Chapitre 4 - Doutes

993 91 62
                                    

- Votre discour était parfait Gellert. minauda Vinda Rosier alors que Gellert venait à peine d'apparaître dans la pièce principale.

- Merci. répondit Gellert d'un ton monocorde. Allez à vos occupation. ordonna-t-il a Abernathy et Rosier, leur faisant comprendre que la requête leur était adressés par un simple regard. Il avait à faire de bien plus importants que de supporter les flatterie vide de Rosier, comme pas exemple s'occuper de ses nouveaux hôtes.

Credence avait eu besoin de s'isoler presque immédiatement à l'instant où il avait posé un pied à Numbergard. Gellert ayant imaginé cette éventualité avait prévu une chambre et une sorte de salon dans le quel le jeune homme avait été guider.

Queenie quand à elle, était assise sur un des fauteuils de la pièce commune. Des larmes coulaient encore sur ses joues, faisant à la fois couler son mascara. La jeune femme tremblait légèrement et semblait confuse. C'était quelque chose de courant lorsque quelqu'un rejoignait ses rangs. Tous et toutes avaient un moment de doute et se demandaient s'ils avaient fait le bon choix.

Crédence était sans aucun doute dans le même état qu'elle mais le mage noir savait parfaitement que jamais l'obscurial ne se sentirait en confiance si Gellert lui assurait seul qu'il avait fait le bon choix. Si Queenie se tenait à ses côtés, la done changerai considérablement. C'est pourquoi Gellert allait d'abord rassurer la legilimens, autant de temps que cela serait nécessaire.

Écouter pendant des heures les plaintes et craintes de Queenie n'était absolument pas un programme qui l'attirait mais sachant pertinemment qu'il n'avait pas le choix. Gellert s'efforçant à détendre son expression faciale avant de s'avancer vers elle.

- Quennie ? demanda-t-il doucement afin de ne pas brusquer la jeune femme. Tout vas bien ?

- Je.. Non. dit simplement la jeune femme en secouant légèrement la tête dans un mouvement négatif. J'ai besoin de prendre l'air. Ce n'est rien j'ai l'habitude, il y a simplement trop de pensées ici.

- Je vais t'amener au parc, répondit le blond en lui proposant son bras, cachant parfaitement sa surprise. En temps normal, ses nouvelles recruts avaient tendance à affirmer que tout allait bien avant de partir dans des monologue que Gellert qualifiait d'infernal.

Après un moment de marche la jeune femme sembla enfin se calmer et c'est après avoir essuyé ses joues avec un mouchoir que Gellert lui avait tendu qu'elle porta enfin son attention sur lui. Acte qui la différenciait une fois de plus de la majorité, puisque que le blond avez souvent pour habitude d'être le centre de l'attention. Queenie ne semblait pas le voir comme son maître ou supérieur mais semblait le voir comme un égal. Plus un compagnon.

- Désolé. finit-elle par dire au bout d'un moment. Merci de m'avoir accompagné je ne vais pas vous embêter plus longtemps.

- Tu ne me dérange pas. répondit Gellert avec un sourire discret mais tout de même sincère, ayant l'habitude que ses adeptes se battent pour son attention. Seul peut-être Abernathy n'avait pas cette attitude qui agaçait Gellert au plus au point. Si les pensées te dérange je vais t'installer à un étage plus élevé. A côté d'Aurelius et de mon bureau je pense. Il aura besoin de toi.

- Merci beaucoup. dit simplement Queenie en souriant doucement. Je ne regrette pas mon choix. avoua-t-elle a demi-mot en regardant les roses du jardin qui l'entourais. La stupéfaction de Gellert ne sembla pas lui échapper puisque qu'elle lui lança un regard interrogatif.

- Je... commença Gellert, mentir ne lui serai d'aucune utilité dans ce cas, c'est pourquoi il décida d'être honnête. Et bien à vrai dire la plus part de mes nouveaux adeptes doutes et ont peur d'avoir fait le mauvais choix. Mais si cela n'est pas trop indiscret pourquoi pleurais-tu au delà de la trop grande présence de pensées ?

- Je suis désolée de faire du mal à mes proches. Surtout à Jacob et Tina, j'espère qu'un jour il comprendront mon point de vu. Dans le futur, mon sacrifice payera et un tas de couple comme Jacob et moi pourrons se marier librement et ne pas craindre de stupide lois qui divisé d'avantage qu'elles ne protègent.

- Je vois et je comprends tout à fait, on perds toujours des proches lorsque que l'on fait des sacrifices... commenta le blond sans se rendre compte que son regard partant dans le vague et que le ton de sa voix devenait plus douloureux. Mais je demeure surpris par ta réaction. Être aussi sûr de sois lorsqu'on me rejoint est quelque chose de rare Queenie et bien que tes bons sentiments me ravissent sincèrement je demeure surpris, agréablement bien sûr.

- Je pense que c'est du au fait que je sois une Legilimens. La première fois que nous nous sommes rencontrés, je ne comptait pas baisser ma baguette. Je me disais que chaque mots prononcés étaient un mensonge. Puis j'ai entendu vos pensées, et non seulement elle était les mêmes que vos dires mais en plus. J'ai sentit se sentiment de volonté, de volonté pure et simple. Ce désir, pour quelqu'un, pour une communauté. Vous pouvez mentir à autant de monde que vous le voulez Grindelwald, mais vous n'avez pas cette haine contre les non-maje que vous prétendez avoir.

Un moment passa avant même que Gellert n'ose répondre. Queenie n'était pas une énième Vinda Rosier qui n'était motivé que par la haine et ce qu'elle osait appeler amour pour lui-même - même si Gellert préférait se dire qu'il ne l'attirerait jamais, comme si son homosexualité le protégerait des sentiments de sa propriétaire ainsi que de son organe genitale. Non, Queenie était bien plus que Rosier ou tous les autres du style.

- Nous devrions aller voir Aurelius. dit la jeune femme après un temps, commençant à remonter vers le château qui faisait également office de prison.

- Tu as raison. confirma seulement le mage noir avant de la guider jusqu'à la chambre de l'obscurial. Aurelius resta silencieux tout le temps de leur entrevu. Ce n'est qu'après presque une heure qu'il pointa timidement la poitrine de Gellert.

- C'est dommage que vous ayez perdu votre broche, elle vous allait bien.

- Que ?.. commença Gellert en plaçant sa main où se trouvait normalement le pacte avant de blêmir soudainement. Refoulant les larmes qui lui étaient violemment monter au yeux.

- Non ! s'écria Gellert tout en se réveillant en sursaut. Il fallu un temps au mage noir pour comprendre qu'il avait seulement eu une vison passé et lorsque que son esprit s'éclaircit, Gellert poussa un profond soupir, cette soirée la n'était définitivement pas un bon souvenir, puisque qu'il avait passé des heures à chercher dans chaque recoins du cimetière si le pacte ne s'y trouvait pas avant de rentré complètement dépité.

Imaginer que le pacte ai été récupéré par Dragonneau le rendais malade mais se dire que le précieux artefact errait dans une boutique quelconques donnait envie à Gellert de se défenestrer.

Jamais il n'aurait cru vouloir que le pacte soit de nouveau entre les mains d'Albus et pourtant c'était désormais quelque chose que Gellert désirait plus ardemment que jamais.

Les seuls éléments qui le gênait par rapport à se que son ancien amant possède le pacte soit le fait qu'il puisse non seulement détruire le pacte mais beaucoup plus que le professeur ne découvre ce qu'il représentait réellement.

****

Oui les visions de Gellert serons belle et bien quelque chose de récurent dans l'histoire mais je trouve que c'est le meilleur moyen d'en apprendre plus sur lui, lui qui ne le dirai probablement jamais à qui que ce soit.

En tous cas j'espère que ce nouveau chapitre vous à plus et je vous dit à très vite pour la suite !

C'était Grenat en espérant que vous allez bien !

Son rire si Dumbledore - Grindeldore Où les histoires vivent. Découvrez maintenant