Mais la nuit portant conseil, elle avait prix une décision : on ne se bat pas à force égale avec des mangemorts. Les notions de morale doivent être écartés. Si un jour elle retrouvait sa liberté ce qu'elle comptait bien faire il lui faudrait se battre et connaître son ennemi.

Le premier ouvrage quel ouvrit fut : grandeur de la magie noire.

Dès les premières lignes les sourcils de la brunette se froncèrent. La potion de reconnaissance semblait au premier abord innocente pourtant elle provoque chez quiconque la boit une allégeance éternelle, soit la perte complète de conscience et d'autonomie.

Hermione failli fermer le livre au 3 ème chapitre.
Le sortilège des corps scellés emprisonnait les sens en enfermant l'âme de son ennemi dans son propre corps.. sort qui nécessite le sacrifice de son premier-né.

Mais Hermione Granger n'a pas pour habitude d'interrompre ses lecture.

Son visage se colorant d'une blancheur maladive elle découvrit également le sortilège des doubles maudit dont le sacrifice par son auteur de son propre frère jumeau lui permet de vivre deux vie.

Plus elle lisait plus la jeune fille se rendait compte que jamais elle n'avait lu choses aussi atroces. Ces sortilèges ont tous en commun de naître d'un sentiment de haine profond et et de détruire celui qui le lance à jamais.

Les sacrifices consistant toujours en leur dernière part de lumière.

Il était midi quand elle reposa tremblante l'ouvrage. C'est malhabile quelle saisie un livre de la même étagère sans même se soucier de l'objet de celui ci, elle dechifra fébrilement une page ouverte au hasard.

" Il incombait aux moldus avec leurs habitudes à mentir jusqu'à l'extrême et leur organisation de combat de nous épargner au moins la honte de leur unique existence. Les moldus forment le contraste le plus marquant avec les sorciers il n'y a peut-être pas de peuple au monde chez lequel l'instinct de conservation ait été plus développé. La preuve en est que dépourvu de tout capacité magique ils ont mis au point et développé les moyens de perpetuer leur espèce. Comment expliquer que dépourvue du moindre talent pour la concoction de potion un moldu et un sorcier aient aujourd'hui la même espérance de vie? Les facultés intellectuelles des moldus se sont développées pendant ces milliers d'années si bien qu'aujourd'hui on les croit malin mais ne vous y trompez pas les moldus n'ont jamais été en possession d'une réelle civilisation. Les bases de son travail intellectuel de ses aptitudes à transformer les produits de la terre pour vivre lui ont toujours été fournits par ceux de nos rangs.
Son intellect s'est développée de son inaptitude pour la magie. La seule force de cette population est sa capacité à dérober ce ce qui ne lui appartient pas. Si les moldus était seul au monde en réalité il étoufferaient dans la crasse et les ordures ou bien chercheraient dans des luttes sans merci à exploiter ou exterminer à moins que leur lâcheté ne fasse du combat qu'une simple parade. Les moldus ne font pas ça pour combattre mais pour piller leurs semblables. Les moldus n'obéissent a rien d'autre qu'au pure égoïsme. si notre existence leur était révélée comme ce fut le cas jadis nous verrions s'allumer dans le regard de ces êtres immondes la flamme de leur désir et de leurs vices .