Chapitre 26

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En entrant dans ma chambre je remarqua que Marco n'était plus dans le lit et ne se trouvait nulle part dans la chambre.
Je me suis alors dit qu'il se trouvait dans son bureau et allais m'allonger. Je n'arrivais pas à dormir alors je décida d'aller rendre une petite visite à Marco, juste pour voir comment il allait.
Je me dirigeais alors vers son bureau et c'est alors que j'aperçus Monica y entrer. Elle ne m'avait pas vu.
Je ne devais pas y aller, ils devaient sûrement avoir une conversation sérieuse et moi j'allais venir fouiner, ce qui ne se fait pas.
Mais sans même m'en rendre compte mes pieds m'avaient guidée jusqu'à l'entrée de la porte.
- Tu veux vraiment me mettre à la porte même après ce que je t'ai dit? Dit la voix de Monica.
La curiosité avais pris le dessus u sur ma raison.
- Je ne te jette pas à la porte... je te donne juste assez d'argent pour que tu puisses t'en sortir loin d'ici. Dis Marco d'une voix calme.
- Pour moi ça veut dire mettre à la porte. Dit Monica d'une voix légèrement brisée.
- Ne le prends pas comme ça...
- J'ai un cancer Marco ! Je vais sûrement mourir et toi tu veux me mettre à la porte. Dit-elle.
- Marco. Appela-t'elle et c'est alors que je me rendis compte qu'elle pleurait. Je sais que je n'ai jamais été une bonne mère mais je suis ta mère Marco.
Il ne répondit pas et c'est alors que la porte s'ouvrit sur Monica en larmes. Elle avais l'air étonnée de me voir mais ne me prêta pas plus d'attention.
J'entra alors timidement mais sûrement dans le bureau de Marco.
Il s'était servi un verre de whisky et buvait devant sa fenêtre.
- Marco? Appelais-je d'une petite voix.
Il se retourna et me fit face.
- Tu vas bien? Demandais-je m'approchant de lui. Je déposais une main sur son épaule et là, sans me prévenir il me prit dans ses bras. Il me serra tellement fort qu'on aurait dit qu'il était désespéré. Évidemment je le serra encore plus fort et nous restions dans cette position pendant au moins une minute.
- Tu peux tout me dire tu sais. Murmurais-je dans l'oreille de Marco alors que on était toujours enlacés.

PDV de Marco

Tout lui dire... j'avais été tenté de le faire... plein de fois... à l'hôpital, quand nous faisions l'amour, j'avais été tenté de lui dire qui j'étais vraiment, dans quoi je trempais vraiment.
Je savais que j'allais le regretter mais une fois encore je me defila.
J'attrapa son visage et déposa un baiser sur son front.
Je la sentis soupirer légèrement et je savais que elle le faisait parce que elle savait mieux que personne que je n'allais rien lui dire.
J'attrapa son menton de telle sorte qu'elle me regarde dans les yeux et c'est alors que je m'empara de ses lèvres.
Je l'attrapa par la taille et la transporta jusqu'à la table du bureau sur laquelle je la fis s'asseoir.
Sans pour autant rompre le baiser, j'ouvris son peignoir et le fit disparaître dans la salle avant d'attaquer sa culotte qui disparut peu de temps après.
Ma main remonta jusqu'à son sein bien gros et rond que je malaxais avec ardeur.
Je la sentis défaire ma ceinture et ma braguette et ne puis empêcher un rictus d'apparaître sur ma lèvre.
- eres una verdadera puta hmm? Murmurais-je dans son cou.
- C'est toi qui m'a rendue comme ça. Répondit-elle à mon plus grand étonnement.
Je redressa la tête et c'est alors que je croisa son regard.
- Je prends des cours à mes heures perdues...Tu ne pourras plus me raconter n'importe quoi mi querido. Dit-elle, ce qui fit durcir mon membre encore plus qu'il ne l'était déjà.
Je captura ses lèvres une nouvelle fois avec plus passion tout en la pénétrant délicatement.
Je sentais ses parois se serrer sur mon membre ce qui me donnait envie de me laisser aller juste pendant la pénétration.
J'arrêta de l'embrasser et alla plutôt à son cou où je faisais quelques suçons tandis que je bougeais mon bassin dans de rapides va et vient.
Elle enfonça ses ongles dans mon dos et je savais qu'elle était sur le point d'avoir un orgasme. Elle me serra encore plus et en deux trois coups nous tombions en même temps dans un monde d'extase.
Nos respirations était bruyantes et je déposa mon front sur celui de Dalilah.
- Marco, tu peux vraiment tout me dire tu sais. Dit-elle dans un souffle.
Évidemment elle n'allait pas oublier tout ça juste parce qu'on venait de coucher ensemble.
- Je t'ai entendu discuter avec ta mère... Commença t'elle et je laissa échapper un soupir puis me décala d'elle réajustant mes vêtements.
Elle descendit péniblement de la table déjà toute bousillée.
- Ça va faire 5 mois que nous sommes ensemble et je me rends compte que tu ne me fais pas assez confiance pour me confier tes problèmes et cela me fait vraiment mal ... Dit-elle se rapprochant de moi.
Je la regardais dans les yeux, ces yeux d'un vert éclatant assorti à son collier dont elle ne se séparait jamais.
- Qu'est-ce que tu veux savoir? Demandais-je prenant place sur un fauteuil.
- Commençons par ta mère... Pourquoi votre relation est-elle ainsi ? Demanda Dalilah prenant place en face de moi.
Je soupira longuement. Ma relation avec ma mère... le sujet que je déteste aborder.
- Quand j'étais petit, mon père et Monica n'étaient pas fixes. Leur mariage ne tenait plus mais ils se sont quand même supportés jusqu'à un temps. Monica a commencé à voir d'autres hommes et je l'ai su parce qu'elle n'était pas du tout discrète.
Le pire c'est qu'elle trompait mon père avec ses concurrents, ses adversaires.
Il n'as pas cru à ça jusqu'au jour où il a appris qu'elle fréquente un certain homme... qui n'était vraiment, voire pas du tout un ami de mon père.
Il a perdu patience et l'a mise à la porte...
Elle entre temps a rompu avec cet homme... se qui entraîna la rage de celui-ci.
- Et après? Me demanda-t'elle
Il a tué mon père pour se venger d'elle. Me disais-je à moi-même
- Apres je suis partie avec mon père très loin. Disais-je. Et il mourut.
Elle prit ma main dans les siennes toute petite et y déposa un baiser.
- Je sais que ce qu'elle a fait est peut-être horrible mais elle a besoin de toi Marco. Elle a un cancer. Me dis-t'elle.
Elle plaidait sa cause pourtant elle n'a jamais été gentille avec elle.
- Pourquoi prends-tu sa défense ? Demandais-je
- Parce que c'est elle qui t'a prévenu de ma chute. Dit-elle avec un léger rire. Et aussi parce que chaque enfant a besoin de sa mère, et tu as la chance que la tienne soit encore là, il ne faut pas gâcher cette opportunité. Me dit-elle d'une voix douce.
Elle était si belle si innocente, tellement que j'avais l'impression d'être une personne horrible. Pas que je ne le savais pas mais vis à vis d'elle ça comptait énormément.
- Je t'aime Dalilah. Disais-je instinctivement.
Elle sourit et s'approcha de moi de telle sorte que ses lèvres soient à quelques centimètres des miennes.
- Je t'aime aussi Marco, puis elle déposa ses lèvres délicates sur les miennes.
Cette fille aura raison de moi.

DALILAH Où les histoires vivent. Découvrez maintenant