Chapitre 34 - Tranchée

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Je n'ai malheureusement pas trouvé la source de la photo.

Cependant je suis tombé sur plein de photo de soldat gay et de travailleuses lesbienne et c'était incroyable j'ai passé un super moment.

Bonne lecture à vous

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Le regard perdu vers le ciel dont tombait doucement de léger à la structure qu'il avait toujours trouvé splendide de par leur complexité, Albus ne pu s'empêcher de songer un instant à sa nemesis dont il attendait le frère.

- Bonjour Albus. dit finalement la voix d'Anton derrière lui, se faisant se retourner le professeur du ciel.

- Bonjour Anton. le salua poliment Albus en se détournant du ciel.

- Désolé pour le retard, on m'a encore pris pour mon blond de frère sur le chemin. ironisa le cadet Grindelwald en passant une main dans des cheveux aussi platines que ceux de son aîné.

- Encore ?

- Se n'est que la dix-septième fois ce mois si, celui d'avant à été bien plus rude. répondit Anton avec légèreté tandis que le visage du professeur se fligait légèrement.

- Tu ne devrai pas avoir un ton aussi léger. le réprimanda doucement Albus d'un ton cependant sérieux. Ils ont essayés de te mettre à mort Anton.

- Parce que je ressemble à Gellert comme deux gouttes d'eau. Je sais. Le coupa l'autrichien en agitant doucement la main devant lui comme s'il ballayait la remarque du professeur. Mes larmes ne changeront pas mes gènes ni les siens donc je préfère en rire.

- Tu as raison dans un sens, cela ne les changera pas. admit Albus en avançant avec son ami vers les trois balais. Je ne peux qu'imaginer ton quotidien.

- C'est vivable, surtout quand on a vécu deux ans avec Runhild pour seule compagnie. répondit honnêtement Anton en haussant légèrement les épaules.

- Tu dis ça sur un ton si décontracter pour ceux que c'est réellement. remarqua le mage blanc en prenant un chemin partait vers leur gauche.

- Dit le mec qui parle des tranchées comme de la pluie et du beau temps. répliqua le cadet Grindelwald en haussant un sourcil. À partir d'un temps, lorsque qu'on a vécu de grandes violences, c'est pas un crime de les dédramatiser pour s'aider à aller de l'avant Albus.

- Tu as certainement raison sur ce point. finit par admettre le professeur en entrant avec lui dans le pub phare de Pré au Lard. Allons au fond à droite, souvent le bruit couvre complètement les conversation là bas. expliqua le mage blanc d'un ton plus bas.

- D'accord. acquiesça Anton en le suivant. Enjambant sans y songer la marche qui permettait d'accéder à cette partie du pub, le professeur fit brutalement demi tour lorsqu'il se rappella que son ami aurait probablement besoin d'aide.

- C'est bon. répéta Anton au barman qui s'était approché de lui pour lui proposer son aide. Le blond, dont le visage d'habitude si jovial affichait désormais un agacement prononcé, finit par se lever de son fauteuil avant de presque le jetter de l'autre côté de la marche. Se raisseyant finalement dedans sous le regard abasourdi du gérant du pub, c'est un regard profondément mauvais que lui lança le cadet Grindelwald en reajustant son t-shirt.

- Mais.. Vous venez de... balbutia le barman.

- Marcher, je viens de marcher oui. Mon fauteuil ne veut pas dire que j'ai perdu l'usage de mes jambes et se qu'il vient de se passer ne veut pas dire que je n'en ai pas besoin non plus. répliqua le blond avec mauvaise humeur. Et quand je vous dit NON c'est NON. Vous n'imaginez même pas à quel point c'est désagréable et usant quand quelqu'un pousse mon fauteuil sans prévenir, demander où même après que je leur ai dit non.

Son rire si Dumbledore - Grindeldore Où les histoires vivent. Découvrez maintenant