Chapitre 68 :

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KATLIJN

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KATLIJN

Le bruit assourdissant de ma sonnerie de téléphone me sort de mon doux sommeil. Je passe la main sur mon matelas pour essayer de le trouver, mais une fois que je l'ai en main il s'arrête. Je grogne de frustration, avant qu'il recommence à sonner de nouveau et cette fois j'ai réussi à répondre à mon copain.

Téléphone: Idriss

- Si tu as l'intention de survivre quand je rentre à Paris, vas loin de moi, je marmonne.

Je l'entend rire, se qui me tend encore plus, ça doit faire trois heures que je dors. Avec les filles, on a préféré rester sur la plage plutôt que se coucher, on a même pu observer le lever de soleil.

- Je te manquerais trop.

- Là c'est le sommeil qui me manque Idriss. Je veux dormir, je dis d'une voix de petite fille.

- Tu te rendormiras après bébé.

- T'as aucun coeur, je chouine se qui le fait de nouveau rire.

- T'as de la place dans ta chambre ?

Je fronce les sourcils.

- Tu demandes discrètement si je t'ai trompé ?, je demande en me relevant sur mes coudes pas sûr de comprendre la question.

- Bien sûr que non.

- Alors pourquoi tu me demandes ça ?

- Pour savoir si tu veux bien me laisser une place.

Comment ça lui laisser une place ?

- Mais t'es au Japon, je lui fais remarquer.

- Peut-être qu'on est à L.A avec Hak'.

- Vous êtes à L.A ?

- Bah en vrai si tu veux bien m'ouvrir la porte, je serais content.

Je me lève et ouvre la porte, je souris comme une débile quand je vois mon beau Kabyle devant moi. Je saute dans ses bras tandis qu'il passe ses mains sous mes cuisses et que mes jambes s'enroulent autour de son bassin. Il nous fait entrer dans la chambre, et referme la porte dans son dos avec son pied. Je finis par reposer les pieds sur le sol, et nos lèvres finissent par se trouver. Je souris toujours contre une idiote. Quand on se sépare, je nous emmène dans mon lit et me laisse tomber dessus, le rappeur ne tarde pas à me rejoindre.

- Vous êtes là depuis quand ?

- Juste le temps de récupérer nos valises, et de venir ici.

Je souris et me colle contre lui, ma tête sur son torse, je souris quand sa main se rend dans mes cheveux et où il commence de petite caresse.

- Dors mon bébé.

TijdOù les histoires vivent. Découvrez maintenant