The Rexha Sisters

Chapitre 39

PDV Bleta =
Mes yeux s'ouvrent difficilement, je grimace en sentant que j'ai encore mal à la tête. Je me retourne dans mon lit pour prendre mon téléphone portable poser sur ma table de nuit. Je soupire en voyant qu'aujourd'hui nous somme le 1er Septembre et que c'est le premier jour de ma dernière année. Je me lève puis vois ma tête sur le miroir coller à ma penderie. J'ai les cheveux complètement décoiffer, les yeux bouffis et de grande cernes sous les yeux. Il faut dire que je n'ai pas beaucoup dormis depuis hier. Je suis rester enfermer dans ma chambre pendant toute la journée d'hier alors que s'était mes 18 ans et qu'il y avait toute ma famille. J'ai prétexter être encore malade et ma soeur à appuyer mon mensonge. En même temps, elle n'allait pas dire le contraire sinon elle aurait était obliger d'avouer qu'elle m'a encore trahit.

J'ai encore du mal à y croire, je ne m'en remet toujours pas et dès que j'y pense je sens mon coeur se serrer à m'en faire mal. Je la déteste pour ce qu'elle à fait. Sortir avec Cameron est déjà détestable mais avoir supprimer le message que je lui avait envoyer pour son anniversaire est impardonnable. Et je ne peux pas la croire quand elle m'a dit qu'elle avait fait ça sur un coup de tête. A mon avis, elle veux juste garder Cameron pour elle malgré tout ce qu'elle peux lui dire. Quand à Cam, je lui en veux d'avoir pardonner aussi facilement à Bebe de lui avoir mentit sur ça. Elle dit qu'elle nous aimes toute les deux, au même niveau mais à la fin elle prend toujours son partit. Comment elle veux que j'accepte ça ? Comment elle veux que j'accepte cette situation ?

Si on sort avec elle, je ne serais jamais tranquille. Je serais jalouse et j'aurais toujours peur qu'elle me quitte pour ma soeur. Je soupire encore une fois puis me lève enfin de mon lit. Je choisis quelques vêtements puis prend mes accessoires de douche avant d'aller dans la salle de bain où Florent n'y était pas encore passer vu qu'il était encore tôt. En trente minutes chrono je réussis à me laver, m'habiller, me coiffer et me maquiller avant de retourner dans ma chambre. J'étais entrain de préparer mon sac à dos quand mon portable vibra. Je le pris avant de voir un mail de la part du proviseur de mon lycée. A cause des événements de l'année dernière, il à décider de ne pas nommer un professeur principal pour nous alors les élèves de dernière année devront se présenter à l'accueil où les secrétaires nous donneront nos livres, nos emploi du temps et le numéro de notre casier.

Je ne peux pas m'empêcher de prier pour ne pas avoir ma soeur ou Cam comme voisine de casier puis au moment où j'allais sortir de ma chambre je remarqua enfin une enveloppe poser sur mon bureau. Je fronça les sourcils en la prenant puis me crispa en voyant ce qui était marquer dessus. "Pour Bleta de la part de Cameron", Elle m'a écrite une lettre ? Mais quand ? Peut-être pour mon anniversaire. J'hésita quelques instants mais décida de ne pas la lire mais n'eu pas la force de la jeter. Je la rangea alors dans ma table de nuit puis descendis enfin au rez-de-chaussée. Dans la cuisine il y avait tout le monde sauf mon frère qui prenait son petit-déjeuner même Bebe était déjà prête.

- Tu va mieux ma chérie ? Demanda ma mère gentiment alors que je venais m'asseoir à table.

- Bof, répondis-je en haussant les épaules.

Je sentis le regard de ma soeur sur moi mais fit semblant de ne pas l'avoir remarquer avant d'entamer le café que je venais de prendre. Mon père ne me parler pas et ne me regarda même pas. Il m'en voulait d'avoir laisser tomber nos invités en me faisant remarquer que j'avais eu un comportement de diva et que si s'était comme ça que je le remercier de m'avoir laisser aller à Los Angeles, il ne ferait pas deux fois la même erreur. Alors que je finit mon petit-déjeuner, je vis ma mère donner un petit coup de coude à mon père en lui faisant les gros yeux. Mon père grogna puis se leva.

- Les filles avant que vous partez pour le lycée j'ai quelque chose à vous montrer, annonça-t-il en se levant. Suivez moi, ajouta-t-il alors que tout le monde se leva.