Son rire si Dumbledore - Grindeldore

Chapitre 10 - Jardin

Bonjour à tous.tes.

Attention : tw Runhild.
Ça devrait suffire si vous avez lu les autres chapitres mais je préfère prévenir. Je vous met en commentaire juste là différent numéro d'aide.

Protéger vous et bonne lecture.

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- Et c'est pour cela que nous nous devons de protéger nos fils et filles de ces individus mauvais, malsains et dangereux. dit Runhild d'un ton brute, à une assemblée de personne trop nombreuse au goût de Gellert qui l'écoutaient avec un grand intérêt. Ces gens sont des détraqués, ils sont prêts à s'en prendre à vos enfants pour asservir leurs besoins, leurs pulsions et c'est pour cela que nous nous devons de les éliminer. Les sodomites en plus de pervertir notre jeunesse, abattent la honte sur leurs famille.

Plusieurs grognement d'approbations surgirent de la foule et Gellert qui se tenait droit derrière son géniteur, bien plus par obligation que par envie retint un soupire d'exasperation.

- C'est pour cela que nous devons leur offrir une chance de laver leur noms et leur images en leur permettant de surprimer eux même l'erreur engendré. Pour cela plusieurs solutions se proposent à nous... continua Runhild Grindelwald alors que son fils aîné arrêta de l'écouter. Depuis le meurtre de sa mère, l'aversion que Gellert avait pour son père n'avait jamais diminuer.

Au contraire, celle-ci n'avait cessée de prendre de l'ampleur jusqu'à dégoutée totalement le jeune homme des "enseignements" de son père. À sa droite se trouvait Anton, qui tout comme lui avait bien grandit. Du haut de ses quinzes ans, Gellert ne pouvait que confirmer que le fait que leur père les aient envoyé chez leur oncle, Michael Tourdesac, le frère de leur mère avait été la meilleure chose qui leur soit arrivé.

Peut importe le prétexte que sont père avait utilisé - bien que Gellert soit prêt à parier que Runhild avait usé de son "deuil" - ce qu'il l'important était qu'Anton grandissait dans un environnement sain, en sécurité et que lui pouvait continuer à chercher un moyen de s'enfuir où de pouvoir être suffisamment puissant pour survivre. Gellert avait un secret, c'était quelque chose qui l'avait terrifié toute sa vie mais il réaliserait maintenant avec effroi du haut de ses quizes ans que les filles ne l'intéressait nullement.

Gellert était ce que son père appelait sodomite, et se demandais de plus en plus s'il ne devait pas fuir chez les moldus. Il cherchait depuis la moindre information sur eux puisque l'éducation qu'il avait reçu ne les incluait pas et que Michael était également de sang pur. Il avait commencé ses recherches dans une clandestinité totalement qu'il cachait en partie derrière des études de magies noires, qui elle, lui donnerai suffisamment de force pour s'en tirer.

Il ne voulais que le bonheur de son frère et Anton avait besoin de lui. Michael, aussi bon soit-il, était malade et était réaliste sur la question : sa maladie l'aurais sûrement emporter d'ici une quinzaine d'années mais sa situation pouvait toujours s'aggravé et Gellert ne pouvait risquer de laisser son frère seul avec Runhild.

À la gauche du jeune homme se tenait aussi droite qu'elle le pouvais la nouvelle femme de Runhild. À vrai dire Gellert n'avait pas retenu son prénom mais le blond ne pouvait s'empêcher de se sentir désolé pour elle. Si sa situation n'avait pas été aussi risquer il aurait certainement tous fait pour lui éviter le même sort qu'à toutes celles qui lui avaient précédées.

Très vite après la mort de Lynn, Runhild c'était remarié à une jeune femme bien plus jeune. Le nouveau couple avait filler durant deux ans un amour "idyllique" avant que la jeune femme ne disparaisse 3 mois après l'annonce de sa grossesse.