Son rire si Dumbledore - Grindeldore

Chapitre 57 - Tes yeux

Bonjour tout le monde !
Je n'ai malheureusement pas trouvé l'artiste du fanart donc comme d'habitude n'hésiter pas à me faire signe si vous trouvez l'auteur du dessin.

Bonne lecture

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- GELLERT !

S'agenouillant auprès du mage noir qui gémissait faiblement, le professeur ne pu retenir une légère exclamation lorsqu'il se rendit compte avec soulagement que la blessure de Gellert, bien que très impressionnante, n'était pas aussi grave qu'il l'avait pensée.

Soulevant délicatement la tête du mage noir afin de la poser sur ses genoux en soufflant de faible chut alors que le mage noir gémissait toujours, le professeur ne pu contenir le soulagement qui l'envahissait.

Plaçant sa baguette dans le cou de son ex-mari, le professeur murmura faiblement différentes incantations qui commençèrent à refermé lentement la plaie du blond. Affairé par sa tâche, Albus ne remarqua qu'après un temps le regard que son ex-mari avait posé sur lui, le désarmant complètement.

- Ne me fait pas ton regard de chat triste. dit doucement le professeur espérant que rien de son attitude ne trahirai à quel point il était désormais troublé. C'est terminé Gellert. Tu t'attends sûrement à ce que je t'enferme dans ta prison, dit doucement le professeur alors que sa main se perdait dans les cheveux du mage noir sans même qu'il ne s'en rendent compte. Mais le mérites-tu avec tous les avantages que tu t'accordes ?

- Non. murmura faiblement le mage noir, déstabilisant définitivement son ancien amant qui reposa sur lui un regard perturbé.

- Pardon ?

- Je ne mérite pas Numbergard. Je ne mérite pas que tu me laisse la vie sauve, il y a nombreuses choses que je ne mérite pas.

- Explique moi s'il te plaît. Tout, du début à la fin. répondit Albus en attachant ses iris bleus au yeux vairon de son ex-mari. Je veux comprendre, pourquoi, comment, je de terminerai ensuite ce que tu mérites ou non.

- J'avais trois grand objectifs. murmura faiblement le mage noir tandis que le professeur d'un geste habile faisait explosé un arbre sur la falaise qui leur faisait face.

- Si plus rien ne se passe les aurors risque de venir. répondit doucement Albus à la question muette de sa nemesis. Je nous accorde un tier-temps mais je t'en pris continu, quel était le premier ?

- Les journaux en parlerai presque mieux que moi mais il était effectivement de rassembler l'ordre magique contre Hitler. De sortir un maximum de personnes de ces camps. En réalité de prévenir et réduire autant que je le pouvais ce que mes visions me prédisaient.

- Tu les as depuis toujours ? demanda curieusement le mage blanc alors qu'il provoquait une énième "conséquences" au loin.

- La première vision dont je me souviens est à l'intérieur d'un train pour Auschwitz et l'arrivé au camp donc oui, je les ai depuis toujours.

- Très bien, je comprend l'objectif mais je ne vois pas pourquoi tu pouvais être aussi captivé par des objectifs aussi, aussi niais ?

- Si tu qualifie notre relation de niaise n'oublie pas que j'avais 16 ans et que tu étais - et à vrai dire cela n'a pas changé - magnifique et je suis un humain doté de désir, de libido mais également de sentiments et que pour le coup je suis vexé.

- Je ne parle pas de cela crétin, répondit le mage blanc en détournant le regard. Je t'aurais déjà étripé vif si tu nous considérais comme nais crétin de blond.