Hoodie x Reader [ ~TERMINÉ~ ]

1. Kidnappée

Reader PDV

Je venais de me faire kidnapper… Le pire, c'est que le kidnappeur était mon crush, Adam… Il m'avait invité chez lui pour passer une soirée, après avoir déjeuné avec lui dans un restaurant. On s'était rencontré sur Internet il y a plusieurs mois et on avait enfin trouvé une date pour se rencontrer. On s'était aussi vue en visio et on s'était déjà appelé par téléphone quelques fois aussi. J'avais petit à petit développé des sentiments pour lui et ça s'était confirmé durant le repas. Mais lorsque je suis arrivée, la maison me parut très étrange. Elle était à peine meublée et en très mauvaise état. J'ai tout de suite trouvé ça très suspect mais je me suis pas plus inquiété parce que j'étais absorbée par ce qu'Adam me disait. Mais dès que je m'étais installée dans le canapé pour l'attendre, j'avais reçu un sac en tissus sur la tête (en tissu parce qu'il faut quand même que je respire). On m'avait ligoté les mains dans le dos, puis on m'avait emmené dans ce que je dirai être une camionnette car je n'étais pas assise sur un siège mais plutôt sur le sol. Donc c'était forcément pas une voiture. Bref, kidnappée par son crush, c'est pas la meilleure des situations…

Après pas mal de temps de trajets, ce qui me paraissait plusieurs heures, même si j'en savais rien vue que je n'avais aucune notion du temps... Bref, après ce temps, on s'arrêta. J'entendis des gens parler une autre langue puis des portes coulissantes s'ouvrir. On me fit me lever, descendre du véhicule et marcher. On marcha pas mal de temps, enfin je crois... En passant pas mal de portes et en croisant pas mal de personnes. Ils parlaient tous la même langue que je ne comprenaient pas. Ça ressemblait à une langue plutôt oriental, genre de l'arabe ou truc du genre. J'en sais rien, si ça se trouve je dis n'importe quoi...

Puis on s'arrêta. Je sentis qu'on m'enlevait les cordes qui me tenaient les mains, puis on me retira le sac sur la tête. Je clignais des yeux pour m'habituer à la lumière. Mais je n'eus même pas le temps de voir quelque chose qu'on me poussa dans une autre pièce en refermant derrière moi. Je me retournai pour vérifier que c'était bien fermé. Il n'y avait même pas de poigné de ce côté... J'étais dans une pièce assez sombre. Je me retournai pour observer le reste de cette salle et vis une dizaine de jeunes femmes d'un peu près mon âge. Toutes étaient assises à l'opposé de la porte et étaient terrorisées. Je venais de me faire emporter dans un réseau de trafic humains... Nickel...

Soudain une des femme s'avança vers moi à quatre patte, elle me suppliait.

Femme - Je vous en prie... Tuez-moi... Ça fait des jours que je suis coincé ici... Je ne veux pas finir en esclave... Je vous en supplie...

J'avais toujours voulu savoir ce que ça faisait de tuer quelqu'un. Juste pour voir, pour savoir quelle sensation ça procurait. Aucune opportunité ne s'était jamais offerte à moi, c'était l'occasion ! Comment refuser ? Je me mis à sourire et elle comprit tout de suite. Elle se retourna et repartit vers un coin pour revenir avec une barre de fer. Elle me la tendit et je la prit. Elle abordait un léger sourire, comme si ça délivrance était déjà arrivée. Elle avait l'air soulagé. Je m'accroupi pour me mettre à sa hauteur et posa ma main gauche sur son épaule.

Moi - J'essayerai de ne pas vous faire trop souffrir.

À ces mots, je plantai la barre dans son ventre. Son crie brisa le silence et je retirai la barre. Son souffle était court et elle paniquait. Je la plantai à nouveau, mais cette fois à l'emplacement de son coeur. Ses yeux s'écarcquillèrent et je retirai de nouveau la barre. Elle tomba en arrière, sans vie. Je ne pu m'empêcher de sourire de manière sadique. Quelle sensation enivrante ! Elle m'emportait comme si j'étais capable de tout faire maintenant. C'était une sensation m'obsédait, je n'arrivai pas à la contrôler. J'avais envie de recommencer, de tuer encore et encore ! J'avais envie de faire un massacre ! Mes envies étaient de plus en grandes, de plus en plus puissantes ! Je n'arrivai plus à les contenir. Je regardais les autres femmes, elles étaient encore plus terrifiées qu'avant. Je m'approchai de l'une d'elle mais elles se reculèrent toutes, elles avaient peur de moi. Je sautai donc sur l'une d'elle et la tua. Je les tua toutes, sans aucune exception. J'étais pleine de sang mais je m'en foutais. Je me sentais tellement bien, débarrassé de tout, comme si plus rien n'avait d'importance. Mon grand sourire abordait toujours mon visage. Je me mis à ricaner, je ne pouvais pas m'en empêcher. Puis à rire, de plus en plus fort. Je riais aux éclats, sans pouvoir m'arrêter.