Son rire si Dumbledore - Grindeldore

Chapitre 1 - Vision

Bonjour à tous.tes !
Je vous souhaite la bienvenue sur cette nouvelle fic Grindeldore que je suis heureuse de vous proposer aujourd'hui !

Comme toujours : certains personnages et l'univers ne m'appartiennent pas et appartienne à Jk Rowling mais je préfère dure Warner Bross.
Seul l'histoire et tous personnages dont le nom de famille n'apparait pas dans les license Harry Potter® Ou Fantastic Beast® m'appartiennent.

Sans plus vous retenir je vous souhaite une bonne lecture !

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"Tu es... tout. Un ensemble d'éléments contradictoires qui... murmura sa voix avant de partir à rire sans même prendre la peine de finir sa phrase.

Un rire léger, doux.

Un rire sincère, sans filtre.

Un rire qui l'appaisait.

Un rire qu'il pouvait écouter pendant des heures.

Un rire si Dumbledore."

Gellert se réveilla en sursaut dans son lit, il avait encore eu cette vision. Se retournant dans son lit, le blond soupira avant de fixer d'un air perplexe le plafond de sa chambre. Même en fouillant au plus profond de ses souvenirs Gellert ne se souvenait pas qu'Albus lui ai déjà dit ces mots et cela avait le don de le rendre fou.

Des milliers de questions se bousculaient dans l'esprit du mage noir qui ne pouvait s'empêcher de se demander si sa mémoire lui jouait défaut ou si cette vison était prémonitoire d'un événement futur.

Gellert avait toujours trouvé ironique le fait que les visions soient liées aux prémonitions et au futur dans l'inconscient collectif. Ironique puisque les concernés savaient parfaitement que leurs rêves ressassaient plus le passé qu'autre chose. Dans ses rêves Gellert revoyait toutes sortes de scènes, de celles qu'il chérissait à celles qu'il aurait préféré oublier.

Ses visions futures, elles, étaient bien plus rares et comme toutes les autres, avaient tendance à se répéter. Il était en réalité très compliqué de différencier les visions des rêves si bien que même encore à se jour, le mage noir redoutait de confondre.

Une visions revenait fréquemment sur une certaine période, Gellert avait donc des périodes où il se jettait dans son lit et d'autre où il ne dormait presque pas. Par habitude, le blond mettait un sort de silence sur sa porte. Ne pouvait prédire ce qu'il pouvait crier, grogner ou même gémir durant la nuit.

La période dans laquelle était actuellement Gellert le perturbait bien plus que les précédentes. En effet le blond n'arrivait pas à déterminer la time-line de sa vision et malgré lui, le mage noir ne pouvait s'empêcher d'y penser.

Le sujet de la vision y contribuait largement mais n'appaisait pas pour autant l'irritement du blond, bien au contraire sur certains points.

Pourquoi cette scène ne lui disait rien ? Avait-il oublié ? Était-ce une éventuelle future rencontre ?

Gellert avait refusé d'y croire un long moment mais la répétition de sa vision avait finit par lui confirmer qu'il n'avait aucun souvenir de cet instant.

Mais ce qui perturbait le plus le mage noir était defenitivement le fait qu'il se souvenais de chaque instant passé au prêt du professeur.

Gellert était toujours au courant de ce qui concernait Albus. Il se mettait même parfois dans des positions délicates pour pouvoir se tenir au jus de l'actualité traitant du professeur.

Alors d'où venait ce souvenir ?

Soupirant en se retournant dans son lit, le mage noir pesta contre lui même, dans tout les cas, cette vison ne devrait pas l'obnubilé à se point. Albus avait choisit son camp, celui opposé au sien. Il était donc désormais un ennemi et rien de plus que cela. Le blond s'étant fait voler le pacte, détestait la vulnérabilité qu'avec déjà le professeur vis à vis de lui.

C'est pour cela qu'il se tenait au jus sur son rival. Leur été passé ensemble ne voulais désormais plus rien dire. Du moins ça c'était ce que Gellert s'efforcait à penser.

Sachant pertinemment qu'il ne trouverai pas le sommeil avant un moment, le mage noir posa un pied au sol avant d'aller à sa fenêtre. De celle-ci, il regarda le paysage que la bâtisse dominait largement en terme de hauteur.

Gellert regarda autour de lui et soupira d'un air satisfait. Il y etait. En haut de ses ambitions et en bonne voie de voir ses projets enfin se réaliser. Alors il ne laisserait certainement pas de veilles visons tout remettre en question.

Fixant avec satisfaction la large faille laisser par Aurelius dans la montagne, le mage noir redessina ses contours avec son doigt sur la vitre. Bientôt le monde entier serait à ses pieds et il pourrai enfin prouver au professeur qu'il avait eu tord de le laisser tomber avant de connaître l'entièreté de ses motivations et objectifs.

Il lui montrerai qu'il avait eu tord, tord de le voir pour ce qu'il n'était pas. Tord de le combattre pour quelque chose qui lui serait totalement bénéfique.

Et lorsque que le professeur pleurerai son pardon sur ses genoux, Gellert passerai pour un saint à lui pardonner ses erreurs.

Il passerait pour un héro en lui tendant la main et partout ses adeptes et le monde crieront son mérite et sa bonté.

Il offrirait au professeur reconnaissance, pouvoir et reliques, comme ils se l'étaient promis lors de cet été passé ensemble.

Il pourrait enfin assumer le lien le liant à Albus et ne plus avoir à supporter de voir leur passion réduite à un lien fraternel qu'ils ne partageait définitivement pas et qu'il n'avaient jamais partagé.

Il montrerai au monde entier.

S'amusant de sa tirade mentale, Gellert souffla légèrement du nez avant de retourner vers son lit, s'allongent de nouveau en regardant sa première baguette posée à côté de la baguette de sureau.

Un sourire en coin, le blond se demanda si sa vison pouvait être en adéquation avec le futur qu'il venait de se prédire devant sa fenêtre.

Et si elle était bien prémonitoire, se dont Gellert était de plus en plus sur, il faillait qu'il la considère avec plus d'attention.

Parce que cela pouvait autant être un présage de victoire sur le professeur post guerre mais aussi bien prédire un raliment de Dumbledore à sa cause. Après tout, seuls les imbéciles ne changeait jamais d'avis et Albus était loin d'être stupide.

Sentant ses paupières s'alourdirent, le mage noir ne fit même l'effort de les retenir et avant de les clorent, se remémorant sa vison.

"Tu es... tout. Un ensemble d'éléments contradictoires..."

Soufflant doucement du nez, le mage noir ne pus s'empêcher de songer au fait que jusque là, la définition de ce qu'il était n'était pas si fausse, et c'est avec un sourire étirant légèrement ses lèvres que Gellert sombra de nouveau dans le sommeil.