Les Jolivet
Kise est venu la chercher au travail le midi et l'a kidnappée pour l'après-midi. Ils sont restés dans le jardin à s'amuser comme des gamins, Kise lui courant après lorsqu'elle a essayé d'échapper aux photos qu'il voulait faire pour immortaliser ce moment. Cela a fini en bataille de boules de neige. Pour se réchauffer, ils ont passé le reste de l'après-midi dans leur chambre. En fin d'après-midi, ils sont allé chercher leur fille ensemble à la garderie pour lui faire une surprise (censés travailler tard, elle restait à la garderie où travaillait Kuroko. Mais le vol de Kise avait été annulé à cause du temps, lui permettant de consacrer sa journée à sa famille) et sont allés manger des churros avant de rentrer en riant parce que Lou et Samy s'étaient mises du nutella partout.
Les Akashi
Alice a terminé son service en milieu d'après-midi. Elle est rentrée chez elle, s'est changée, a préparé un thermos de chocolat chaud et est allée retrouver Seijuro dans son bureau. Même s'il détestait être dérangé au travail, il accepta avec plaisir le chocolat qu'elle lui offrit. « Si tu me dis que tu préfères le café de ton idiote de secrétaire à mon chocolat, je t'étripe ». Il se contenta de rire doucement et de boire son chocolat en suivant sa compagne des yeux qui faisait le tour de la pièce en admirant le paysage par les fenêtres qui dominaient la ville. « Tu as froid » dit-il simplement en reposant la tasse sur le bureau. Il s'approcha d'elle alors qu'elle admirait le paysage, émerveillée par la neige. Il la prit par les hanches et posa ses lèvres sur sa nuque.
« Qu'est-ce que tu fais ? Frissonna-t-elle mais plus à cause du froid.
- Moi ? rien... je te réchauffe... répondit-il innocemment l'homme aux cheveux rouges alors que ses mains se faisaient plus baladeuses.
- Je ne savais pas que faire l'amour au bureau faisait partie de tes fantasmes...
- Alors tu ignores beaucoup de choses sur moi... dit-il en s'éloignant pour fermer sa porte à clef.
- Ah oui ? apprends-moi ce que j'ignore alors... que dois-je savoir ?
- Que j'ai toujours envie de toi, quelque soit le lieu ma belle, sourit-il en l'embrassant »
Lorsqu'Alice rentra chez elle, elle avait des étoiles plein les yeux. Mais ce n'était plus à cause des flocons mais bien de l'homme aux cheveux rouges qui tenait sa main dans sa poche pour la réchauffer.
Les Takao
Ils sortaient de leur entrainement au lycée et ont fait une bataille avec leur équipe respective. Midorima fut la principale victime de cette journée.
Les Himuro
Ils ont fait une longue balade sous la neige, dans les rues de leur banlieue tranquille de Los Angeles. Mais cela a tourné en dispute. Ils s'étaient arrêtés devant des enfants qui faisaient des anges de neige. Ryan, en parfaite enfant, en avait fait un aussi sous le regard impassible de son compagnon. Elle l'avait ensuite rejoint, embrassé et avait simplement dit « je t'aime ».
« Tu m'écoutes ?
- Bien sûr, pourquoi ?
- Je te dis je t'aime et tu ne réagis même pas...
- Je suis censé réagir d'une façon particulière ?
Elle s'écarta de lui.
- Tu es censé exprimé une émotion ! Ne pas avoir la même tête que lorsque je te dis que j'ai sorti les poubelles !
- Tu ne vas pas en faire toute une histoire, dit-il simplement en reprenant sa marche. Mais il se retourna vers elle en voyant qu'elle n'avait pas bougé d'un pouce.
- Si ! lui hurla-t-elle dessus, s'attirant tous les regards des passants. Si j'en fais toute une histoire parce que j'ai juste l'impression que tu n'en as rien à foutre !
Elle partit en courant sans rien ajouter, en sanglots, avant même que le garçon n'ait le temps de réagir. Il ne tenta pas de la rattraper, préférant rentrer l'attendre. Mais elle ne rentra qu'au petit matin. À peine eut-elle le temps de rentrer dans la pièce qu'elle se retrouva attirée contre le torse de Tatsuya qui la serra contre elle.
- Tu es gelée... tu étais où ? je me suis inquiété...
- Tu parles...
- J'ai passé la nuit au téléphone ! à appeler tes amis, les hôpitaux... je t'ai cherché partout mais figure toi que LA, c'est grand et je ne connais pas tous les endroits où tu pourrais être !
- Je vais me coucher, je suis fatiguée et j'ai froid. Je ne suis pas d'humeur à débattre avec toi.
- Ok. Allons-nous coucher.
- Que...
Mais avant qu'elle ne comprenne ce qu'il lui arrivait, il la portait (comme un sac à patates mais à sa décharge, elle aurait été capable de le frapper s'il l'avait porté comme une princesse alors autant sacrifier son dos que son visage) jusqu'à leur chambre. Sans rien dire de plus, il la déshabilla malgré ses protestations, retira ses propres vêtements puis la coucha sans vraiment de douceur dans leur lit. Il lui rajouta une couette avant de la rejoindre sous les couvertures. Elle tenta de le repousser mais il la maintenait fermement contre lui. Épuisée, elle abandonna toute résistance et se laissa aller contre son torse.
- Pourquoi tu ne me laisses pas seule ?
- Parce que vu l'état dans lequel tu es, quelques couvertures se suffiront pas à te réchauffer. Alors un peu de chaleur humaine ne te fera de mal...
- Tu as pitié. Génial...
- Non. Je t'aime.
Et pour couper court à toute tentative de discussion, menace ou insulte, il l'embrassa.
- Je suis désolé... je pensais que c'était évident...
- Comment veux-tu que ça le soit ? c'est impossible de savoir quand tu es triste, joyeux, heureux, vexé... tu es un mur... elle bailla.
- Je vais tacher de travailler ce problème, je te le promets. Tu me pardonnes ? »
Mais il n'eut pas sa réponse : elle dormait déjà, blottie contre lui.
Yukio et Saya
Ils jouaient aux jeux vidéo lorsqu'ils s'en rendirent compte. Saya grelotta, n'ayant aucune idée de mettre le nez dehors et Yukio, en rentrant de son entrainement de basket, revint avec de quoi faire d'énormes chocolats chauds à la chantilly. Ils passèrent ensuite la soirée devant un film disney avant que Yukio ne s'endorme contre sa copine, épuisé par son entrainement.
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Suite d'OS Kuroko No Basket
Algemene fictieSamy : 16 ans, issue d'une famille européenne installée au Japon depuis de nombreuses années, elle est la voisine, amie d'enfance et confidente d'Akashi. La recherche de l'excellence dans tout ce qu'ils entreprennent est leur principal point commun...