Chapitre 47 - Vide & Plénitude

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Bonjour tous le monde, encore une fois je n'ai pas d'excuse pour mon retard mais pour être complètement honnête avec vous, j'ai vraiment l'impression de régresser en terme d'écriture depuis un moment.

J'ai donc tendance à repousser mes séances d'écritures qui le plus souvent ne me satisfaissent absolument pas.

Je suis désolé que cela impacte mon rythme de publication et c'est pour cela que je souhaite être honnête avec vous.

Voilà, j'espère que vous comprendrez mais je tien à se que vous sachiez que c'est un problème sur lequel je travaille actuellement, le prochain chapitre ne mettra certainement pas autant de temps à sortir que celui-ci en a mit.

À oui dernier détail : tw lemon

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Il hurlait, de sa vie entière jamais Aurelius n'avait sentit son obscurrus se manifester aussi fort dans ses veines, comme s'il essayait de le pousser en arrière pour ne seraisse le rapprocher un peu plus de cette voix.

Son cœur battait à tout rompre et c'est avec difficulté puisque son estomac s'était brutalement qu'Aurelius se retourna lentement pour l'apercevoir dans sa splendeur habituelle, Percival Graves ayant toujours été un homme magnifique au yeux de l'obscurial.

Le temps semblait ralentit autour d'eux et c'est sans même s'en rendre compte qu'Aurelius se leva doucement avant de faire quelque pas dans sa direction.

- C'est bien moi. dit l'obscurial avec un sourire amusé qu'il ne comprenait même pas. Il aurai dû être en colère contre cet homme qui était devenu si froid avec lui d'un jour à son lendemain au point où l'on aurait tout simplement pu penser qu'il ne s'agissait plus la même personne. Le gentil et souriant auror avait laissé place à un homme brutal, austère et manipulateur si bien qu'Aurelius avait finit par le craindre presque autant que sa mère.

Son sauveur, sa lumière d'espoir était soudainement devenu un énième bourreau, brisant au passage ses derniers rêves et faisant disparaître ses derniers sourires.

Et pourtant, il se tenait désormais face à lui sans que la moindre rage ne coule dans ses veines puisque que l'avait déjà envahit un profond désir plus puissant encore que tout se que son obscurrus ne lui avait jamais fait ressentir.

L'auror semblait particulièrement tendu et son expression rappellait soudainement à l'obscurial ce moldu qu'il avait vu il y a quelque années, en plein rendez vous galant.

- Ce n'était pas vous à New York cette année là n'est se pas ? souffla Aurelius alors qu'il faisait un pas de plus vers l'américain.

- Non, c'était lui Aurelius. répondit l'auror d'un ton proche du désespoir. Je suis désolé pour ne pas avoir réussi à me sortir de là assez de temps pour au moins te prévenir que ce n'était pas moi qui t'humiliais de la sorte. Qui te parlais aussi mal ou qui levais même la main sur toi. Je suis incapable de faire une telle chose Aurelius et je m'en veut sincèrement pour tout se qu'il a pu te faire subir en mon nom.

- C'est passé et puis vos excuses ne le changeront pas monsieur Graves. Mais passons, j'aimerai vous poser une autre question.

- Vas-y. répondit Percival plus par automatisme que raisonnement en vu de la confusion teinté de curiosité qui avait prit place sur son visage.

- Est ce que je peux vous embrasser ? demanda brutalement Aurelius en détachant son regard des lèvres de l'auror.

- Oui, oui c'est quelque chose qui me semble plus qu'envisageable. répondit Percival qui avait rosit, son visage s'avancant naturellement vers celui de l'obscurial.

Son rire si Dumbledore - Grindeldore Où les histoires vivent. Découvrez maintenant