Son rire si Dumbledore - Grindeldore

Chapitre 6 - Mensonge

Bonjour à tous.tes.
Ceci est un message de prévention concernant le chapitre qu'il vas suivre.

Ce chapitre contient en effet des scènes de violence et peut réellement affecté les plus jeunes comme les concerné.e.s.

En cette période de confinement n'oublions pas que les violence domestiques ont explosé et que si vous êtes victime vous pouvez téléphoner au 39 19 ou aller demander un "masque  19" en pharmacie.

Prenez soin de vous et je vous souhaite tout de même une bonne lecture.

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Il faisait froid, et son plus jeune frère serré contre lui tremblait de tous ses membres. Des cris toujours plus fort de son père raisonné dans la pièce d'à côté. À vrai dire, lui et Anton s'était réfugier dans le placard le plus proche à l'instant même où son père avait commencé à haussé le ton.

Encore une foie.

Du haut de ses neufs ans Gellert connaissait tristement les sautes d'humeur de son père. Runhild Grindelwald, aussi connu que méprisé parmi la société "pure" comme son père aimait l'appeler.

Anton à ses côtés, qui n'avait lui que trois ans, c'était pétrifiée de terreur lorsqu'un premier bruit de coup se fit entendre dans la pièce voisine. Malgré sa terreur, son aîné l'encercla de ses bras et le berça doucement contre lui, afin qu'il ne voit pas les larmes qui lui était monté au yeux.

- ENCORE ?! hurlait son père dans un allemand rageur. N'A TU PAS COMPRIS QUE JE NE VOULAIS DÉJÀ PAS DU SECOND ?! TON VENTRE M'A DONNER UN FILS DOTÉ DE VISION AVANT DE M'AFFLIGER D'UN SECOND DONT NOTRE NOM N'AVAIT NULLEMENT BESOIN ! EN LUI DONNAIT NAISSANCE TU N'A QUE DOUBLÉ LES CHANCES DE VOIRE LA HONTE S'ABATTRE SUR NOTRE LIGNÉ PURE DONT JE M'EFFORCE A EN DORÉ L'IMAGE PAUVRE IDIOTE ! hurla d'avantage Runhild tandis que sa femme commençait à pleurer.

Plus tremblant que jamais, ses fils retenaient autant que possible leur larmes et sanglots afin de ne pas aggravé la situation de leur mère. Tandis que son père hurlait d'avantage, Gellert ne pus s'empêcher de songer que malgré le fait que son géniteur ai été contre la naissance d'Anton et qu'il ne lui avait donc pas adressé la moindre attention depuis ça naissance n'était pas plus mal que d'avoir Runhild sur le dos, ou plutôt de porter les marques de sa colère sur le dos.

Presque chaque jour, son père lui faisait résister en quoi leur famille etait-elle noble et pure si bien que Gellert n'avait finit pas ne plus y croire en dépit de son jeune âge. Il devait ensuite l'écouter se vanter que personne dans la famille ne s'était éloigné du droit chemin et n'avait épousé quelconque sang mêlée ou pire n'était sodomite. Quoi que cela veuille dire Gellert était terrifié par l'idée de le devenir.

Il s'agissait certainement d'une malédiction songeat le petit garçon en serrant d'avantage son petit frère contre lui. Anton le regardait d'un air désespéré, de grosse larmes dévalant sur ses joues, cherchant par instin un peu de réconfort auprès de Gellert et c'est en retenant ses larmes de toutes ses forces que l'aîné lui offrit un sourire crispé.

Le plus jeune effouie alors son visage dans son cou et se boucha les oreilles afin de ne plus entendre les cris et pleurs qui avaient redoubler d'intensité. Gellert bien qui ne veuille pas le montrer à son frère était tout bonnement terrorisé. Souvent, lorsque leur père s'en prenait de la sorte à leur mère, il était souvent le suivant.

L'enfant n'avait pas assez de recul pour se rendre compte que la situation n'était pas normal et c'est en se disant qu'il en était sûrement de même pour tout le monde que Gellert se détendit très légèrement. Sur ses genoux Anton s'embalait mieux suporté la situation depuis qu'il s'était boucher les oreilles et Gellert passa lentement sa main dans ses cheveux blond platine comme les sien afin de le lui donner le maximum de reconfort dont il était capable.