Son rire si Dumbledore - Grindeldore

Chapitre 3 - Recherche

Bonjour à tous.tes !
On se retrouve pour le troisième chapitre de cette nouvelle fic qui contient enfin le second élément important pour du Grindeldore puisqu'il en possède le dore.

J'arrête de ce pas mon humour de merde et vous laisse profitez de se nouveau chapitre en vous souhaite à tou.s.tes une bonne lecture.

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Il était tard ce soir là , mais le bureau du professeur avait finit par s'habituer à la présence de celui-ci ces temps-ci. Depuis que Norbert lui avait confié le pacte, Albus s'était donné pour mission de le détruire au plus vite sans que cela n'entache ses activités professionnelles, que se soit dans la préparation de ses cours ou la correction des copies de ses élèves.

Mais plus le temps passait et plus le professeur commençait à désespérer, cela fessait maintenant presque 4 mois que Dragonneau lui avait remis le pacte et peut importe le nombre de livre qu'il avait ouvert, les sorts qu'il avait apris en vain et autres potions où il avait perdu autant de temps que d'argent ne l'avait fait avancer dans sa désormais nouvelle tâche. Tâche que le professeur ne pouvait s'empêcher de minimiser bien qu'il sache parfaitement que l'avenir du monde sorcier tenait désormais entre ses mains. À son plus grand drame.

Albus ne pouvait s'empêcher de se laisser cette marge spirituel mentale d'erreur et de défaite pour la simble et bonne raison qu'il était éreinté. Bien qu'il ne laisse absolument rien paraître, les nuits considérablement raccourcies du professeur commençait à se voir, et lorsque qu'Albus ne perdait pas son temps à étudier le pacte, il se retournait dans son lit sans parvenir à s'endormir.

Travailler sur le pacte lui faisait bien plus de mal qu'il ne l'aurais pensé. Revoir sa création dans le miroir du Rised était une chose, revoir l'objet qu'il le liais profondément à la fois à leur passé, au présent et à l'homme avec qui il l'avait fait en était une autre. Le professeur avait été grandement surpris la première fois qu'il l'avait observer avec attention : l'objet était propre et impecablement entretenu.

Albus soupçonnait le mage noir d'avoir jetter un sort d'entretien dessus, puisque qu'il l'avait enfemé dans un tiroir durant deux longues semaines. N'ayant pas le courage ni la volonté d'afforter celui-ci.

Avec le recul, Albus c'était surpris à aprrecier posséder l'objet de nouveau, il l'avait observé pendant des heures durant sans prendre la moindre note, faisant simplement tourner le pacte entre ses doigts. Au fond il ne pouvait s'empêcher de resentir cette pointe d'espoir qu'il s'efforçait de faire taire à chaque fois qu'elle se présentait mais toutes ses questions sans responses avaient rapidement finit par agacer Albus, primant sur toutes autres émotions.

Le professeur ne cessait de retourner en boucle les tones de questions qui était apparues en même temps que le pacte dans sa vie, liste qui avait d'ailleurs pris d'avantage d'envergure lorsque que le mage blanc s'était donner la peine d'étudier l'objet.

Pourquoi le pacte était avec Gellert au lieu d'être en lieu sur ?

Il y avait-il une raison à ça ?

N'avait-il pas confiance en ses adeptes ou n'arrivait-il pas à se séparer de l'objet ?

Comment avait-il réagit face à sa perte ?

Tant de questions qui étaient en grande partie responsables de ses nouvelles insomnies. Des années plutôt, des questions semblables le maintenaient également éveillé et le professeur n'a précisait pas du tout revoir surgir les fantômes de son passé.

Au fil du temps, l'agacement d'Albus avait finit par se transformer en une véritable haine de l'objet qu'il avait autrefois tant chéri. Mais ce sentiment était bien moins fort que le désespoir grandissant dans sa poitrine, sentiment du au fait que l'avenir de tout un monde tenait entre ses mains et qu'il n'avait point été capable de découvrir quoi que se soit sur le pacte.

Quand il repensait au moment où Norbert lui avait confier le pacte, Albus riait jaune. Il se serait claqué s'il l'aurait pus.

"Je pense pouvoir, oui"

Imbécile qu'il était.

Il avait été bien naïf de penser cela et enviait profondément sa routine antérieure maintenant que détruire le pacte faisait de sa vie un cauchemar.

Parfois, il se demandait même si Gellert n'avait pas fait exprès de "donner" le pacte a Dragonneau. Après tout il avait déjà été confronté au magizoologiste et savait parfaitement que d'instinct, l'ancien élève aurait été porter le pacte à son professeur. Le seul but derrière étant de déstabiliser et blesser Albus.

Cela aurait été une théorie plausible si le risque que le mage blanc détruise le pacte aurait été imposible. Mais maintenant qu'il en était là, Albus commençait vraiment à penser que tout ça n'était qu'une fois de plus un ordre de Gellert.

Cela voulait sûrement dire que le mage noir lui accordait de l'importance, se consola le professeur avec un sourire amer, quel chanceux il était. Un rapide coup d'œil à sa pendule confirma à Albus que minuit était largement passer et qu'il ferait bien d'aller se coucher.

En temps normal, il se serait jetter à bras ouvers dans ceux de Morphée mais dorénavant, il n'allait se coucher uniquement quand son corps ne pouvait plus le porter. Histoire d'être sur de ne pas perdre plus de temps à se concentrer sur des questions qui dans tous cas resteraient sans réponses.

Tous cela l'etouffait. Que tout le monde, élève comme collège place ses espoirs en lui pour arrêter Grindelwald le rendais malade et le confortait sur le fait que le pacte ne devait pas être connu. Norbert ne semblait pas en avoir parler à qui que se soit et Albus ne comprenais pas pour quelles raisons le magizoologiste s'était tu. Sûrement parce que la découverte du pacte démoraliserai considérablement tout le monde.

Norbert avait certainement perdu espoir en lui et voulais certainement épargné cette peine au autre. Au moins son ancien élève comprenais en partie pourquoi il lui était impossible de s'en prendre à Gellert.

À vrai dire le pacte était l'excuse parfaite pour le moment où il était encore entier. Rien qu'imaginer devoir avouer les sentiments qu'il portait au blond l'angoiçait comme il ne l'était pas permit.

Avec le recul Albus ne savait même plus s'il aimait dans le sens aussi noble de l'amour au grand A. Quand le portrait du mage noir apparaissait dans le miroir, il ne suscitait pas que de l'affection au professeur.

Bien sur que sur le plan physique Gellert l'attirait, Gellert avait toujours été magnifique et en vu de l'attitude de certaine de ses adeptes de la gente féminine à son ecart, le professeur n'était certainement pas le seul à le trouver à son goût.

Mais quand il pensait à Gellert, c'était surtout une énorme boule de regret qui lui plombait l'estomac comme la gorge.

Alors qu'il faisant tourner le pacte entre ses doigts, un rictus apparu sur le visage du professeur. Dans ses sentiments revenait la haine. De tout les hommes, il avait dû être lié au pire de tous.

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Voilà pour ce second chapitre ! J'espère de tout cœur qu'il vous aura plus autant que moi je l'aime et je vous dit à très vite pour la suite.

C'était Grenat, en espérant que vous allez bien !