Son rire si Dumbledore - Grindeldore

Chapitre bonus 2 - Bandage

Bonsoir ça fait longtemps, j'ai eu ça en tête récemment et je me suis dis que certaine personne ici y trouverais sûrement leur compte.

Tw 🍋 (comme de part hasard)

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- Monsieur Dumbledore ? répéta une voix au ton légèrement inquiet qui sortie enfin Albus de ses pensées. Assis sur une chaise qu'on lui avait fait apparaître par politesse, le mage blanc n'avait pas réussi à se relever une fois qu'il c'était laissé tomber dessus, tout son être étant bien trop préoccupé par autre chose pour.

- Oui ? s'efforça de répondre Albus en souriant faiblement à la jeune aurore qui lui faisait face.

- Grindelwald a donc été placé dans la cellule comme proposer, ses blessures ont été traitées dans la mesure du possible et plusieurs journalistes veulent vous parlez. Nous ne les avons pas laissé avoir accès au bâtiment cela dit, ajoutait-elle en lui tendant un verre d'eau qu'Albus accepta avec joie.

- Merci pour cela... répondit-il d'un ton reconnaissant. Les voir est bien la dernière chose dont j'ai envie.

- Je me doute. Le monde vous serra à jamais reconnaissant d'avoir vaincu Gellert Grindelwald, je pense qu'il vous laisserons - sans bonté cela dit- quelques jours avant de se scandaliser.

Le professeur souffla un peu du nez en portant à ses lèvres le verre d'eau.

- Tout cela me semble tellement irréaliste à vrai dire. Je ... Penser vous que je peux le voir ? demanda soudainement le mage blanc en regrettant presque immédiatement son impulsivité. Le regard surpris de la jeune femme n'aidant pas.

- J'aurais d'avantage pensé que vous souhaiteriez rester le plus loin possible de lui mais je suppose que si c'est votre volonté, cela peut ce faire.

Elle eu un silence tout en fixant le professeur avant de cherché du regard ses collègues.

- Nous étions amis il y a très longtemps et j'aimerais, je veux juste comprendre pourquoi. dit le professeur d'un ton navré pour couper court à la gêne qui était en train de s'installer. J'ai besoin de comprendre pourquoi.

- Je pense qu'au delà de quelques heures, c'est un situation que nous ne pourrons plus tolérer, dit solennellement un responsable en regardant Albus avec un certain dédain. La main serrée autour de la poignée de la cellule de Gellert comme si Albus allait tenter de la forcer sous ses yeux.

- C'est tout a fait compréhensible. Merci de me laisser mettre cette partie de mon histoire derrière moi, dit Albus d'un ton qui se voulait cordial et rassurant. Après un regard, l'homme finit par ouvrir la porte avant de déverrouiller tous les verrons magiques ou non de la seconde avant de laisser Albus pénétrer le sas d'entrer. Lui lançant un dernier regard perplexe alors que le mage blanc entrait dans la pièce, il referma la lourde porte après quelque seconde où Albus eu les plus grande difficulté du monde à ne pas le quitter des yeux.

L'homme enfin partir, Albus se retourna brutalement vers son amant à moitié endormi dans un lit de première nécessité. Se rapprochant vivement de lui, c'est avec la plus grande des douceur qu'il caressa tendrement la joue de Gellert qui se lova immédiatement contre celle-ci. Ouvrant doucement les yeux, le mage noir eu beaucoup de mal a cacher sa surprise en constatant la présence d'Albus.

- Que fais-tu la ?

- Il faut croire que je n'ai plus de patience, répondit Albus avec un sourire en s'agenouillant à côté du lit de son amant pour poser délicatement ses lèvres sur les siennes. Souriant malgré lui en sentant la main de Gellert soutenir son visage, le professeur posa sur lui un regard ému en lui prenant la main.