When love is out of control

Le retour

Le taxi m'a déposé en bas de la colline,  j'ai donc sorti ma valise du coffre et j'ai avancée sur la terre qui par chance n'était pas humide, m'évitant de me salir.

J'ai observée les alentours, il y avait quelques habitations des voisins, de grand jardin recouvrait le terrain, l'air y était frais, sans pollution, il y était agréable d'y vivre.

Rien n'avait changé, j'affiche un sourire en me remémorant mon passé, la nostalgie m'ayant alors envahit.

Quand enfin, je me rapproche de la maison de ma grand mère, le doux foyer où j'ai grandi, je sortie de mes rêves.
À peine arrivé sur le seuil de la porte, voilà que la porte s'ouvre dans un grand fracas et qu'une furie me saute dessus.

Grand-mère: Aoi !

Elle m'a serré dans ses bras et j'ai fais de même, je ne suis pas revenue au village durant ces 5 années, les seules nouvelles que j'avais de ma grand-mère était par lettre ou par téléphone.

D'ailleurs, j'ai oubliée de vous décrire ma grand-mère. En plus d'être maladroite je suis tête en l'air !

Ma grand-mère est une femme âgée de 63 ans, mais elle ne fait pas son âge, on lui enlève 15 ans en général.
Elle a très peu de ride, de beau yeux bleu azur, des cheveux noir (qui sont coloré..), elle est toujours vêtue de vêtements traditionnels. Elle a un caractère bien trempé et elle  travaille en tant que vendeuse à la ville à mi temps...

Elle se détache de moi afin de me regarder sous tous les angles.

En 5 ans j'avais changée, mes cheveux noirs et lisse étaient long, m'arrivaient jusqu'au milieu du dos, j'avais des yeux bleues azur comme ma grand mère, j'avais grandit, mesurant désormais 1 metre 70 contre 1mètre 60 il y a 5 ans !

Grand-mère: j'avais oubliée ! Tu as un invité dans la cuisine !

- un invité ?

Je me demandais bien qui pouvait être là, personne à part grand-mère n'était au courant de mon retour au village, ma grand-mère a prit ma valise et ma donnée l'ordre de rentrer avant que je n'attire les mauvais esprits...

Je suis entrée, j'ai fermée la porte et j'ai pris soin de retirer mes chaussures avant de subir une prise de karaté par ma grand-mère...

Je me suis dirigée vers la porte coulissante du salon qui était entrouverte, laissant donc voir un Satoru en train de becqueter dans la boîte à bonbon.

Il me fait un grand sourire et se précipite sur moi me prenant dans ses bras... rectification, tentant de me tuer par étouffement !

Satoru: Aoi-chaaaan ! Tu es enfin revenue à Tokyo ! 

- je t'ai manqué Satoru ?

Satoru: sans ta maladresse et ta tête de linotte, c'était plus ennuyant ! Maintenant que tu es revenue t'as plus le droit de partir !

- ah... si ce n'est que ça

Il me secoue dans tous les sens en parlant de je ne sais quelles bêtises... il est vraiment impayable ... mais c'est vrai que 5 ans sans cet énergumène c'était un ennui...

Après avoir terminé de me secouer comme un jus d'orange, il m'a tendu son petit doigt.

Satoru: faisons un serment !

- un serment ... c'est quoi cette...

Il a approché son visage et avait quelque chose de menaçant, à cet instant précis, j'ai avalée ma salive avec difficulté.