J'attend Tyler sur le parking, nous devons allez enregistrer la chanson. Je regarde ma montre à plusieurs reprise et constate qu'il à presque vingt minutes de retard. Je sort mon téléphone et compose son numéro, pas de réponse. J'essaie une deuxième fois, pas de réponse. Je ferme ma veste, car il fait froid, j'envoie un message à Mr Van Barri, comme quoi nous ne pourrons pas venir aujourd'hui mais que nous serons là demain, puis je prend la route jusqu'à chez moi.Je jette mon sac sur le canapé et y laisse mes chaussures à ses pieds et ma veste sur son dossier. Je me serre un grand verre de jus de fruit et me jette sur le canapé saisissant la télécommande au passage. Mes yeux se pose sur deux valises à mes pieds, maman derrière elles.
- Je part pour Los Angeles, je ne rentrerais que pour noël, dit-elle en enfilant son manteau de fourrures.
- Une interview c'est ça ?
- Un reportage sur une usine de gâteaux, tu sais à qu'elle point ils cherchent les scoops ?
- Quatre semaines, tu n'es jamais partie aussi longtemps, je soupire.
- Je sais. J'ai dit à ton père d'être un peut plus présent, sinon tu peux toujours allez chez abuela.
J'avale mon verre sans rien dire et la regarde sortir. Quatre semaines, jamais elle ne nous a laisser autant. Ça allais quand elle partais des semaines complètes avant, papa était là pour s'occuper de nous, mais maintenant nous le voyons rarement, jamais en faite. Je fait un tour sur Instagram et actualise le fil d'actualité. Kate organise une fête, et bien sûr, tout le monde y ai invité. Il y a plus de cent commentaires, sûrement des confirmations. Karen à mis son profil en célibataire, Tim a fait de même et ils ont tous deux supprimés toutes les photos où l'autre s'y trouve. Julie n'a rien poster de nouveau et Roméo non plus. Quand à Tyler, il a tout supprimé le contenue, il n'a même pas changer son statue de profil. Je ne le changerais pas.
Je regarde l'heure sur mon portable et constate qu'il est déjà dix-neuf heure trente. J'appelle le livreur de pizza et lui en commande deux avant d'attendre une bonne heure qu'elles arrivent.
Je monte dans la chambre de Matt et lui en donne une avant de m'enfermer dans la mienne avec l'autre. J'ai enfin terminé mon roman. Il parle d'un héritier, tombé amoureux de la meilleure amie de sa fiancée qui travaille dans un salon de coiffure. Leurs histoires d'amour est surprenante et semblable à celle que j'ai avec Tyler, mais dans celle-ci ils finissent tous deux séparés car le protagoniste est fiancée. Je ne le trouve pas extraordinaire, mais je l'ai déjà envoyé à trois maison d'édition, mieux vaux mettre toutes les chances de mon côté.Je m'allonge sur le dos, la tête en bas de mon lit et admire ce sublime ciel. Mon téléphone vibre et je l'attrape.
« Désolé Bella, j'avais complètement oublier l'enregistrement. On ce vois demain ? 7h30 »
Je ne réponds pas et continue d'admirer le plafond. Au bout d'un moment, je me suis endormie. Je m'en suis rendu compte lorsque le réveil sonna. Je frotte mes yeux et descend prendre mon petit déjeuner, passant réveiller mon frère. J'en profite pour dire à Tyler qu'il ne peux pas me prendre car je dois déposer mon frère à l'école. Ensuite, je file à la douche et enfile un jean avec un pull orange et mes baskets blanche. Je me maquille et me lisse les cheveux, ensuite je coiffe Matt et nous prenons la route.
••
Tyler est adosser au mur, son casque à la main. À ma vue, il s'avance vers moi et m'embrasse.
- Je suis désolé pour hier, j'avais complètement oublier.
- C'est pas grave, nous avons rendez-vous aujourd'hui.
- Si tu veux je passe te prendre demain ?
- Je dois amener Matt à l'école.
- Si je passe avec la voiture de mes parents ça te va ?
Je lui fait un grand sourire et passe mes bras autour de son cou tandis qu'il passe les siens autour de ma taille.
- Ça me va.
Il me fait un grand sourire puis m'embrasse.
VOUS LISEZ
Ban on loving him
RomanceTyler est Isabella ne sont pas si différent, mais pourtant ne sont pas identiques. Il est entouré et elle est maintenant solitaire. Il aime la musique et sa tombe bien elle aussi. Mais il y à toujours un mais, et ce « mais » est un groupe de personn...