Tu m'appartiens [En cours d'écriture]

partie 34

ATTENTION CONTENU A CARACTÈRE SEXUEL

Je marque le commencement  de ces scenes et leurs fins par des *.

Déconseillées au moins de 16 ans !

Je n'accepterais aucun commentaire haineux concernant ce genre de scène.

Je préviens : Je ne suis pas responsable de ce que vous lisez.

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*
Ses cheveux claquèrent contre son dos. Elle releva son visage, elle était radieuse. Sous la violence des coups de reins qu'elle recevait, elle gémissait de façon clairement explicite n'aurant tu son plaisir pour rien au monde.

Elle voulait montrer à l'homme qu'elle aimait qu'elle était son meilleur coup, que jamais il ne trouverait pareille bête de sexe qu'elle.

Ce dernier grogna de plaisir en jouissant au creux de ses reins pendant qu'elle se cambrait pour accueillir sa semence.

Le jeune homme essoufflé retomba alors sur le lit satisfait.

Mais pour Mandy il était hors de question que cela soit déjà finit, elle se releva telle une tigresse et vint caresser le torse de Ron qui luisait à présent de sueur.

Elle lécha doucement une  ligne imaginaire descendant jusqu'à ses parties intimes et entreprit de le faire durcir à nouveau.

*

Mais le jeune homme la repoussa et elle s'étala de tout son long sur le lit.

«- Tu es méchant Weasley ! »

«- parce que toi tu ne l'es pas peut être » dit il essouflé.

Sur ces mots durs Mandy se perdit dans ses pensées..." Était elle vraiment méchante ? "..Elle revint quatres mois en arrière. A cette date qui hantait ses rêves et ses journées...le 26 septembre.

A cette époque elle ne connaissait pas encore le rouquin.

La veille elle avait prévenu ses parents qu'elle refusait d'être professeur à Poudlard.

Son père n'avait pas compris. Sa fille lui avait toujours parlé de son rêve d'enseigner l'arithmancie à Poudlard. 

Et comment aurait il pû en être autrement ? sa mère et elle ne l'avait pas prévenu des récents malheurs qui avaient touchés le monde magique, pour ne pas l'inquiéter.

Même si Mr Barry Brocklehurst n'avait aucune idée d'en quoi consistait l'arithmancie, il avait établit un lien avec les mathématiques et se glorifiait d'avoir une fille brillante en sciences. 

Malheureusement, ceux là même qui lui avaient proposé le poste ne virent pas d'un bon oeil qu'une simple sang mêlée portant le nom de sa vermine de géniteur refuse leur générosité.

Elle aurait dû s'en douter mais avait toujours été très têtue et n'avait pas prit la peine d'ajouter un "désolé" ou encore une excuse à la dérobée en signant son refus.

Lorsqu'elle rentra à la maison ce jour là, elle ne retrouva pas la sensation habituelle du feux crépitant dans la cheminée, elle ne retrouva pas le son du piano à queue sur lequel son père jouait chaque soir à la même heure, elle ne retrouva pas l'odeur du dîner que sa mère dans la cuisine s'apprêtait à mettre dans le four.

Enfin elle ne retrouva pas sa maison lumineuse comme à l'accoutumée.

Au contraire chaque pièce était plongé dans le noir.

Le carrelage était froid sous ses pieds et il n'y avait aucun son..que le silence.

Elle avait allumé la lumière craintive et alors le monde s'était écroulé sous elle....